Selon Le Marin, ce préavis de grève, qui intervient après celui de janvier, concerne notamment la transformation en CDI des contrats de deux dockers employés pendant plusieurs années de manière occasionnelle. Un changement de contrat qui aurait reçu un avis favorable des prud'hommes, ce qui motive le mouvement de grogne. Les revendications portent aussi sur les conditions de travail. Les dockers CGT d'EGM souhaitent donc « de véritables négociations à Toulon et non à Bastia, afin que soient constatées nos conditions de travail ».
Selon toujours l'hebdomadaire de l'économie maritime, la direction d’EGM, par la voix de Pierre Mattei, patron de la Corsica Ferries, affiche son incompréhension. « Quatre dates ont été proposées pour des discussions au siège. Et aucune revendication n’a été entendue lors d’une réunion en mars, nous les avons découvertes il y a 24 heures. Une rencontre à Toulon ne peut se faire dans l’immédiat. Ces points peuvent être réglés à distance. »
Selon toujours l'hebdomadaire de l'économie maritime, la direction d’EGM, par la voix de Pierre Mattei, patron de la Corsica Ferries, affiche son incompréhension. « Quatre dates ont été proposées pour des discussions au siège. Et aucune revendication n’a été entendue lors d’une réunion en mars, nous les avons découvertes il y a 24 heures. Une rencontre à Toulon ne peut se faire dans l’immédiat. Ces points peuvent être réglés à distance. »