La Haute-Corse et Bastia sont passés aux actes mardi.
Ils sont le fruit de la mutualisation des moyens décidé par les deux collectivités il y a quelques semaines.
Une mutualisation des moyens pour notamment traiter de la meilleure des façons le problème de la démoustication à Bastia qui était le seul secteur du département à ne pas relever des compétences du conseil général.
La démoustication a débuté mardi soir par les 11 écoles de Bastia.
Mais attention il ne s'agissait, comme l'ont souligné Marie-Hélène Djivas, directrice des services du conseil général, et Jean-Louis Santini, DGS de la ville de Bastia, que d'une "opération de confort" à l'attention des milliers d'élèves qui reprendront le chemin de l'école jeudi.
Il y avait, avec eux, différents chefs de service des deux collectivités venus veiller au bon déroulement de l'opération qui a démarré ses 20 heures à l'école Subissi à Montesoro traitée en quelques minutes à peine, mais assez pour éloigner pendant un temps d'éventuels moustiques ainsi que l'expliquait Georges Laitang, chef du service de démoustication du conseil général.
Ils sont le fruit de la mutualisation des moyens décidé par les deux collectivités il y a quelques semaines.
Une mutualisation des moyens pour notamment traiter de la meilleure des façons le problème de la démoustication à Bastia qui était le seul secteur du département à ne pas relever des compétences du conseil général.
La démoustication a débuté mardi soir par les 11 écoles de Bastia.
Mais attention il ne s'agissait, comme l'ont souligné Marie-Hélène Djivas, directrice des services du conseil général, et Jean-Louis Santini, DGS de la ville de Bastia, que d'une "opération de confort" à l'attention des milliers d'élèves qui reprendront le chemin de l'école jeudi.
Il y avait, avec eux, différents chefs de service des deux collectivités venus veiller au bon déroulement de l'opération qui a démarré ses 20 heures à l'école Subissi à Montesoro traitée en quelques minutes à peine, mais assez pour éloigner pendant un temps d'éventuels moustiques ainsi que l'expliquait Georges Laitang, chef du service de démoustication du conseil général.
Georges Laitang : "Pour le confort des élèves"
- Combien d'établissements sont concernés par l'opération ?
- Onze intra-muros. Seule l'école de Cardo n'est pas comprise dans l'opération de démoustication du jour.
- Elle mobilise combien de personnes ?
- Six agents mènent l'opération. Il y a également deux véhicules de type différent : micronair et microjet.
- L'objet de l'opération ?
- A la demande des services techniques de la mairie de Bastia nous procédons à une désinsectisation de confort dans tous les établissements de la ville avant la rentrée des classes. Essentiellement parce que l'on a repéré dans certains établissement le moustique "cousin" ou moustique des villes - le culex pippiens. Il peut y avoir aussi le moustique "Tigre" mais avant d'être vecteur de maladie il est nuisant comme les autres. On peut donc faire d'une pierre deux coups…
- Une opération de confort vraiment ?
- Tout a fait. Surtout avant la rentrée des classes. Il avait à proximité de certains établissement,comme celui-ci, une forte nuisance avec des envols dus à des regards d'eaux pluviales et autres. Le fait a été signalé aux services techniques de la ville. Dès lors, dans le cadre de la mutualisation des moyens entre le conseil général et la mairie de Bastia - une convention est à l'étude au sein des deux collectivités - les services techniques de la ville, qui ne disposent du matériel adéquat, nous ont demandé d'intervenir.
- Combien de produit allez-vous utiliser pour les 11 écoles ?
- On met moins d'un gramme de deltaméthrine - un insecticide répulsif - à l'hectare.
- L'objectif c'est d'éradiquer le moustique ?
- On ne pourra jamais éradiquer le moustique. Ce n'est pas possible. Dès lors, il convient par l'intermédiaire de nos interventions, d'établir un niveau de nuisance tolérable. C'est vers quoi tendent tous nos efforts avec nos 36 agents répartis sur cinq secteurs du département. Ils agissent en groupes autonomes. Celui qui intervient à l'école Subissi fait partie du groupe de Tragone.
Cette action se situe hors des limites de leur territoire d'intervention mais par le biais de la convention, qui se met en place entre le Département et la municipalité, l'enclave bastiaise ne sera plus, au seul plan de la démoustication, qu'un souvenir !
- Onze intra-muros. Seule l'école de Cardo n'est pas comprise dans l'opération de démoustication du jour.
- Elle mobilise combien de personnes ?
- Six agents mènent l'opération. Il y a également deux véhicules de type différent : micronair et microjet.
- L'objet de l'opération ?
- A la demande des services techniques de la mairie de Bastia nous procédons à une désinsectisation de confort dans tous les établissements de la ville avant la rentrée des classes. Essentiellement parce que l'on a repéré dans certains établissement le moustique "cousin" ou moustique des villes - le culex pippiens. Il peut y avoir aussi le moustique "Tigre" mais avant d'être vecteur de maladie il est nuisant comme les autres. On peut donc faire d'une pierre deux coups…
- Une opération de confort vraiment ?
- Tout a fait. Surtout avant la rentrée des classes. Il avait à proximité de certains établissement,comme celui-ci, une forte nuisance avec des envols dus à des regards d'eaux pluviales et autres. Le fait a été signalé aux services techniques de la ville. Dès lors, dans le cadre de la mutualisation des moyens entre le conseil général et la mairie de Bastia - une convention est à l'étude au sein des deux collectivités - les services techniques de la ville, qui ne disposent du matériel adéquat, nous ont demandé d'intervenir.
- Combien de produit allez-vous utiliser pour les 11 écoles ?
- On met moins d'un gramme de deltaméthrine - un insecticide répulsif - à l'hectare.
- L'objectif c'est d'éradiquer le moustique ?
- On ne pourra jamais éradiquer le moustique. Ce n'est pas possible. Dès lors, il convient par l'intermédiaire de nos interventions, d'établir un niveau de nuisance tolérable. C'est vers quoi tendent tous nos efforts avec nos 36 agents répartis sur cinq secteurs du département. Ils agissent en groupes autonomes. Celui qui intervient à l'école Subissi fait partie du groupe de Tragone.
Cette action se situe hors des limites de leur territoire d'intervention mais par le biais de la convention, qui se met en place entre le Département et la municipalité, l'enclave bastiaise ne sera plus, au seul plan de la démoustication, qu'un souvenir !
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