« Pour la première fois depuis sa naissance, en 2013, le Prix littéraire Le Monde revient à un premier roman : Elle a menti pour les ailes, de Francesca Serra.
Née à Ajaccio en 1983, la jeune femme s’est installée à Paris, en 2001, pour y poursuivre des études de lettres. Après avoir travaillé comme journaliste pour le magazine féminin Grazia, elle a décidé de se consacrer à l’écriture. Il lui aura fallu cinq années pour mener à terme cette première fiction, publiée chez Anne Carrière.
Elle y raconte l’histoire de Garance, une adolescente sans cesse connectée à Internet, qui disparaît sous la violence des réseaux sociaux.
La vivace sensibilité de ce texte, son écriture tour à tour grave et comique, propre à incarner le destin de la « génération Z », a suscité l’enthousiasme du jury.
Présidé par Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, celui-ci est composé de journalistes travaillant au « Monde des livres » (Jean Birnbaum, Florent Georgesco, Raphaëlle Leyris, Macha Séry et Nicolas Weill) et aux quatre « coins » du Monde : Emmanuel Davidenkoff (Développement éditorial), Zineb Dryef (M le magazine), Gaëlle Dupont (« Planète »), Clara Georges (« L’Epoque »), Raphaëlle Rérolle (« Grands reporters »), Solenn de Royer (Politique) et Alain Salles (International).
Elle a menti pour les ailes succède à Une bête au Paradis, de Cécile Coulon (L’Iconoclaste) « rappelle ce lundi Le Monde
Née à Ajaccio en 1983, la jeune femme s’est installée à Paris, en 2001, pour y poursuivre des études de lettres. Après avoir travaillé comme journaliste pour le magazine féminin Grazia, elle a décidé de se consacrer à l’écriture. Il lui aura fallu cinq années pour mener à terme cette première fiction, publiée chez Anne Carrière.
Elle y raconte l’histoire de Garance, une adolescente sans cesse connectée à Internet, qui disparaît sous la violence des réseaux sociaux.
La vivace sensibilité de ce texte, son écriture tour à tour grave et comique, propre à incarner le destin de la « génération Z », a suscité l’enthousiasme du jury.
Présidé par Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, celui-ci est composé de journalistes travaillant au « Monde des livres » (Jean Birnbaum, Florent Georgesco, Raphaëlle Leyris, Macha Séry et Nicolas Weill) et aux quatre « coins » du Monde : Emmanuel Davidenkoff (Développement éditorial), Zineb Dryef (M le magazine), Gaëlle Dupont (« Planète »), Clara Georges (« L’Epoque »), Raphaëlle Rérolle (« Grands reporters »), Solenn de Royer (Politique) et Alain Salles (International).
Elle a menti pour les ailes succède à Une bête au Paradis, de Cécile Coulon (L’Iconoclaste) « rappelle ce lundi Le Monde