Le collectif Aria Linda a tenu dernièrement son assemblée générale annuelle ordinaire à Ajaccio. Près de dix années d’existence pour ce collectif qui regroupe associations, particuliers mais aussi institutionnels. L’occasion pour Aria Linda de revenir sur les grandes actions de l’année 2016 et plus particulièrement sur l’objectif principal qui est d’arriver à obtenir la fin des centrales au fuel lourd en Corse.
« Si nous avons gagné cette bataille, le combat n’est pas totalement achevé puisqu’à Ajaccio nous aurons une centrale qui fonctionnera malheureusement au fuel léger, a expliqué Jean-Nicolas Antoniotti, président d’Aria Linda. Il y a bien des engagements d’objectifs ministériels de fonctionnement au gaz mais nous restons vigilants car il ne s’agit pas d’engagements fermes. Nous insistons également sur l’impact sanitaire. Il n’y a toujours pas de réductions des conséquences de l’utilisation du fuel. Concernant la qualité de l’air et sa surveillance, ce sont des sujets très préoccupants puisque sur la période du mois d’Octobre, par exemple, il y a eu des poussées très importantes de micro-particules avec des taux qui dépassaient parfois jusqu’à huit fois les normales sans que tous les moyens d’alerte pour la population soient mis en œuvre ».
Le collectif Aria Linda reste donc mobilisé avec une soixantaine d’adhérents actifs qui continuent à espérer et à militer pour une meilleure qualité de l’air et une gestion alternative des centrales insulaires.
« Si nous avons gagné cette bataille, le combat n’est pas totalement achevé puisqu’à Ajaccio nous aurons une centrale qui fonctionnera malheureusement au fuel léger, a expliqué Jean-Nicolas Antoniotti, président d’Aria Linda. Il y a bien des engagements d’objectifs ministériels de fonctionnement au gaz mais nous restons vigilants car il ne s’agit pas d’engagements fermes. Nous insistons également sur l’impact sanitaire. Il n’y a toujours pas de réductions des conséquences de l’utilisation du fuel. Concernant la qualité de l’air et sa surveillance, ce sont des sujets très préoccupants puisque sur la période du mois d’Octobre, par exemple, il y a eu des poussées très importantes de micro-particules avec des taux qui dépassaient parfois jusqu’à huit fois les normales sans que tous les moyens d’alerte pour la population soient mis en œuvre ».
Le collectif Aria Linda reste donc mobilisé avec une soixantaine d’adhérents actifs qui continuent à espérer et à militer pour une meilleure qualité de l’air et une gestion alternative des centrales insulaires.