Les faits se sont produits mardi à 4h30, un ou plusieurs individus ont tiré à la chevrotine sur les baies vitrées du bar de La Tour, situé au bout du quai Landry, sur le port de Calvi.
Ce n'est que ce matin au petit jour, à l'ouverture de l'établissement, que Jean-Pierre Bicchieray a découvert ce mitraillage et alerté les services de gendarmerie.
Les gendarmes aux ordres du capitaine Burles, commandant la compagnie de gendamerie de Calvi-Balagne s'attachaient à recueillir les premiers témoignages.
Didier Bicchieray, adjoint au maire de Calvi, délégué au sport, rejoignait son frère. Très choqué, ce dernier refusait de s'exprimer, laissant le soin aux forces de l'ordre de faire leur travail.
Ange Santini, maire de Calvi arrivait à son tour sur place pour apporter à son élu et à la famille Bicchieray, tout son soutien. Présent, aussi, sur place Jean-Toussaint Gugliemacci, conseiller général de Calvi-Lumio.
Anne Ballereau, sous-préfète de Calvi était également présente, alors qu'une grande majorité du Conseil municipal arrivait au fil des minutes, tout comme Pierre Guidoni maire et conseiller général de Calenzana.
Nul ne pouvait s'empêcher de faire le rapprochement avec un incident au cours du dernier conseil communautaire lorsque Didier Bicchieray avait été pris à parti par un calvais en proie à des problèmes psychologiques.
Un lien de cause à effet qu'il convient d'appréhender avec la plus grande prudence, d'autant que la personne concernée avait demandé de sa propre initiative à être soignée.
Les enquêteurs cherchaient de leur côté à visionner des caméras de surveillance, susceptibles d'identifier le ou les auteurs de cet acte qui a choqué la population.
Peu avant 12 heures, la personne soupçonnée d'avoir commis cet acte se présentait de son plein gré à la mairie pour s'entretenir avec le premier magistrat Ange Santini, alors que plusieurs membres des forces de l'ordre prenaient position autour de l'hôtel de Ville.
Il se confirmait que l'intéressé aurait eu une discussion avec le maire et de la Ville et, selon nos informations, ce dernier se dit nullement concerné par cette affaire.
Il devait repartir à pied de la mairie.
En fin de journée, Didier Bicchieray devait déposer plainte auprès de la gendarmerie alors qu'à 18 heures, le maire Ange Santini et bon nombre d'élus devaient se réunir pour évoquer la fusillade et décider des suites à éventuellement donner à cette affaire.
Ce n'est que ce matin au petit jour, à l'ouverture de l'établissement, que Jean-Pierre Bicchieray a découvert ce mitraillage et alerté les services de gendarmerie.
Les gendarmes aux ordres du capitaine Burles, commandant la compagnie de gendamerie de Calvi-Balagne s'attachaient à recueillir les premiers témoignages.
Didier Bicchieray, adjoint au maire de Calvi, délégué au sport, rejoignait son frère. Très choqué, ce dernier refusait de s'exprimer, laissant le soin aux forces de l'ordre de faire leur travail.
Ange Santini, maire de Calvi arrivait à son tour sur place pour apporter à son élu et à la famille Bicchieray, tout son soutien. Présent, aussi, sur place Jean-Toussaint Gugliemacci, conseiller général de Calvi-Lumio.
Anne Ballereau, sous-préfète de Calvi était également présente, alors qu'une grande majorité du Conseil municipal arrivait au fil des minutes, tout comme Pierre Guidoni maire et conseiller général de Calenzana.
Nul ne pouvait s'empêcher de faire le rapprochement avec un incident au cours du dernier conseil communautaire lorsque Didier Bicchieray avait été pris à parti par un calvais en proie à des problèmes psychologiques.
Un lien de cause à effet qu'il convient d'appréhender avec la plus grande prudence, d'autant que la personne concernée avait demandé de sa propre initiative à être soignée.
Les enquêteurs cherchaient de leur côté à visionner des caméras de surveillance, susceptibles d'identifier le ou les auteurs de cet acte qui a choqué la population.
Peu avant 12 heures, la personne soupçonnée d'avoir commis cet acte se présentait de son plein gré à la mairie pour s'entretenir avec le premier magistrat Ange Santini, alors que plusieurs membres des forces de l'ordre prenaient position autour de l'hôtel de Ville.
Il se confirmait que l'intéressé aurait eu une discussion avec le maire et de la Ville et, selon nos informations, ce dernier se dit nullement concerné par cette affaire.
Il devait repartir à pied de la mairie.
En fin de journée, Didier Bicchieray devait déposer plainte auprès de la gendarmerie alors qu'à 18 heures, le maire Ange Santini et bon nombre d'élus devaient se réunir pour évoquer la fusillade et décider des suites à éventuellement donner à cette affaire.
Le soutien de la municipalité de Calvi
Ange Santini, maire Calvi communique:
"Ce qui s’est passé cette nuit naturellement nous interpelle. La famille Bicchieray est une famille très honorablement connue à Calvi et aux quatre coins de l’île.
Je rappelle que Didier est l’un de mes proches et qu’il est l’un de mes adjoints depuis de nombreuses années.
Naturellement en mon nom personnel et au nom de mon conseil municipal, nous apportons tout notre soutien à Didier et à sa famille. Nous leur témoignons également toute notre affection.
Bien entendu, nous souhaitons, nous espérons que toute la lumière soit faîte sur cette affaire et que le ou les auteurs seront identifiés et interpellés
Dans une démocratie comme la nôtre où, le dialogue est constant, notamment avec les élus, il n’y a pas de place pour ce genre d’acte".
"Ce qui s’est passé cette nuit naturellement nous interpelle. La famille Bicchieray est une famille très honorablement connue à Calvi et aux quatre coins de l’île.
Je rappelle que Didier est l’un de mes proches et qu’il est l’un de mes adjoints depuis de nombreuses années.
Naturellement en mon nom personnel et au nom de mon conseil municipal, nous apportons tout notre soutien à Didier et à sa famille. Nous leur témoignons également toute notre affection.
Bien entendu, nous souhaitons, nous espérons que toute la lumière soit faîte sur cette affaire et que le ou les auteurs seront identifiés et interpellés
Dans une démocratie comme la nôtre où, le dialogue est constant, notamment avec les élus, il n’y a pas de place pour ce genre d’acte".