Il n'y a rien de plus logique.
L'action qui a été engagée par la justice, quelques jours plus tard, l'est moins.
Le parquet de Paris. Une information judiciaire. Une garde à vue. Et une notification à comparaitre devant la justice parisienne.
C'est vrai, on l'avait oublié, Brandao est un dangereux malfaiteur des surfaces de réparation.
On l'a vu en boucle toute la semaine, répondre à un supporter marseillais, blesser Thiago Silva, mettre un coup de coude à Cabaye. Donner ce coup de tête à Thiago Motta.
Un tel footballeur, c'est sûr, mérite d'être mis hors d'état de nuire.
La lfp s'apprête, avec une joie que l'on devine jubilatoire, à le faire
La justice va s'intéresser à son tour à tous les coups tordus - déboucheront-ils, eux aussi, sur l'ouverture d'informations judiciaires ?- qui se donnent sur les aires de jeu. En particulier à ceux que distribuent, comme tout footballeur de sa trempe, le Brésilien Brandao depuis le début de sa carrière.
Un Brandao qui a eu le tort, sans doute, de s'attaquer au "Prince", celui-là même qui, peu après l'incident, réclamait une suspension à vie du fautif.
La présence de Thiago Motta sur le banc parisien vendredi soir à Evian lui ôtera certainement ce plaisir.
Reste alors la justice civile.
C'est là où "l'affaire", car ça en est une désormais, dérape complètement.
Comme si on voulait faire payer à tout prix et sans doute au prix fort Brandao dont nous n'excuserons, répétons-le, jamais le geste, mais à propos duquel il faudra se poser la question de savoir s'il sera puni pour ce qu'il a fait ou s'il le sera, surtout avec un tel renfort de publicité, parce qu'il portait au moment des faits le maillot du Sporting ?
U troppu…
L'action qui a été engagée par la justice, quelques jours plus tard, l'est moins.
Le parquet de Paris. Une information judiciaire. Une garde à vue. Et une notification à comparaitre devant la justice parisienne.
C'est vrai, on l'avait oublié, Brandao est un dangereux malfaiteur des surfaces de réparation.
On l'a vu en boucle toute la semaine, répondre à un supporter marseillais, blesser Thiago Silva, mettre un coup de coude à Cabaye. Donner ce coup de tête à Thiago Motta.
Un tel footballeur, c'est sûr, mérite d'être mis hors d'état de nuire.
La lfp s'apprête, avec une joie que l'on devine jubilatoire, à le faire
La justice va s'intéresser à son tour à tous les coups tordus - déboucheront-ils, eux aussi, sur l'ouverture d'informations judiciaires ?- qui se donnent sur les aires de jeu. En particulier à ceux que distribuent, comme tout footballeur de sa trempe, le Brésilien Brandao depuis le début de sa carrière.
Un Brandao qui a eu le tort, sans doute, de s'attaquer au "Prince", celui-là même qui, peu après l'incident, réclamait une suspension à vie du fautif.
La présence de Thiago Motta sur le banc parisien vendredi soir à Evian lui ôtera certainement ce plaisir.
Reste alors la justice civile.
C'est là où "l'affaire", car ça en est une désormais, dérape complètement.
Comme si on voulait faire payer à tout prix et sans doute au prix fort Brandao dont nous n'excuserons, répétons-le, jamais le geste, mais à propos duquel il faudra se poser la question de savoir s'il sera puni pour ce qu'il a fait ou s'il le sera, surtout avec un tel renfort de publicité, parce qu'il portait au moment des faits le maillot du Sporting ?
U troppu…