Les deux jeunes gens, qui faisaient l'objet d'une enquête discrète depuis le mois de Janvier dernier, ont été interpellés en début de semaine alors que le trafic - de quartier - des dealers s'opérait de jour.
L'un et l'autre achetaient des savonnettes de résine de cannabis puis en revendaient des barrettes.
Les perquisitions qui ont suivi, ont permis de récupérer de petites quantités de cannabis, des sachets de conditionnement ainsi que de l'argent liquide.
Leurs acheteurs ont pu être également identifiés, ce qui a permis de confirmer du "deal" du quartier.
Les deux jeunes gens inconnus des services de police, - ils ont reconnu les faits, selon les enquêteurs -, feront l'objet d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), appelée aussi plaider-coupable, qui permet d'éviter un procès à une personne qui reconnaît les faits qui lui sont reprochés. La procédure ne peut être appliquée que pour certains délits et à l'initiative du procureur de la République. Le procureur propose une peine qui doit être acceptée par la personne mise en cause et homologuée par le tribunal correctionnel. La victime doit être informée de l'utilisation de cette procédure.
L'un et l'autre achetaient des savonnettes de résine de cannabis puis en revendaient des barrettes.
Les perquisitions qui ont suivi, ont permis de récupérer de petites quantités de cannabis, des sachets de conditionnement ainsi que de l'argent liquide.
Leurs acheteurs ont pu être également identifiés, ce qui a permis de confirmer du "deal" du quartier.
Les deux jeunes gens inconnus des services de police, - ils ont reconnu les faits, selon les enquêteurs -, feront l'objet d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), appelée aussi plaider-coupable, qui permet d'éviter un procès à une personne qui reconnaît les faits qui lui sont reprochés. La procédure ne peut être appliquée que pour certains délits et à l'initiative du procureur de la République. Le procureur propose une peine qui doit être acceptée par la personne mise en cause et homologuée par le tribunal correctionnel. La victime doit être informée de l'utilisation de cette procédure.