Il était important de faire un point sur l’état des lieux des démarches entreprises sur la création de la nouvelle compagnie régionale maritime sans pour autant ne rien dévoiler sur la future Délégation de Service Public et des futures Obligations de Service Public. Le président de l’Office est bien sur revenu sur les amendes issues de la Cour Européenne de Justice mais aussi sur les relations qui s’améliorent entre la Corse et Marseille au fil des réunions et des échanges, le tout en attendant la décision finale qui devrait intervenir lors de la session de la dernière semaine de juin.
- Une troisième réunion-marathon constructive semble-t-il ?
- Le constructif et le positif sont de mise c’est vrai. Nous avons annoncé que nous étions en train de discuter avec les opérateurs pour arriver à préciser les dispositifs à mettre en place, investissement et outil naval d’une part, la société d’exploitation dans laquelle pourrait entrer la Collectivité Territoriale de l’autre et enfin, bordurer ce que sera le futur système de continuité territoriale au sens de la sécurisation juridique. De ce point de vue là, je pense que nous serons en mesure de présenter un projet cohérent devant l’assemblée de Corse à la fin de ce mois. Il faudra faire en sorte que la Corse connaisse un changement radical et positif du point de vue de la gestion de ces transports maritimes.
- Comment ça se présente ?
- Je ne suis pas encore en mesure d’entrer dans le détail dans la mesure où l’on entre dans des dispositifs d’accords finaux. Nous aurons l’occasion de détailler tout cela par la suite : bien bordurer la continuité territoriale du service public, la société d’investissement, faire en sorte quel sera le rôle et la place de la Collectivité Territoriale feront l’objet de toutes ces précisions puisque tous ces points sont inclus dans le modèle global qui sera présenté.
- Les relations avec la cité Phocéenne ?
- Elles s’améliorent. Nos interlocuteurs sont parfaitement conscients que la marche en avant du port de Marseille passe obligatoirement par la sécurisation de la desserte de la Corse. En ce qui concerne l’audience du tribunal reportée au mois de juin prochain, il ne faut pas focaliser sur cela. Le report est signe d’apaisement.
- La suite ?
- Nous nous rendrons ce jour à Bruxelles avec une délégation pour bien sécuriser le projet de desserte maritime. Il s’agit du 6e déplacement et au cours de celui-ci, nous espérons voir la discontinuité ne faire aucun doute. Depuis janvier dernier, nous sommes sur le terrain, rappelez-vous l’affaire des amendes et de la discontinuité, rien à voir avec ce que l’on a pu constater. Mais les choses s’arrangent, nous gardons un optimisme mesuré sur ce dossier qui va nous permettre de présenter un projet cohérent, harmonieux, fiable dans quelques jours .
- Une troisième réunion-marathon constructive semble-t-il ?
- Le constructif et le positif sont de mise c’est vrai. Nous avons annoncé que nous étions en train de discuter avec les opérateurs pour arriver à préciser les dispositifs à mettre en place, investissement et outil naval d’une part, la société d’exploitation dans laquelle pourrait entrer la Collectivité Territoriale de l’autre et enfin, bordurer ce que sera le futur système de continuité territoriale au sens de la sécurisation juridique. De ce point de vue là, je pense que nous serons en mesure de présenter un projet cohérent devant l’assemblée de Corse à la fin de ce mois. Il faudra faire en sorte que la Corse connaisse un changement radical et positif du point de vue de la gestion de ces transports maritimes.
- Comment ça se présente ?
- Je ne suis pas encore en mesure d’entrer dans le détail dans la mesure où l’on entre dans des dispositifs d’accords finaux. Nous aurons l’occasion de détailler tout cela par la suite : bien bordurer la continuité territoriale du service public, la société d’investissement, faire en sorte quel sera le rôle et la place de la Collectivité Territoriale feront l’objet de toutes ces précisions puisque tous ces points sont inclus dans le modèle global qui sera présenté.
- Les relations avec la cité Phocéenne ?
- Elles s’améliorent. Nos interlocuteurs sont parfaitement conscients que la marche en avant du port de Marseille passe obligatoirement par la sécurisation de la desserte de la Corse. En ce qui concerne l’audience du tribunal reportée au mois de juin prochain, il ne faut pas focaliser sur cela. Le report est signe d’apaisement.
- La suite ?
- Nous nous rendrons ce jour à Bruxelles avec une délégation pour bien sécuriser le projet de desserte maritime. Il s’agit du 6e déplacement et au cours de celui-ci, nous espérons voir la discontinuité ne faire aucun doute. Depuis janvier dernier, nous sommes sur le terrain, rappelez-vous l’affaire des amendes et de la discontinuité, rien à voir avec ce que l’on a pu constater. Mais les choses s’arrangent, nous gardons un optimisme mesuré sur ce dossier qui va nous permettre de présenter un projet cohérent, harmonieux, fiable dans quelques jours .
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