C'est un sentiment de ras-le-bol qui dominait, lundi matin, après la découverte de nouvelles dégradations au centre social de Cardellu à Calvi.
C'est à l'ouverture du centre social que le directeur Mickaël Pavy constatait que des individus s'étaient introduits à l'intérieur du bâtiment communal,
Dans une salle, ils ont trouvé de la peinture utilisée pour taguer des murs, avant de se rendre dans une autre pièce où ils ont forcé un tiroir.
Françoise Sévéon, adjointe au maire de Calvi, délégué aux affaires sociales se rendait aussitôt sur place, avant d'informer le maire Ange Santini.
Sur place, les gendarmes procédaient aux constatations, avant de prélever des empreintes susceptibles de les faire avancer dans leur enquête et d'aboutir à l'interpellation des auteurs de ce nouvel acte de vandalisme.
A travers ce nouvel acte gratuit ,c'est non sans inquiétude, que l'on constate une montée en puissance de la petite délinquance dans la commune.
Les dégradations des biens communaux sont, hélas, monnaie courante.
Les risques pris par les auteurs de cet acte au centre social sont par ailleurs insensés. Escalader pour atteindre le toit du bâtiment est en effet très dangereux.
Au nom de la municipalité, Françoise Sévéon devait déposer une plainte dans la matinée.
C'est à l'ouverture du centre social que le directeur Mickaël Pavy constatait que des individus s'étaient introduits à l'intérieur du bâtiment communal,
Dans une salle, ils ont trouvé de la peinture utilisée pour taguer des murs, avant de se rendre dans une autre pièce où ils ont forcé un tiroir.
Françoise Sévéon, adjointe au maire de Calvi, délégué aux affaires sociales se rendait aussitôt sur place, avant d'informer le maire Ange Santini.
Sur place, les gendarmes procédaient aux constatations, avant de prélever des empreintes susceptibles de les faire avancer dans leur enquête et d'aboutir à l'interpellation des auteurs de ce nouvel acte de vandalisme.
A travers ce nouvel acte gratuit ,c'est non sans inquiétude, que l'on constate une montée en puissance de la petite délinquance dans la commune.
Les dégradations des biens communaux sont, hélas, monnaie courante.
Les risques pris par les auteurs de cet acte au centre social sont par ailleurs insensés. Escalader pour atteindre le toit du bâtiment est en effet très dangereux.
Au nom de la municipalité, Françoise Sévéon devait déposer une plainte dans la matinée.