Le festival Arte Mare a marqué un temps fort ce dimanche 29 septembre avec la remise des premiers prix du film corse. Au Spaziu Culturale Carlu Rocchi de Biguglia, le cinéma insulaire a été célébré avec plusieurs récompenses prestigieuses. Dans la catégorie fiction, le prix principal a été décerné à Toussaint Martinetti pour « Les forts ne disent rien », un film qui a su séduire le jury par sa puissance narrative et son authenticité.
Une mention spéciale a également été attribuée à David Olivesi pour son court-métrage « A Casa », une œuvre intrigante où une famille corse se retrouve confrontée à de mystérieux phénomènes lors de la rénovation d’une ancienne bâtisse. Ce film, à la croisée du fantastique et du drame familial, a captivé le public et les critiques par son atmosphère unique.
Du côté des documentaires, Frederika Sonza a remporté le prix Jean-Simon Peretti avec « I cerca petri ». Ce film, véritable ode à la pierre, explore la relation intime entre les Corses et cet élément central de leur patrimoine. Le documentaire interroge la mémoire collective à travers les vestiges de constructions en pierre, évoquant les menhirs et bergeries qui ponctuent le paysage de l'île.
La cérémonie a également récompensé Miche D’Onofrio avec le prix CCAS pour sa fiction « Morra Murina ! » et Juliette Roudet, qui a décroché le prix des Ateliers Varan pour son documentaire « PACI ». Enfin, le prix Hors les Murs, fruit d’une collaboration avec le Centre Pénitentiaire de Borgo, a été remis à Gabrielle Bernet pour « De sel et d’argile ».
Une mention spéciale a également été attribuée à David Olivesi pour son court-métrage « A Casa », une œuvre intrigante où une famille corse se retrouve confrontée à de mystérieux phénomènes lors de la rénovation d’une ancienne bâtisse. Ce film, à la croisée du fantastique et du drame familial, a captivé le public et les critiques par son atmosphère unique.
Du côté des documentaires, Frederika Sonza a remporté le prix Jean-Simon Peretti avec « I cerca petri ». Ce film, véritable ode à la pierre, explore la relation intime entre les Corses et cet élément central de leur patrimoine. Le documentaire interroge la mémoire collective à travers les vestiges de constructions en pierre, évoquant les menhirs et bergeries qui ponctuent le paysage de l'île.
La cérémonie a également récompensé Miche D’Onofrio avec le prix CCAS pour sa fiction « Morra Murina ! » et Juliette Roudet, qui a décroché le prix des Ateliers Varan pour son documentaire « PACI ». Enfin, le prix Hors les Murs, fruit d’une collaboration avec le Centre Pénitentiaire de Borgo, a été remis à Gabrielle Bernet pour « De sel et d’argile ».
Le programme de ce lundi
Parmi les films les plus attendus, l’avant-première de « Everybody loves Touda » de Nabil Ayouch, prévue cet après-midi à 14 heures, promet une immersion captivante dans le rêve de Touda, une chanteuse marocaine qui cherche à briser les chaînes de la censure et de l’oppression. D’autres œuvres, comme le documentaire « No Other Land », qui raconte la lutte d’un jeune militant palestinien contre l’expulsion de son village, ou la fiction « Rabia », qui plonge dans l’univers des jeunes femmes enrôlées par DAECH, sont également au programme.
Le festival se poursuivra avec la projection de « La Mer au loin » de Saïd Hamich Benlarbi, qui explore la vie d’un jeune émigré marocain à Marseille, et des films plus légers comme « Mamma Mia ! » projeté ce soir en plein air sur le parvis de l'Alb'Oru. La diversité des propositions fait d’Arte Mare un événement à ne pas manquer, célébrant à la fois la culture méditerranéenne et l'audace cinématographique.
La programmation ici
Le festival se poursuivra avec la projection de « La Mer au loin » de Saïd Hamich Benlarbi, qui explore la vie d’un jeune émigré marocain à Marseille, et des films plus légers comme « Mamma Mia ! » projeté ce soir en plein air sur le parvis de l'Alb'Oru. La diversité des propositions fait d’Arte Mare un événement à ne pas manquer, célébrant à la fois la culture méditerranéenne et l'audace cinématographique.
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