A Furiani
SCB : 1 AJ Auxerre : 0 (0-0 )
Bu pour le SCB : Modeste (82e)
Avertissement : Mandjeck (78e)
Spectateurs : 7 282
Arbitre : M. Bien
SCB :
Bonnefoi, Cioni, Choplin, Marchal puis Sans (23e), Marque, Sable, Palmieri, Rothen puis Maoulida (78e), Thauvin, Khazri, Modeste Novaes, Mary, Cahuzac, Yatabare, Maoulida, Barbato
AJ Auxerre :
Sorin, Hengbart, Boly, Coulibaly, Rivieyran, Mandjeck, Sidibe, Segbafia, Langil puis Oliech (77e), Bourgeois, Ntep puis Kapo (82e)( Leon, Haddad, Makengo, Ndong)
Faut-il en rire ou bien en pleurer ?
Chacun appréciera, sans doute, à sa façon. La pelouse du stade Armand-Cesari, posée à grands renforts de publicité et supposée être ou compter parmi les plus belles d'Europe, va être revue et corrigée de fond en combles dès dimanche. Et aux frais de l'entreprise qui l'a posée...
C'est le résultat de l'état calamiteux de l'aire de jeu de Furiani devenue en l'espace de quelques semaines seulement indigne d'un club de Ligue 1.
Mais si l'état de la pelouse était pour le moins préoccupant, au coup d'envoi les soucis bastiais étaient ailleurs. Déjà tournés vers les quarts de finale sans doute. Et Lille annoncé pour le 28 Novembre à Furiani !
Avec une équipe où Bonnefoi, Marque et Sablé étaient alignés d'entrée de jeu, on se rendit rapidement compte qu'il y aurait, comme de coutume, loin de la coupe aux lèvres. D'autant que l'AJ Auxerre n'était pas venue pour faire de la figuration dans un stade où l'assistance était bien plus clairsemée que d'habitude.
Bref, il fallut ainsi attendre une bonne vingtaine de minutes de jeu pour voir le match s'animer un peu. Mais rien de nature à enflammer Furiani !
Le spectacle, en tout cas, n'était pas au rendez-vous. Un peu comme si les bastiais, d'habitude, si fringants, avaient ainsi que le redoutait Hantz mardi, des semelles de plomb face à une équipe icaunaise visiblement plus en jambes mais, elle aussi, bien mal inspirée.
A l'approche de la pause, c'était pourtant elle qui se montrait la plus menaçante et il fallut toute l'autorité de Bonnefoi pour détourner la frappe puissante de Langil qui avait échappé à la vigilance de Cioni.
Et pour la première fois de la saison à Furiani, les sifflets accompagnaient les deux équipes aux vestiaires !
Mais pas davantage de spectacle à la reprise. Ce n'est en fait qu'à l'heure de jeu que l'on vit, coup sur coup, Sorin être mis à contribution. La première fois il boxa le ballon au-dessus de la tête de Modeste et dans la foulée il détourna du poing gauche en corner un centre en retrait, pour le moins difficile à capter, de Rothen (60e).
Mais c'était insuffisant pour pouvoir espérer faire la différence.
Et comme Auxerre ne faisait pas mieux on se prit à redouter la prolongation.C'était toutefois sans compter sur Florian Thauvin, l'homme en forme du Sporting..
Une fois encore le numéro 17 bastiais, comme il l'avait fait à plusieurs reprises pendant la partied s'arrachait sur le côté gauche pour centrer au second poteau. Cette fois Anthony Modeste était à la réception et parvenait, non sans mal, à mettre le ballon au fond des filets auxerrois.
Ouf !
Charles MONTI
SCB : 1 AJ Auxerre : 0 (0-0 )
Bu pour le SCB : Modeste (82e)
Avertissement : Mandjeck (78e)
Spectateurs : 7 282
Arbitre : M. Bien
SCB :
Bonnefoi, Cioni, Choplin, Marchal puis Sans (23e), Marque, Sable, Palmieri, Rothen puis Maoulida (78e), Thauvin, Khazri, Modeste Novaes, Mary, Cahuzac, Yatabare, Maoulida, Barbato
AJ Auxerre :
Sorin, Hengbart, Boly, Coulibaly, Rivieyran, Mandjeck, Sidibe, Segbafia, Langil puis Oliech (77e), Bourgeois, Ntep puis Kapo (82e)( Leon, Haddad, Makengo, Ndong)
Faut-il en rire ou bien en pleurer ?
Chacun appréciera, sans doute, à sa façon. La pelouse du stade Armand-Cesari, posée à grands renforts de publicité et supposée être ou compter parmi les plus belles d'Europe, va être revue et corrigée de fond en combles dès dimanche. Et aux frais de l'entreprise qui l'a posée...
C'est le résultat de l'état calamiteux de l'aire de jeu de Furiani devenue en l'espace de quelques semaines seulement indigne d'un club de Ligue 1.
Mais si l'état de la pelouse était pour le moins préoccupant, au coup d'envoi les soucis bastiais étaient ailleurs. Déjà tournés vers les quarts de finale sans doute. Et Lille annoncé pour le 28 Novembre à Furiani !
Avec une équipe où Bonnefoi, Marque et Sablé étaient alignés d'entrée de jeu, on se rendit rapidement compte qu'il y aurait, comme de coutume, loin de la coupe aux lèvres. D'autant que l'AJ Auxerre n'était pas venue pour faire de la figuration dans un stade où l'assistance était bien plus clairsemée que d'habitude.
Bref, il fallut ainsi attendre une bonne vingtaine de minutes de jeu pour voir le match s'animer un peu. Mais rien de nature à enflammer Furiani !
Le spectacle, en tout cas, n'était pas au rendez-vous. Un peu comme si les bastiais, d'habitude, si fringants, avaient ainsi que le redoutait Hantz mardi, des semelles de plomb face à une équipe icaunaise visiblement plus en jambes mais, elle aussi, bien mal inspirée.
A l'approche de la pause, c'était pourtant elle qui se montrait la plus menaçante et il fallut toute l'autorité de Bonnefoi pour détourner la frappe puissante de Langil qui avait échappé à la vigilance de Cioni.
Et pour la première fois de la saison à Furiani, les sifflets accompagnaient les deux équipes aux vestiaires !
Mais pas davantage de spectacle à la reprise. Ce n'est en fait qu'à l'heure de jeu que l'on vit, coup sur coup, Sorin être mis à contribution. La première fois il boxa le ballon au-dessus de la tête de Modeste et dans la foulée il détourna du poing gauche en corner un centre en retrait, pour le moins difficile à capter, de Rothen (60e).
Mais c'était insuffisant pour pouvoir espérer faire la différence.
Et comme Auxerre ne faisait pas mieux on se prit à redouter la prolongation.C'était toutefois sans compter sur Florian Thauvin, l'homme en forme du Sporting..
Une fois encore le numéro 17 bastiais, comme il l'avait fait à plusieurs reprises pendant la partied s'arrachait sur le côté gauche pour centrer au second poteau. Cette fois Anthony Modeste était à la réception et parvenait, non sans mal, à mettre le ballon au fond des filets auxerrois.
Ouf !
Charles MONTI