Nonce Giacomoni, Danièle Franceschi, Pierre-Louis Alessandri, Marc Germain et Georgette Simeoni l'ont martelé à plusieurs reprises samedi matin au siège de l'UDAF de Bastia où le nouveau collectif s'était rassemblé pour annoncer sa constitution : " Tous ensemble nous voulons œuvrer à la défense des usagers du service de santé et à permettre l'accès aux soins des plus faibles. Mais nous voulons aussi peser sur la politique de l'hospitalisation, sur les projets que l'on entend mener et sur les risques qui pourraient en découler".
Dans le cadre du feu CIIS l'union était déjà de mise mais le nouveau Collectif veut aller encore plus loin sur ce plan. Il veut, ainsi que l'a souligné d'emblée Nonce Giacomoni, son président, "être une force de proposition, une force face à la maladie et ses problèmes".
En fait le Collectif entend faire respecter la "démocratie sanitaire" sur laquelle pèse de grosses menaces comme la disparition de la loi du 11 Février 2005 sur le handicap.
Pour le CISCS "la santé ne doit pas être seulement pour les riches" et, si ici on se défend de faire de la politique, on a relevé, unanimement, que "l'on avait rarement vu Gouvernement aussi fermé que celui-ci" à l'image de son ministre de la Santé, qui lors d'une visite du centre hospitalier a fait "preuve d'un mépris total" pour la structure.
Le mot d'ordre du Collectif qui concerne 10 000 familles, ainsi que nous le dit dans la vidéo ci-dessous de Danièle Franceschi, est donc de mettre en avant tous les droits des malades et de les utiliser.
Désormais comme les institutions de l'Île, qui ont évolué vers une seule collectivité, les nombreuses associations qui ont adhéré ou qui vont encore adhérer au Collectif, parleront, justement, d'une seule et même voix, elles qui sont en symbiose avec la réalité : en tout cas elles entendent peser de tout leurs droits associatifs pour la défense des malades.
Dans le cadre du feu CIIS l'union était déjà de mise mais le nouveau Collectif veut aller encore plus loin sur ce plan. Il veut, ainsi que l'a souligné d'emblée Nonce Giacomoni, son président, "être une force de proposition, une force face à la maladie et ses problèmes".
En fait le Collectif entend faire respecter la "démocratie sanitaire" sur laquelle pèse de grosses menaces comme la disparition de la loi du 11 Février 2005 sur le handicap.
Pour le CISCS "la santé ne doit pas être seulement pour les riches" et, si ici on se défend de faire de la politique, on a relevé, unanimement, que "l'on avait rarement vu Gouvernement aussi fermé que celui-ci" à l'image de son ministre de la Santé, qui lors d'une visite du centre hospitalier a fait "preuve d'un mépris total" pour la structure.
Le mot d'ordre du Collectif qui concerne 10 000 familles, ainsi que nous le dit dans la vidéo ci-dessous de Danièle Franceschi, est donc de mettre en avant tous les droits des malades et de les utiliser.
Désormais comme les institutions de l'Île, qui ont évolué vers une seule collectivité, les nombreuses associations qui ont adhéré ou qui vont encore adhérer au Collectif, parleront, justement, d'une seule et même voix, elles qui sont en symbiose avec la réalité : en tout cas elles entendent peser de tout leurs droits associatifs pour la défense des malades.
Ce qu'il faut savoir
Président
Nonce Giacomoni
Vice-présidents
Georgette Simeoni
Andrée Parigi
Pierre-Louis Alessandri
Secrétaire générale
Danièle Franceschi
Trésorier
Vicent Bernardi
CICS-Collectif Corse-Santé
c/o Udaf 2B, 4, cours Pierangeli 20200 Bastia
contact @corsesante.corsica
Facebook CICS-Collectif Santé Corse
Site internet (à venir)
www.corseante.corsica
Nonce Giacomoni
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Georgette Simeoni
Andrée Parigi
Pierre-Louis Alessandri
Secrétaire générale
Danièle Franceschi
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