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Fozzano : Blessé par des tirs de chevrotines alors qu’il élaguait des arbres !


le Mercredi 27 Février 2013 à 18:46

Patrick Gallicchio, propriétaire d’un gîte sur la commune de Fozzano, a été touché par des tirs de chevrotines alors qu’il élaguait des arbres sur sa propriété ce mercredi peu avant midi. Malgré plusieurs blessures, son pronostic vital n’était pas engagé. Il a été évacué par hélicoptère vers l’hôpital d’Ajaccio pour y recevoir des soins. La section de recherche de la Gendarmerie d’Ajaccio a été chargée de l’enquête.



C'est sur le commune de Fozzano, hameau du Borgu, que la victime a essuyé deux tirs de chevrotines alors qu'elle élaguait des arbres sur sa propriété. (Photo : DR)
C'est sur le commune de Fozzano, hameau du Borgu, que la victime a essuyé deux tirs de chevrotines alors qu'elle élaguait des arbres sur sa propriété. (Photo : DR)
Les faits se sont produits peu avant midi sur la commune de Fozzano, hameau du Borgu. Un homme âgé de 48 ans, Patrick Gallichio était occupé à élaguer des arbres sur sa propriété lorsqu’il a été touché par 2 tirs de chevrotines, indiquait t-on mercredi soir du côté des services de la Gendarmerie d’Ajaccio. Blessé au niveau du dos, des épaules et plus légèrement à la tête, l’état de la victime n’inspirait toutefois pas d’inquiétude et son pronostic vital  n’était pas engagé. L’homme a été évacué par hélicoptère vers l’hôpital d’Ajaccio afin de recevoir les soins que nécessitait son état.
 
Aucune hypothèse n’est pour l’heure privilégiée par les enquêteurs
Inconnu des services de Police et de Gendarmerie, Patrick Gallicchio propriétaire d’un gîte à Fozzano, hameau du Borgu a-t-il été victime d’un malheureux accident de chasse ou s’agit-il plutôt d’une tentative d’homicide ? « Pour le moment, aucune hypothèse n’est privilégiée ni vérifiée par les enquêteurs. Ni l’accident de chasse, ni la tentative d’homicide » indique t-on encore du côté des services de Gendarmerie d’Ajaccio, dont la section de recherche a été chargée de l’enquête. Par ailleurs, le flou demeure également sur l’éventualité d’un ou plusieurs tireurs, aucun témoin n’ayant assisté concrètement à la scène. 
A l’heure où nous écrivons ces lignes, les techniciens de la Gendarmerie spécialisés dans les scènes de crimes qui se sont rendus sur place peu après les faits, poussaient encore leurs investigations sur les lieux à la recherche d’indices supplémentaires susceptibles de faire avancer l’enquête.
 Yannis-Christophe GARCIA