Au cours d'une conférence de presse donnée au palais de Justice de Bastia en compagnie du colonel Didier Rhamani, commandant le groupement de gendarmerie de Haute-Corse, le procureur de la République de Bastia ont expliqué comment l'entrepreneur et promoteur du BTP avait commencé par être "approché".
Un premier contact qui a été suivi par beaucoup d'autres avec, après de premières violences la remise d'une somme de 1 500 €, aux personnes qui le harcelaient de la sorte.
Rapidement le montant exigé a atteint 80 000€ avec en sus une sorte de dime à règler mensuellement.
L'entrepreneur, "faisant preuve d'un extrême courage", selon les termes de Nicolas Bessone, victime de nouvelles violences "ayant occasionné des dégâts physiques importants" a alors entrepris d'alerter la gendarmerie pour, enfin, raconter ce qu'il avait subi entre Mai et Août 2013.
L'enquête menée par la section de recherche de la gendarmerie a abouti jeudi soir à l'interpellation et au placement en détention de quatre hommes qui nient les faits qui leur sont reprochés.
Il s'agit de Christian Orsoni, Pierre-Louis Pierantoni, Joseph Albertini et Mathieu Barral.
Un premier contact qui a été suivi par beaucoup d'autres avec, après de premières violences la remise d'une somme de 1 500 €, aux personnes qui le harcelaient de la sorte.
Rapidement le montant exigé a atteint 80 000€ avec en sus une sorte de dime à règler mensuellement.
L'entrepreneur, "faisant preuve d'un extrême courage", selon les termes de Nicolas Bessone, victime de nouvelles violences "ayant occasionné des dégâts physiques importants" a alors entrepris d'alerter la gendarmerie pour, enfin, raconter ce qu'il avait subi entre Mai et Août 2013.
L'enquête menée par la section de recherche de la gendarmerie a abouti jeudi soir à l'interpellation et au placement en détention de quatre hommes qui nient les faits qui leur sont reprochés.
Il s'agit de Christian Orsoni, Pierre-Louis Pierantoni, Joseph Albertini et Mathieu Barral.