Jeune ballerine, Darya Kojevnikova commence ses études au Tackent State Ballet, entre 1994 et 2002, où elle n’obtient pas moins de 28 UV avec mention « excellent », lui permettant d’être officiellement déclarée « Artiste de Ballet » et lauréate en 2002 de l’UNESCO, section culture.
Dans ce même Opéra elle est nommée soliste et interprète déjà des rôles principaux dans les ballets du répertoire.
Elle intègre L’Impérial Ballet de Russie à Moscou dirigé par Maya Plissetskaïa.
Arrivée en France De 2002 à 2006, et déjà polyglotte, elle étudie en cycle professionnel à l’Ecole Supérieure de Danse de Rosella Hightower de Cannes, sous la direction de Monique Lourdières. Elle en sortira Lauréate. Elle s’aligne ainsi au cursus français.
Parallèlement elle intègre le Jeune Ballet De Cannes où elle devient rapidement soliste dans des ballets tels que : Giselle, chorégraphie Monique Lourdières. Le Lac des Cygnes, chorégraphie de Rudolf Noureev. Suite pour violons, chorégraphie de Dominique Bagouet. Mes Relations, chorégraphie de Laura Scozzi. Ice, chorégraphie de Carolyn Carlson.
Elle y intervient, déjà, en tant que chorégraphe.
Mais ainsi que le souligne Marie-Jo Viviani sa jolie histoire ne s’arrête pas là…
En 2006 elle intègre le corps de ballet du Capitole de Toulouse, sous la direction de Nanette Glushak. Jusqu’en 2011 Elle y danse les plus grands ballets : Alice au Pays des Merveilles, le Sacre du Printemps, les Trois Mousquetaires, Raymonda (Petipa) Paquita (Petipa-Glushak) Thème et variations (Balanchine) Symphonie en D (G. Kylian ), Falling Angels (G. Kylian) Casse Noisettes, Don Quichotte, Saisons de Buenos Aires, Petite Mort Giselle, Concerto Barroco, Fearful Symétries, Alla Valse et d’autres. Elle intervient également, comme chorégraphe, pour Les Ballets du Nord.
Puis, elle envisage de se consacrer à ce qui la passionne, l’enseignement, ayant au passage réussit son diplôme d’état de professeur de danse classique en 2011 au CND de Paris.
Elle enseigne dans des conservatoires nationaux à partir de 2012.
Cette jeune femme de 32 ans a été séduite par l’idée de venir en Corse. C’est donc très naturellement qu’elle a accepté le poste de professeur de danse classique à L’Académie de Danse. Attirée également par sa pluridisciplinarité et son école du cirque dont elle compte bien en faire un atout et une originalité dans ses chorégraphies.
Son but en Corse ?
"Dépoussiérer la danse classique, transmettre son expérience scénique, faire découvrir des chemins pédagogiques différents et efficaces. Elle utilise un squelette factice (les enfants adorent) pour que les danseurs comprennent les mécanismes corporels et ne se blessent pas."
Forte de sa culture russe elle a créé sa propre méthode qui apporte aux danseurs, force, clarté du geste et une importante présence scénique sans aucune raideur.
La méthode russe est connue en danse classique pour sa netteté et ses mouvements précis.
Avec l’énergie débordante de Darya Kojevnnikova, ajoutée à celle de Vanessa Tristani, déjà, en poste, c'est une année prometteuse qui s’annonce à l'académie de danse de Marie-Jo Viviani !
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Renseignements : 04.95.31.16.94 ou www.academiededanse-viviani. com
Dans ce même Opéra elle est nommée soliste et interprète déjà des rôles principaux dans les ballets du répertoire.
Elle intègre L’Impérial Ballet de Russie à Moscou dirigé par Maya Plissetskaïa.
Arrivée en France De 2002 à 2006, et déjà polyglotte, elle étudie en cycle professionnel à l’Ecole Supérieure de Danse de Rosella Hightower de Cannes, sous la direction de Monique Lourdières. Elle en sortira Lauréate. Elle s’aligne ainsi au cursus français.
Parallèlement elle intègre le Jeune Ballet De Cannes où elle devient rapidement soliste dans des ballets tels que : Giselle, chorégraphie Monique Lourdières. Le Lac des Cygnes, chorégraphie de Rudolf Noureev. Suite pour violons, chorégraphie de Dominique Bagouet. Mes Relations, chorégraphie de Laura Scozzi. Ice, chorégraphie de Carolyn Carlson.
Elle y intervient, déjà, en tant que chorégraphe.
Mais ainsi que le souligne Marie-Jo Viviani sa jolie histoire ne s’arrête pas là…
En 2006 elle intègre le corps de ballet du Capitole de Toulouse, sous la direction de Nanette Glushak. Jusqu’en 2011 Elle y danse les plus grands ballets : Alice au Pays des Merveilles, le Sacre du Printemps, les Trois Mousquetaires, Raymonda (Petipa) Paquita (Petipa-Glushak) Thème et variations (Balanchine) Symphonie en D (G. Kylian ), Falling Angels (G. Kylian) Casse Noisettes, Don Quichotte, Saisons de Buenos Aires, Petite Mort Giselle, Concerto Barroco, Fearful Symétries, Alla Valse et d’autres. Elle intervient également, comme chorégraphe, pour Les Ballets du Nord.
Puis, elle envisage de se consacrer à ce qui la passionne, l’enseignement, ayant au passage réussit son diplôme d’état de professeur de danse classique en 2011 au CND de Paris.
Elle enseigne dans des conservatoires nationaux à partir de 2012.
Cette jeune femme de 32 ans a été séduite par l’idée de venir en Corse. C’est donc très naturellement qu’elle a accepté le poste de professeur de danse classique à L’Académie de Danse. Attirée également par sa pluridisciplinarité et son école du cirque dont elle compte bien en faire un atout et une originalité dans ses chorégraphies.
Son but en Corse ?
"Dépoussiérer la danse classique, transmettre son expérience scénique, faire découvrir des chemins pédagogiques différents et efficaces. Elle utilise un squelette factice (les enfants adorent) pour que les danseurs comprennent les mécanismes corporels et ne se blessent pas."
Forte de sa culture russe elle a créé sa propre méthode qui apporte aux danseurs, force, clarté du geste et une importante présence scénique sans aucune raideur.
La méthode russe est connue en danse classique pour sa netteté et ses mouvements précis.
Avec l’énergie débordante de Darya Kojevnnikova, ajoutée à celle de Vanessa Tristani, déjà, en poste, c'est une année prometteuse qui s’annonce à l'académie de danse de Marie-Jo Viviani !
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Renseignements : 04.95.31.16.94 ou www.academiededanse-viviani.