De gauche à droite, Guillaume, Jeremy, Jean baptiste et Alexandre les quatre mousquetaires du groupe Black Poison.
Ils sont quatre jeunes musiciens âgés de 23 à 27 ans , tous originaires de la région bastiaise. Ils se connaissent depuis les bancs du collège ou du lycée et une grande complicité les unit. Complicité faite d'amitié sincère certes et cela se voit, mais aussi et surtout de passion, une passion incommensurable pour la musique. Alexandre Vinciguerra le batteur étudiant en BTS, Jeremy Volleli le bassiste infirmier de son état, Jean Baptiste Sardi le guitariste solo agent administratif, et enfin Guillaume Bangoura également guitariste et chanteur du groupe, ont à force de travail, de répétitions et de recherche musicale , trouvé tous les ingrédients qui font qu'un bon groupe de rock, les Black Poison , est né il y a maintenant de cela deux ans, pour le plus grand plaisir de leurs fans et de tous les passionnés de bonne musique.
Après avoir fait leurs premières armes dans un local de musique et d'enregistrement où ils ont appris durant près de trois mois à mieux se connaître, les quatre amis tentent en 2015, une expérience tremplin rock à l'échelle régionale avec "Emergenza", une sorte de tournoi au cours duquel s'affrontent musicalement plusieurs groupes insulaires. Ils iront en finale régionale et se classeront dans le quatuor de tête.
Après avoir fait leurs premières armes dans un local de musique et d'enregistrement où ils ont appris durant près de trois mois à mieux se connaître, les quatre amis tentent en 2015, une expérience tremplin rock à l'échelle régionale avec "Emergenza", une sorte de tournoi au cours duquel s'affrontent musicalement plusieurs groupes insulaires. Ils iront en finale régionale et se classeront dans le quatuor de tête.
Black Poison sur scène ça décoiffe !!
Leur première grosse scène, ils la réaliseront en juin 2015 au cours du festival Corsica Woodstock dans les vignes de Saint-Florent. Puis moins d'un mois après, à l'Arinella, ils feront la première partie du concert de Johnny Gallagher. Reprenant avec brio et justesse les meilleures chansons de groupes très connus comme Deep Purple, AC/DC, ou encore Scorpions, les quatre compères y ajoutent un jeu de scène digne du nom de leur groupe, un peu comme si un bien curieux poison noir coulait dans leurs veines, leur donnant le pouvoir bien réel de captiver l'auditoire et de transformer la salle dont ils occupent si bien l'espace en l'anti-chambre d'un paradis ou d'un enfer musical. Et ne voyez rien de péjoratif dans le terme d'enfer musical mais plutôt une forme d'envoûtement infernal et d'addiction au rythme endiablé du son d'une basse ou d'une grosse caisse.
Assurément, ces jeunes corses assurent, et ils ne se contentent pas de reprises car leur actualité créative est riche. Depuis près d'un an, ils travaillent sur une maquette de créations dont certains titres "Burn in Hells, War, ou encore Hit the road" sont déjà très révélateurs. Entre heavy metal, heavy rock et classic rock, leurs cœurs balancent et leurs doigts courent sur les cordes de leurs guitares électriques. Ne reste plus qu'à trouver les producteurs qui sauront reconnaître le véritable talent créatif, artistique et musical de ces jeunes corses déjà connus et reconnus dans le milieu des bikers insulaires puisqu'ils ont déjà eu l'occasion de se produire au cours de la Galeria Biker Bay puis au cours de l'été dans le Niolu où ils avaient été invité par un tout nouveau club de bikers I Sintineddi.
Par-delà les montagnes du Niolu, au dessus des étendues de la grande bleue, Alexandre, Jeremy, Guillaume et Jean-Baptiste rêvent comme bon nombre de jeunes artistes de se faire connaître et remarquer en Corse et sur le continent. Souhaitons leur le meilleur.
Assurément, ces jeunes corses assurent, et ils ne se contentent pas de reprises car leur actualité créative est riche. Depuis près d'un an, ils travaillent sur une maquette de créations dont certains titres "Burn in Hells, War, ou encore Hit the road" sont déjà très révélateurs. Entre heavy metal, heavy rock et classic rock, leurs cœurs balancent et leurs doigts courent sur les cordes de leurs guitares électriques. Ne reste plus qu'à trouver les producteurs qui sauront reconnaître le véritable talent créatif, artistique et musical de ces jeunes corses déjà connus et reconnus dans le milieu des bikers insulaires puisqu'ils ont déjà eu l'occasion de se produire au cours de la Galeria Biker Bay puis au cours de l'été dans le Niolu où ils avaient été invité par un tout nouveau club de bikers I Sintineddi.
Par-delà les montagnes du Niolu, au dessus des étendues de la grande bleue, Alexandre, Jeremy, Guillaume et Jean-Baptiste rêvent comme bon nombre de jeunes artistes de se faire connaître et remarquer en Corse et sur le continent. Souhaitons leur le meilleur.