Simon Renucci cite Diderot : « On ne peut s’intéresser qu’à ce que l’on croit vrai » et c’est dans la recherche de cette vérité qu’il nous faut continuer à œuvrer demain. Le défi de l’intercommunalité, nous l’avons relevé tous ensemble dans la mesure où la CAPA est présente dans le paysage institutionnel depuis le 15 décembre 2001… »
Il a exposé les objectifs de la CAPA qui a fêté ses douze ans récemment et mis l’accent sur la volonté et la capacité à œuvrer pour faire vivre le territoire de façon à la construire de manière cohérente. Le président de la CAPA a rappelé que le gros travail a été fait dans la confiance et le respect mutuel : « Nous avons tous ensemble affirmé que l’intercommunalité n’est pas une fin en soi, c’est un moyen au service d’un projet qui consiste à améliorer le quotidien du
territoire, de ses habitants. Tel est notre souci. »
Le chemin parcouru…
Et Simon Renucci de rappeler point par point les travaux sur les déplacements et la mobilité, la poursuite de la tarification sociale, l’accessibilité au réseau avec un investissement annuel de 900 000 euros par an depuis 2010, la mise en place du service « Allo Bus », les déchets ménagers avec la baisse de production, l’adhésion de la CAPA au syndicat régional de traitement, la réhabilitation de la décharge de St Antoine, la baisse de la fiscalité déchets et le maintien du taux des taxes de ménage, la gestion de l’eau (collecteurs de raccordement à la station d’épuration de Campo Dell’Oro, la prime à l’assainissement collectif, sans oublier le développement économique et la création et le maintien de 35 emplois, les conventions, le logement bien sûr, avec un programme de 912 logements par an durant six ans dont 295 logements sociaux, la coopération intercommunale sur le bassin de vie, les points visio-relais jusqu’à Sagone etc.
Et Simon Renucci de rappeler point par point les travaux sur les déplacements et la mobilité, la poursuite de la tarification sociale, l’accessibilité au réseau avec un investissement annuel de 900 000 euros par an depuis 2010, la mise en place du service « Allo Bus », les déchets ménagers avec la baisse de production, l’adhésion de la CAPA au syndicat régional de traitement, la réhabilitation de la décharge de St Antoine, la baisse de la fiscalité déchets et le maintien du taux des taxes de ménage, la gestion de l’eau (collecteurs de raccordement à la station d’épuration de Campo Dell’Oro, la prime à l’assainissement collectif, sans oublier le développement économique et la création et le maintien de 35 emplois, les conventions, le logement bien sûr, avec un programme de 912 logements par an durant six ans dont 295 logements sociaux, la coopération intercommunale sur le bassin de vie, les points visio-relais jusqu’à Sagone etc.
« Je sais ce que nous avons entrepris, accompli et réussi, nous le devons à l’engagement, à la loyauté, au travail de l’ensemble des élus, des partenaires de l’action publique locale.
La CAPA aspire à rassembler ses forces dans le respect de ses différences, à faire prévaloir l’intérêt général sur les intérêts particuliers, à continuer à œuvrer au service de tous. C’est la raison pour laquelle, après le vote de notre budget, des projets sont d’ores et déjà inscrits dans l’agenda 2014 » a expliqué le président de la CAPA avant de donner un liste - non exhaustive - des travaux à accomplir :
- Déplacement de la gare dans le cadre du programme de fond de baie
- L’arrêt des scénarios du schéma d’aménagement et de gestion des eaux
- La mise en place de la tarification indicative des déchets ménagers
- La révision du plan de déplacements urbains etc.
« Je sais que des difficultés jalonneront le parcours, à savoir le PADDUC, dossier difficile, les réformes institutionnelles, les arrêtés Miot, sans oublier le chômage, la précarité, la violence…Mais je sais aussi pouvoir compter sur la volonté de chacun d’entre vous, les communes membres et en particulier la ville d’Ajaccio. Traduisons cette volonté forte par la mise en œuvre de projets qui sauront apporter à nos concitoyens et aux générations futures ce qu’ils sont en doit d’attendre de nous. »
J. F.
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