A l’approche des futures élections professionnelles du 30 novembre au 6 décembre, le syndicat Force Ouvrière de la fonction publique a tenu une conférence de presse sur les enjeux des élections professionnelles, la cherté de la vie et la revalorisation de la prime de transport.
« Dans les semaines à venir, nous avons l’intention de rencontrer Madame Chevalier, Préfète de Corse pour demander la réouverture des négociations, de discussions pour la revalorisation de la prime de transports, a expliqué Matthieu Caillaud, secrétaire départemental. Cette prime de transport concerne les 30 000 fonctionnaires de l’île. C’est une manière aussi pour Force Ouvrière de combattre la perte du pouvoir d’achat que nous subissons depuis des années. Par ailleurs, dans la fonction publique, le point d’indice n’a pas été augmenté depuis des années, depuis 2010. Cette revalorisation de la prime de transport pourrait rehausser le pouvoir d’achat ».
Du coté de la police
L’Unité SGP Police veut engager les projets de réformes suivants : L’avancement de grade par la carrière plane ou l’avancement par voie d’examen, la revalorisation de la fonction d’officier de police judiciaire par la création d’une NBI, poursuite de la mise en place de la vacation forte, le statut du travailleur de nuit, revalorisation de prime de maîtrise et intégration dans le calcul de la retraite, modification de l’allocation spécifique d’ancienneté, défense de la retraite de policier, révision des astreintes, permanences, heures supplémentaires, suppression de la PRE sauf pour les ADS et les évènements exceptionnels, évolution du statuts des ADS, prise en charge des cotisations mutuelles, transports SNCF.
Du côté des personnels de surveillance, la grogne est clairement palpable contre la remise en question du statut de fonctionnaire à travers un tract signé de José caria, délégué local FO M.A Ajaccio, dans lequel on ne mâche pas les mots mais on joue parfois dessus. « FO résister ! FO rien lâcher ! Les personnels concernés se contrefoutent royalement des stratégies syndicales et électorales, ce qu’ils souhaitent c’est voir leurs conditions de travail améliorés, c’est voir leur niveau de rémunération adapté au niveau de responsabilité qui leur est donné, c’est enfin acquérir le niveau de reconnaissance statutaire et indemnitaire qui leur est dû après toutes ces années de disette ».
« Dans les semaines à venir, nous avons l’intention de rencontrer Madame Chevalier, Préfète de Corse pour demander la réouverture des négociations, de discussions pour la revalorisation de la prime de transports, a expliqué Matthieu Caillaud, secrétaire départemental. Cette prime de transport concerne les 30 000 fonctionnaires de l’île. C’est une manière aussi pour Force Ouvrière de combattre la perte du pouvoir d’achat que nous subissons depuis des années. Par ailleurs, dans la fonction publique, le point d’indice n’a pas été augmenté depuis des années, depuis 2010. Cette revalorisation de la prime de transport pourrait rehausser le pouvoir d’achat ».
Du coté de la police
L’Unité SGP Police veut engager les projets de réformes suivants : L’avancement de grade par la carrière plane ou l’avancement par voie d’examen, la revalorisation de la fonction d’officier de police judiciaire par la création d’une NBI, poursuite de la mise en place de la vacation forte, le statut du travailleur de nuit, revalorisation de prime de maîtrise et intégration dans le calcul de la retraite, modification de l’allocation spécifique d’ancienneté, défense de la retraite de policier, révision des astreintes, permanences, heures supplémentaires, suppression de la PRE sauf pour les ADS et les évènements exceptionnels, évolution du statuts des ADS, prise en charge des cotisations mutuelles, transports SNCF.
Du côté des personnels de surveillance, la grogne est clairement palpable contre la remise en question du statut de fonctionnaire à travers un tract signé de José caria, délégué local FO M.A Ajaccio, dans lequel on ne mâche pas les mots mais on joue parfois dessus. « FO résister ! FO rien lâcher ! Les personnels concernés se contrefoutent royalement des stratégies syndicales et électorales, ce qu’ils souhaitent c’est voir leurs conditions de travail améliorés, c’est voir leur niveau de rémunération adapté au niveau de responsabilité qui leur est donné, c’est enfin acquérir le niveau de reconnaissance statutaire et indemnitaire qui leur est dû après toutes ces années de disette ».