Ces nominations témoignent de l’engagement du gouvernement à renouveler la gouvernance de nos politiques de solidarité, permettant aux acteurs de se mobiliser sur des objectifs ambitieux et partagés en laissant toute sa place à l’adaptation aux territoire et à l’initiative locale. Placés auprès de chaque préfet de région, en métropole et outre mer, ils prendront leurs fonctions dès le 2 septembre pour permettre un pilotage et un déploiement de la stratégie au plus près du territoire. Les hauts-commissaires ont pour mission centrale le pilotage et la mise en œuvre de la stratégie pauvreté dans les territoires. Ils assureront la coordination et le pilotage interministériel au niveau régional de cette stratégie, en mobilisant l’ensemble des administrations concernées par les politiques publiques y concourant : petite enfance, hébergement, logement, économie, emploi, formation, éducation, jeunesse, santé et médico-social.
Pour la Corse, le gouvernement a choisi Didier Medori. Diplômé en économie et en droit public et ancien élève de l’institut régional d’administration de Lyon, Didier Medori dispose d’une expérience de plus de 25 ans dans le secteur public.
Pour la Corse, le gouvernement a choisi Didier Medori. Diplômé en économie et en droit public et ancien élève de l’institut régional d’administration de Lyon, Didier Medori dispose d’une expérience de plus de 25 ans dans le secteur public.
Ce lundi au centre culturel L’Alb’Oru à Bastia, Josiane Chevalier, Préfète de Corse, a présidé la deuxième conférence régionale des acteurs de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté à Bastia. Etaient présents François Ravier, Préfet de Haute-Corse, Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté, Delphine Romeï de la Cdc (Mission de coordination des acteurs sociaux et de mise en œuvre du plan précarité), Pierre Savelli, maire de Bastia, ainsi que de l’ensemble des partenaires institutionnels : CAF, Pôle Emploi, DREAL, DDCSPP, DRAAF... et des associations comme Alpha Bastia ou A fratellanza. Si en raison des conditions météorologiques et de la mise en place du Centre Opérationnel Départemental, la préfète et le préfet de la Haute-Corse ont du écourter leurs interventions, nombreuses furent toutefois celles-ci des partenaires institutionnels et associations.
«La conférence avait pour objectif de donner à chaque participant un aperçu des avancées et du déploiement de la stratégie au niveau national » explique Jacqueline Mercury, directrice régionale de la jeunesse des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS) de Corse, « Son objet était aussi de faire un point d'avancement sur les feuilles de route par chantier opérationnel, d’identifier les forces et les contraintes à lever pour finaliser les feuilles de route, enfin de partager les bonnes pratiques et idées déjà à l’œuvre sur les territoires. La stratégie lancée en février dernier est élaborée au niveau national puis déclinée au plan régional. Et pour qu’elle soit déclinée de manière optimale, il faut avoir une vraie approche. Pour bien mettre en place les 15 mesures phares de la stratégie, des animateurs ont préparé le terrain et effectué des diagnostics pour qu’on soit en osmose avec le territoire. Lors de cette deuxième conférence ce lundi, les animateurs des différents groupes de travail sont donc revenus sur ces diagnostics et ont fait un premier retour sur les premières mesures déployées comme la tarification sociale des cantines ou encore la mesure petit déjeuner qui prendra corps en septembre. En 5 mois on a déjà bien avancé, avec du concret. Ce rendez-vous à Bastia servait à ça. ».
Lors de cette conférence une personne est également venue témoigner de sa détresse face à la rigueur de certaines administrations.
Quant à Olivier Noblecourt, il est venu présenter la nouvelle stratégie du gouvernement qui porte deux ambitions majeures d'investissement social: dans l'éducation et la formation et dans l'accompagnement et l'émancipation sociale par l'emploi. « Cette stratégie est déclinée territorialement dans un esprit de co-construction avec la collectivité de Corse et de décloisonnement avec les associations » a-t-il notamment déclaré.
CNI a fait aussi le point avec Olivier Noblecourt
«La conférence avait pour objectif de donner à chaque participant un aperçu des avancées et du déploiement de la stratégie au niveau national » explique Jacqueline Mercury, directrice régionale de la jeunesse des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS) de Corse, « Son objet était aussi de faire un point d'avancement sur les feuilles de route par chantier opérationnel, d’identifier les forces et les contraintes à lever pour finaliser les feuilles de route, enfin de partager les bonnes pratiques et idées déjà à l’œuvre sur les territoires. La stratégie lancée en février dernier est élaborée au niveau national puis déclinée au plan régional. Et pour qu’elle soit déclinée de manière optimale, il faut avoir une vraie approche. Pour bien mettre en place les 15 mesures phares de la stratégie, des animateurs ont préparé le terrain et effectué des diagnostics pour qu’on soit en osmose avec le territoire. Lors de cette deuxième conférence ce lundi, les animateurs des différents groupes de travail sont donc revenus sur ces diagnostics et ont fait un premier retour sur les premières mesures déployées comme la tarification sociale des cantines ou encore la mesure petit déjeuner qui prendra corps en septembre. En 5 mois on a déjà bien avancé, avec du concret. Ce rendez-vous à Bastia servait à ça. ».
Lors de cette conférence une personne est également venue témoigner de sa détresse face à la rigueur de certaines administrations.
Quant à Olivier Noblecourt, il est venu présenter la nouvelle stratégie du gouvernement qui porte deux ambitions majeures d'investissement social: dans l'éducation et la formation et dans l'accompagnement et l'émancipation sociale par l'emploi. « Cette stratégie est déclinée territorialement dans un esprit de co-construction avec la collectivité de Corse et de décloisonnement avec les associations » a-t-il notamment déclaré.
CNI a fait aussi le point avec Olivier Noblecourt