(Archives CNI)
Selon une source proche du dossier, c'est la première fois qu'un incendie criminel signé du GCC (Ghjuventù Clandestina Corsa) est commis sur le continent.
Cet homme, âgé de 22 ans, avait été placé en garde à vue lundi. Il a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des actes de terrorisme et de destruction du bien d'autrui par un moyen dangereux pour les personnes en relation avec une entreprise terroriste", puis écroué, selon la source judiciaire.
Les investigations sont confiées à la Sous-direction antiterroriste (Sdat).
Lundi vers 4heures, un incendie avait ravagé une maison à Ensuès-le-Redonne, sur la Côte bleue, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Marseille. Des tags "GCC" et une Corse stylisée ont été retrouvés sur la façade de la maison.
La Corse a connu il y a quelques semaines une recrudescence d'incendies criminels et d'explosions visant principalement des résidences secondaires, le plus souvent assortis de tags nationalistes.
Selon une seconde source judiciaire en août, 50 enquêtes "en lien avec des incendies criminels ou faits de destruction de diverses natures" en Corse ont été ouvertes par le Pnat depuis le début de l'année.
L'une de ces instructions porte sur le mouvement GCC, qui avait annoncé sa création début février et revendiqué des destructions de maisons. Au moins cinq personnes sont mises en examen dans ce dossier.
Cet homme, âgé de 22 ans, avait été placé en garde à vue lundi. Il a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des actes de terrorisme et de destruction du bien d'autrui par un moyen dangereux pour les personnes en relation avec une entreprise terroriste", puis écroué, selon la source judiciaire.
Les investigations sont confiées à la Sous-direction antiterroriste (Sdat).
Lundi vers 4heures, un incendie avait ravagé une maison à Ensuès-le-Redonne, sur la Côte bleue, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Marseille. Des tags "GCC" et une Corse stylisée ont été retrouvés sur la façade de la maison.
La Corse a connu il y a quelques semaines une recrudescence d'incendies criminels et d'explosions visant principalement des résidences secondaires, le plus souvent assortis de tags nationalistes.
Selon une seconde source judiciaire en août, 50 enquêtes "en lien avec des incendies criminels ou faits de destruction de diverses natures" en Corse ont été ouvertes par le Pnat depuis le début de l'année.
L'une de ces instructions porte sur le mouvement GCC, qui avait annoncé sa création début février et revendiqué des destructions de maisons. Au moins cinq personnes sont mises en examen dans ce dossier.