- Un match particulier ?
- Tout à fait. Retrouver ce stade, dans lequel j'ai eu l'occasion de porter le brassard de capitaine, après trois saisons passées en Grèce, sera vraiment particulier. L'émotion sera au rendez-vous.
- Monaco aujourd'hui ?
- Mis à part Flavio Roma, qui a été témoin de mon mariage, le magasinier, l'éternel Jean Petit et l'attaché de presse, avec lequel j'échange beaucoup par téléphone, je ne connais plus grand monde aujourd'hui.
- Marseille avant Monaco était-ce un "plus" ?
- Je crois quand même que Monaco est surpérieur à l'OM. Et au niveau collectif l'ASM, est selon moi, au-dessus de Paris. Au plan individuel il ya 2 ou 3 joueurs qui peuvent faire basculer un match à tout moment. A peine bâtie, là-voilà déja installée à la première place. Quand elle va véritablement tourner, elle va faire très mal.
- Une comparaison avec le Sporting ?
- C'est incomparable. Il s'agit de deux mondes complètement différents. Mais il ne faut pas oublier que le Sporting à une âme, tout un peuple derrière lui et des atouts que vous connaissez. En football il ne faut avoir peur de personne et respecter tout le monde. A partir de là, tout peut arriver.
- Falcao ?
- C'est un joueur de classe internationale. Il ne lui faut pas grande chose pour marquer des buts. Ses qualités sont supérieuresà tous les autres attaquants de Ligue 1. Mais même même s'il ne faut pas se mettre trop de pression avant de l'affronter, il ne faut pas oublier que face à un tel joueur, la moindre erreur fse payse cash.
- Plus de 1 000 supporters seront encore présents à Monaco : ça vous inspire quoi ?
- C'est énorme pour une région comme la nôtre de rassembler plus de 1 000 supporters un mercredi soir sur le Continent. On a pu mesurer face à l'OM la ferveur qui existe autour du Sporting. Il y a peu de club en France du même niveau qui peuvent susciter d'un tel engouement.
- Tout à fait. Retrouver ce stade, dans lequel j'ai eu l'occasion de porter le brassard de capitaine, après trois saisons passées en Grèce, sera vraiment particulier. L'émotion sera au rendez-vous.
- Monaco aujourd'hui ?
- Mis à part Flavio Roma, qui a été témoin de mon mariage, le magasinier, l'éternel Jean Petit et l'attaché de presse, avec lequel j'échange beaucoup par téléphone, je ne connais plus grand monde aujourd'hui.
- Marseille avant Monaco était-ce un "plus" ?
- Je crois quand même que Monaco est surpérieur à l'OM. Et au niveau collectif l'ASM, est selon moi, au-dessus de Paris. Au plan individuel il ya 2 ou 3 joueurs qui peuvent faire basculer un match à tout moment. A peine bâtie, là-voilà déja installée à la première place. Quand elle va véritablement tourner, elle va faire très mal.
- Une comparaison avec le Sporting ?
- C'est incomparable. Il s'agit de deux mondes complètement différents. Mais il ne faut pas oublier que le Sporting à une âme, tout un peuple derrière lui et des atouts que vous connaissez. En football il ne faut avoir peur de personne et respecter tout le monde. A partir de là, tout peut arriver.
- Falcao ?
- C'est un joueur de classe internationale. Il ne lui faut pas grande chose pour marquer des buts. Ses qualités sont supérieuresà tous les autres attaquants de Ligue 1. Mais même même s'il ne faut pas se mettre trop de pression avant de l'affronter, il ne faut pas oublier que face à un tel joueur, la moindre erreur fse payse cash.
- Plus de 1 000 supporters seront encore présents à Monaco : ça vous inspire quoi ?
- C'est énorme pour une région comme la nôtre de rassembler plus de 1 000 supporters un mercredi soir sur le Continent. On a pu mesurer face à l'OM la ferveur qui existe autour du Sporting. Il y a peu de club en France du même niveau qui peuvent susciter d'un tel engouement.
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