David Suarez : "le Sporting, ça a été ma Champions League"
A la question, comment avez-vous vécu votre passage sur l’île de beauté ? la réponse de David Suarez, aujourd'hui responsable de la N3 de Clermont Foot, a été un cri véritable coup cœur.
"Ça a été ma Champions League. Je jouais plus trop à Sedan et on avait tenté ce pari-là, avec Frederic Hantz. Ça a été deux saisons magnifiques. On est parti de rien, le club savait que si on ne montait pas, c’était le dépôt de bilan. On a survolé les débats et j’ai retrouvé le plaisir de jouer, dans une ferveur populaire énorme. Mes deux plus belles années de ma carrière footballistiques se sont déroulées à Bastia. De fil en aiguille, on a continué la deuxième année sur la même dynamique et on a réussi à faire remonter le club en Ligue 1. J’ai l’impression d’avoir redonné du bonheur aux gens, c’était un de mes objectifs fixés quand je suis arrivé : redorer l’image du club. J’ai marqué des buts, j’ai vécu de bons moments. Jouer au Sporting dans ce stade là, avec cette ferveur, c’était exceptionnel. Pour l’anecdote, la seule équipe contre laquelle on n’avait pas réussi à marquer, c’était Rodez, où on avait fait deux matches nuls, deux 0-0.”
"Ça a été ma Champions League. Je jouais plus trop à Sedan et on avait tenté ce pari-là, avec Frederic Hantz. Ça a été deux saisons magnifiques. On est parti de rien, le club savait que si on ne montait pas, c’était le dépôt de bilan. On a survolé les débats et j’ai retrouvé le plaisir de jouer, dans une ferveur populaire énorme. Mes deux plus belles années de ma carrière footballistiques se sont déroulées à Bastia. De fil en aiguille, on a continué la deuxième année sur la même dynamique et on a réussi à faire remonter le club en Ligue 1. J’ai l’impression d’avoir redonné du bonheur aux gens, c’était un de mes objectifs fixés quand je suis arrivé : redorer l’image du club. J’ai marqué des buts, j’ai vécu de bons moments. Jouer au Sporting dans ce stade là, avec cette ferveur, c’était exceptionnel. Pour l’anecdote, la seule équipe contre laquelle on n’avait pas réussi à marquer, c’était Rodez, où on avait fait deux matches nuls, deux 0-0.”
Fethi Harek : "le Sporting, c’est un club où il faut jouer"
Encore un "bleu" qui a compté (Photo CNI)
Fethi Harek, établi dans la région lyonnaise où il gérant d’un foot indoor, parle, lui aussi, de son passage en Corse avec le même enthousiasme.
“C’était une expérience magnifique, il y a eu beaucoup de hauts et de bas, avec une descente en national notamment. Après cette descente, Frederic Hantz est arrivé et on a fait des saisons extraordinaires. On est remonté en Ligue 2 puis en Ligue 1, on s’est maintenu deux fois en Ligue 1, on a ravivé la flamme dans le public, avec un Armand-Cesari en feu. Pour l’anecdote, David était mon partenaire de chambre en déplacement lors de cette période-là (rires). Le Sporting, c’est un club où il faut jouer, c’est magnifique. Je le conseille à tout le monde.”
“C’était une expérience magnifique, il y a eu beaucoup de hauts et de bas, avec une descente en national notamment. Après cette descente, Frederic Hantz est arrivé et on a fait des saisons extraordinaires. On est remonté en Ligue 2 puis en Ligue 1, on s’est maintenu deux fois en Ligue 1, on a ravivé la flamme dans le public, avec un Armand-Cesari en feu. Pour l’anecdote, David était mon partenaire de chambre en déplacement lors de cette période-là (rires). Le Sporting, c’est un club où il faut jouer, c’est magnifique. Je le conseille à tout le monde.”