65,9 millions de personnes vivaient en France métropolitaine et dans quatre départements d'outre-mer au 1er janvier 2014, selon des chiffres définitifs de l'Insee publiés samedi au Journal officiel.
Ces chiffres, il faut le savoir, cumulent les "populations municipales" des communes, qui ne prennent en compte que les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune, ainsi que les détenus et les sans-abri. Cette définition permet d'éviter les doublons. Mais le décret donne aussi les chiffres des "populations totales", qui incluent les personnes qui, en plus de leur résidence habituelle, disposent aussi d'une résidence dans une autre commune. Même si elle génère des doublons, c'est cette définition qui fera foi au 1er janvier 2017 pour l'application des lois et règlements.
Corse : + 1,3%
En se basant sur cette population "légale", toutes les grandes régions métropolitaines actuelles ont vu leur population augmenter au cours de l'année 2013, sauf la Bourgogne-Franche-Comté, qui a perdu 753 habitants.
C'est en Corse que la hausse est la plus forte (+1,3%, +4 100 habitants).
La Haute-Corse totalise 175 499 habitants contre 154 100 à la Corse-du-Sud.
L'Occitanie (+0,8%, +44 600), les Pays de la Loire (+0,8%, +29 100) et l'Auvergne-Rhône-Alpes (+0,8%, +60 100) sont également en progression.
Les chiffres de la population municipale et de la population totale des régions, des départements de métropole, de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de La Réunion, et des collectivités territoriales de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon sont arrêtés aux chiffres figurant dans le tableau ci-dessous Le chiffre de la population totale est celui auquel il convient de se référer pour l’application des lois et règlements à compter du 1 janvier 2017.
Ces chiffres, il faut le savoir, cumulent les "populations municipales" des communes, qui ne prennent en compte que les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune, ainsi que les détenus et les sans-abri. Cette définition permet d'éviter les doublons. Mais le décret donne aussi les chiffres des "populations totales", qui incluent les personnes qui, en plus de leur résidence habituelle, disposent aussi d'une résidence dans une autre commune. Même si elle génère des doublons, c'est cette définition qui fera foi au 1er janvier 2017 pour l'application des lois et règlements.
Corse : + 1,3%
En se basant sur cette population "légale", toutes les grandes régions métropolitaines actuelles ont vu leur population augmenter au cours de l'année 2013, sauf la Bourgogne-Franche-Comté, qui a perdu 753 habitants.
C'est en Corse que la hausse est la plus forte (+1,3%, +4 100 habitants).
La Haute-Corse totalise 175 499 habitants contre 154 100 à la Corse-du-Sud.
L'Occitanie (+0,8%, +44 600), les Pays de la Loire (+0,8%, +29 100) et l'Auvergne-Rhône-Alpes (+0,8%, +60 100) sont également en progression.
Les chiffres de la population municipale et de la population totale des régions, des départements de métropole, de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de La Réunion, et des collectivités territoriales de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon sont arrêtés aux chiffres figurant dans le tableau ci-dessous Le chiffre de la population totale est celui auquel il convient de se référer pour l’application des lois et règlements à compter du 1 janvier 2017.