A l'occasion d'une conférence de presse tenue jeudi matin dans le superbe cadre du fortin de l'étang de Biguglia, symbole de l'investissement de la Haute-Corse dans ce domaine, Joseph Castelli a rappelé pourquoi il avait tenu mettre l'accent sur cette action du département bien moins connue que les traditionnelles compétences de l'assemblée départementale sur le plan social, sur celui des routes, des aides aux communes ou aux associations pour ne citer que celles-là.
Une action que mènent cinq services - celui du fortin de Biguglia, celui de démoustication, celui des Forestiers-Sapeurs, celui de l'assainissement des canaux de la plaine orientale et celui de la gestion des terrains du conservatoire du littoral.
Au total ce sont 300 agents du département qui sont concernés par la sauvegarde l'environnement, ce qui représente un quart des effectifs du conseil général. Sur ce plan, l'investissement annuel de la collectivité est de 9 Millions d'euros. L'environnement c'est aussi 180 véhicules. mis à disposition. Et des conventions passées avec des communes.
Ce qui a fait dire à Joseh Castelli que le " département est le premier acteur départemental, en matière de préservation et de défense de l'environnement."
Sur 15 000 hectares
Pour ce qui est plus particulièrement de la gestion des terrains du conservatoire, Joseph Castelli a précisé que le département intervenait, par convention, sur près de 15 000 hectares de ce conservatoire tant au plan des équipements que de l'entretien ou bien encore de la surveillance.
François Orlandi, vice-président, chargé de l'environnement, a expliqué ensuite pourquoi le département a souhaité s'investir dans ce domaine et pourquoi il continue à le faire :" Le domaine environnemental est important à nos yeux parce qu'il y a une implication dans la vie économique de la collectivité et dans les territoires que nous gérons, il est important en termes d'éducation à l'environnement, de pédagogie ou en termes d'activités comme ici à Biguglia où on exerce une pêche professionnelle."
Une action que mènent cinq services - celui du fortin de Biguglia, celui de démoustication, celui des Forestiers-Sapeurs, celui de l'assainissement des canaux de la plaine orientale et celui de la gestion des terrains du conservatoire du littoral.
Au total ce sont 300 agents du département qui sont concernés par la sauvegarde l'environnement, ce qui représente un quart des effectifs du conseil général. Sur ce plan, l'investissement annuel de la collectivité est de 9 Millions d'euros. L'environnement c'est aussi 180 véhicules. mis à disposition. Et des conventions passées avec des communes.
Ce qui a fait dire à Joseh Castelli que le " département est le premier acteur départemental, en matière de préservation et de défense de l'environnement."
Sur 15 000 hectares
Pour ce qui est plus particulièrement de la gestion des terrains du conservatoire, Joseph Castelli a précisé que le département intervenait, par convention, sur près de 15 000 hectares de ce conservatoire tant au plan des équipements que de l'entretien ou bien encore de la surveillance.
François Orlandi, vice-président, chargé de l'environnement, a expliqué ensuite pourquoi le département a souhaité s'investir dans ce domaine et pourquoi il continue à le faire :" Le domaine environnemental est important à nos yeux parce qu'il y a une implication dans la vie économique de la collectivité et dans les territoires que nous gérons, il est important en termes d'éducation à l'environnement, de pédagogie ou en termes d'activités comme ici à Biguglia où on exerce une pêche professionnelle."
"Partenaires étroits"
Mais pas question d'opposer Département et Conservatoire. " Nous sommes des partenaires étroits."
En fait c'est sa volonté d'afficher, dans la transparence, la gestion de ces espaces et de faire connaître au public tout ce qui est mis à sa disposition, que le conseil général veut aujourd'hui mettre en avant.
A l'exemple de ce qui se fait sur le fortin et sur l'étang de Biguglia où les aspects luidique et sportif vont de pair avec l'éveil à l'éductaion.
"'On prépare, ainsi, les consciences de demain à la protection de la Nature" ont dit en chœur Joseph Castelli, François Orlandi, Jean Leccia, directeur général des services du Département et François Geronimi
En fait c'est sa volonté d'afficher, dans la transparence, la gestion de ces espaces et de faire connaître au public tout ce qui est mis à sa disposition, que le conseil général veut aujourd'hui mettre en avant.
A l'exemple de ce qui se fait sur le fortin et sur l'étang de Biguglia où les aspects luidique et sportif vont de pair avec l'éveil à l'éductaion.
"'On prépare, ainsi, les consciences de demain à la protection de la Nature" ont dit en chœur Joseph Castelli, François Orlandi, Jean Leccia, directeur général des services du Département et François Geronimi
Une politique volontaire
Les représentants de l'ensemble des services du conseil général de la Haute-Corse concernés par la sauvegarde de l'environnement
A sa défense aussi car démontrer, au quotidien, qu'il y a des hommes et des femmes qui s'impliquent dans la gestion de ces territoires, incite le visiteur à les emprunter avec plus de respect.
Sur des sites sensibles comme celui des Agriate, par exemple, la présence non-stop de 6 à 23 heures des agents du département constituent, peut-être, le meilleur moyen de disuasion face au visiteur pollueur.
Cette politique volontaire, qui n'est pas obligatoire, aurait donc des effets.
"Que serait, aujourd'hui, cet espace de Biguglia si le département ne s'était pas investi ?"
Le fait que des équipes soient dédiées à tous ces territoires au quotidien a contribué, c'est sûr, à leur conférer l'aspect qu'ils offrent désormais même si, ça et là, l'on relève encore nombre "d'incivilités".
Au plan de la sauvegarde de l'environnement, au travers de ces mille et une actions le département de la Haute-Corse, n'a donc de leçon à recevoir de personne.
Ça coûte cher, c'est vrai "mais le jeu en vaut la chandelle" comme le dit Joseph Castelli dans notre vidéo.
Sur des sites sensibles comme celui des Agriate, par exemple, la présence non-stop de 6 à 23 heures des agents du département constituent, peut-être, le meilleur moyen de disuasion face au visiteur pollueur.
Cette politique volontaire, qui n'est pas obligatoire, aurait donc des effets.
"Que serait, aujourd'hui, cet espace de Biguglia si le département ne s'était pas investi ?"
Le fait que des équipes soient dédiées à tous ces territoires au quotidien a contribué, c'est sûr, à leur conférer l'aspect qu'ils offrent désormais même si, ça et là, l'on relève encore nombre "d'incivilités".
Au plan de la sauvegarde de l'environnement, au travers de ces mille et une actions le département de la Haute-Corse, n'a donc de leçon à recevoir de personne.
Ça coûte cher, c'est vrai "mais le jeu en vaut la chandelle" comme le dit Joseph Castelli dans notre vidéo.