« La difficulté est la gestion de ce qui se passe à l’extérieur et à l’intérieur » a déclaré Régis Brouard au cours de la conference d'avant match. « Aujourd’hui, nous, nous sommes dans le même discours, que ce soit sur le plan individuel ou collectif. On a le même plan de travail. Il n’y a rien d’exagéré. Nous sommes des invités surprises à la table d’un repas où on n’était pas prévu. On y vient volontiers, avec plaisir ».
Si Le Havre, Bordeaux, Sochaux, Metz voire Caen figuraient parmi les prétendants à la montée en Ligue 1 en début de saison, le Sporting qui revient de l’enfer, ne pensait pas à 9 journées de la fin se retrouver dans le Top 5. Une invitation que dirigeants, staff et joueurs prennent avec plaisir et sérieux. Et du sérieux, il y en aura ce samedi à partir de 15h sur la pelouse du Matmut Atlantique. « Bordeaux, comme toutes ces équipes comme Sochaux qu’on a rencontrée samedi, ont beaucoup de ressemblances comme la maitrise technique. Mais une maitrise technique dans un rythme à eux. Si on se met à leur rythme, comme ils ont beaucoup d’individualités et de maitrise dans leur jeu, ça peut être compliqué ». Au match aller, en début de saison, à Furiani, le SCB avait obtenu le nul après avoir été mené par les Bordelais. « La différence entre le match aller et aujourd’hui n’est pas comparable. A l’époque ils se cherchaient encore. Aujourd’hui chacun a trouvé son équilibre ».
Autre inconnue de cette rencontre, le Sporting va jouer dans un stade de 35 000 spectateurs, dont une poignée de supporters turchini. « On n’en a pas l’habitude. La majorité de l’effectif va découvrir cela ».
Il y aura bien sûr des supporters corses dans ce grand stade : la diaspora mais aussi une bonne centaine de l’île grâce à l’affrètement d’un avion spécial de 170 places au départ de Poretta. « On est reconnaissant aux gens qui vont faire le déplacement et la plus belle des récompenses pour eux sera de faire notre match » confie Régis Brouard. Côté effectif, le technicien bastiais récupère son capitaine Christophe Vincent et emmènera avec lui 19 joueurs, Kevin Van Den Kerkhof étant légèrement grippé. « Je ferai le point avec lui samedi matin » indique le coach.
Côté statistiques, un SCB loin d’être favori !
Sur 37 matchs professionnels, coupes et championnats, le SCB ne s’est guère illustré en Gironde : 2 victoires pour 26 défaites et 9 matchs nuls.
Les plus anciens se souviendront d’une débâcle 8 – 1 encaissée lors de la 8ème journée de D1, le 19 octobre 1968 !
Les plus jeunes, d’une belle victoire en décembre 1995 dans le cadre de la 21ème journée de D1. Le 9 de ce mois, les joueurs de Frédéric Antonetti s’étaient imposés 3 buts à 1 grâce à des réalisations de Rodriguez, Drobnjak et Laurent.
Si Le Havre, Bordeaux, Sochaux, Metz voire Caen figuraient parmi les prétendants à la montée en Ligue 1 en début de saison, le Sporting qui revient de l’enfer, ne pensait pas à 9 journées de la fin se retrouver dans le Top 5. Une invitation que dirigeants, staff et joueurs prennent avec plaisir et sérieux. Et du sérieux, il y en aura ce samedi à partir de 15h sur la pelouse du Matmut Atlantique. « Bordeaux, comme toutes ces équipes comme Sochaux qu’on a rencontrée samedi, ont beaucoup de ressemblances comme la maitrise technique. Mais une maitrise technique dans un rythme à eux. Si on se met à leur rythme, comme ils ont beaucoup d’individualités et de maitrise dans leur jeu, ça peut être compliqué ». Au match aller, en début de saison, à Furiani, le SCB avait obtenu le nul après avoir été mené par les Bordelais. « La différence entre le match aller et aujourd’hui n’est pas comparable. A l’époque ils se cherchaient encore. Aujourd’hui chacun a trouvé son équilibre ».
Autre inconnue de cette rencontre, le Sporting va jouer dans un stade de 35 000 spectateurs, dont une poignée de supporters turchini. « On n’en a pas l’habitude. La majorité de l’effectif va découvrir cela ».
Il y aura bien sûr des supporters corses dans ce grand stade : la diaspora mais aussi une bonne centaine de l’île grâce à l’affrètement d’un avion spécial de 170 places au départ de Poretta. « On est reconnaissant aux gens qui vont faire le déplacement et la plus belle des récompenses pour eux sera de faire notre match » confie Régis Brouard. Côté effectif, le technicien bastiais récupère son capitaine Christophe Vincent et emmènera avec lui 19 joueurs, Kevin Van Den Kerkhof étant légèrement grippé. « Je ferai le point avec lui samedi matin » indique le coach.
Côté statistiques, un SCB loin d’être favori !
Sur 37 matchs professionnels, coupes et championnats, le SCB ne s’est guère illustré en Gironde : 2 victoires pour 26 défaites et 9 matchs nuls.
Les plus anciens se souviendront d’une débâcle 8 – 1 encaissée lors de la 8ème journée de D1, le 19 octobre 1968 !
Les plus jeunes, d’une belle victoire en décembre 1995 dans le cadre de la 21ème journée de D1. Le 9 de ce mois, les joueurs de Frédéric Antonetti s’étaient imposés 3 buts à 1 grâce à des réalisations de Rodriguez, Drobnjak et Laurent.