"Notre motion refusant résolument que la rentrée scolaire ait lieu le 11 mai a été examinée en Commission permanente. Mis à part ceux du groupe Corsica Libera, les membres de la commission ont préféré renvoyer l’examen de notre motion au 6 mai, soit à la veille du week-end précédant la rentrée.
Nous continuons à penser pour notre part que suffisamment d’éléments, notamment scientifiques, sont déjà en notre possession pour adresser sans attendre un message fort, au nom de l’Assemblée de Corse, d’hostilité à l’ouverture des établissements scolaires à cette date. D’autant que les expériences de pays ayant procédé à la réouverture des écoles ne sont pas pour nous rassurer.
Regrettant ce renvoi, nous espérons néanmoins que cette position sera finalement adoptée et qu’il ne sera pas alors trop tard pour bloquer la logique parisienne, hautement périlleuse pour les enseignants, les parents et les familles corses.
Nous apportons notre soutien plein et entier aux syndicats d’enseignants et aux associations de parents d’élèves qui se sont prononcés de façon unanime, ainsi qu’aux maires qui ont d’ores et déjà décidé de maintenir les écoles fermées. Nous souhaitons que l’Assemblée de Corse ne soit pas la dernière à se prononcer sur un sujet de cette importance."
Nous continuons à penser pour notre part que suffisamment d’éléments, notamment scientifiques, sont déjà en notre possession pour adresser sans attendre un message fort, au nom de l’Assemblée de Corse, d’hostilité à l’ouverture des établissements scolaires à cette date. D’autant que les expériences de pays ayant procédé à la réouverture des écoles ne sont pas pour nous rassurer.
Regrettant ce renvoi, nous espérons néanmoins que cette position sera finalement adoptée et qu’il ne sera pas alors trop tard pour bloquer la logique parisienne, hautement périlleuse pour les enseignants, les parents et les familles corses.
Nous apportons notre soutien plein et entier aux syndicats d’enseignants et aux associations de parents d’élèves qui se sont prononcés de façon unanime, ainsi qu’aux maires qui ont d’ores et déjà décidé de maintenir les écoles fermées. Nous souhaitons que l’Assemblée de Corse ne soit pas la dernière à se prononcer sur un sujet de cette importance."