Il y avait foule, récemment dernier à la boucherie-traiteur du Brasilia, à Ajaccio. Près de 150 personnes pour un apéritif convivial. Il faut dire que c’est un petit événement auquel nous avons assisté.
En place dans le quartier depuis vingt ans, Jean-Louis Ventura a décidé d’arrêter son activité. L’enseigne, qui devient alors « la boucherie d’Ajaccio » a été reprise par les frères Jean-Philippe et François-Joseph d’Amore.
Originaires de Bastelica, ils sont, tous deux, issus d’une famille de bouchers ajacciens, notamment leur grand-père, Jojo Forcioli, bien connu dans la cité impériale. Ce dernier a d’ailleurs donné les premiers conseils, soulignant « l’accueil, la propreté et la qualité des produits proposés » comme clé de la réussite.
François-Joseph, par ailleurs berger – il vend ses propres fromages - ouvre donc, après celle qu’il tient depuis quelques années à Saint-Florent, une deuxième boucherie, celle-ci avec son frère Jean-Philippe. « Dans un premier temps, expliquent les deux frères, nous resterons dans la continuité du travail effectué par Jean-Louis Ventura. Puis, nous nous efforcerons d’apporter notre touche personnelle, notamment au niveau du rayon traiteur. »
Au terme d’un apéritif dinatoire, placé sous le signe de la convivialité, tout le monde a pris congé.
Reste, désormais, aux deux frères, à reprendre le flambeau familial…
En place dans le quartier depuis vingt ans, Jean-Louis Ventura a décidé d’arrêter son activité. L’enseigne, qui devient alors « la boucherie d’Ajaccio » a été reprise par les frères Jean-Philippe et François-Joseph d’Amore.
Originaires de Bastelica, ils sont, tous deux, issus d’une famille de bouchers ajacciens, notamment leur grand-père, Jojo Forcioli, bien connu dans la cité impériale. Ce dernier a d’ailleurs donné les premiers conseils, soulignant « l’accueil, la propreté et la qualité des produits proposés » comme clé de la réussite.
François-Joseph, par ailleurs berger – il vend ses propres fromages - ouvre donc, après celle qu’il tient depuis quelques années à Saint-Florent, une deuxième boucherie, celle-ci avec son frère Jean-Philippe. « Dans un premier temps, expliquent les deux frères, nous resterons dans la continuité du travail effectué par Jean-Louis Ventura. Puis, nous nous efforcerons d’apporter notre touche personnelle, notamment au niveau du rayon traiteur. »
Au terme d’un apéritif dinatoire, placé sous le signe de la convivialité, tout le monde a pris congé.
Reste, désormais, aux deux frères, à reprendre le flambeau familial…