(Ciem)
Son expérience des animaux, et bien sûr des requins, il l’a forgée pendant des décennies, avec humilité, en se frottant à ce que tous les océans comptent de vivant. Et de ces instants magiques à Guadalupe, il garde un souvenir particuliier qu'il viendra raconter le 22 Mars prochain au Radisson Blu à Agosta-Plage à l'invitation de Corsica, groupe de recherche sur les requins en Méditerranée.
L'homme qui avant d'être conseiller technique pour le films Oceans a été aussi celui du commandant Cousteau pendant 13 ans.
C'est de ces rencontres dans les eaux d'Afrique du Sud ou de Guadalupe au Mexique qu'il viendra parler. Dans scuba-people.com, le réseau social de plongée, il disait il y a quelques temps que « A Guadalupe, le fait de plonger dans le bleu crée une intimité avec l’animal que l’on ne ressent pas par exemple en Afrique du sud ».
Requin et plongeur se retrouvent face à face, sans rien autour, sans repère, et la situation donne à la rencontre une saveur particulière. Suspendu en pleine eau, avec une visibilité qui peut certains jours atteindre 40 mètres, l’instant est magique. Et les animaux peuvent ici être très gros, dépasser cinq mètres de long, et surtout être très ventrus, massifs. En général, les plus jeunes et donc les plus petits ouvrent le bal en début de saison au mois d’août, rejoints un peu plus tard en automne par les plus imposants, souvent de grosses femelles. La suite le 20 Mars au Radisson Blu à partir de 18 heures
L'homme qui avant d'être conseiller technique pour le films Oceans a été aussi celui du commandant Cousteau pendant 13 ans.
C'est de ces rencontres dans les eaux d'Afrique du Sud ou de Guadalupe au Mexique qu'il viendra parler. Dans scuba-people.com, le réseau social de plongée, il disait il y a quelques temps que « A Guadalupe, le fait de plonger dans le bleu crée une intimité avec l’animal que l’on ne ressent pas par exemple en Afrique du sud ».
Requin et plongeur se retrouvent face à face, sans rien autour, sans repère, et la situation donne à la rencontre une saveur particulière. Suspendu en pleine eau, avec une visibilité qui peut certains jours atteindre 40 mètres, l’instant est magique. Et les animaux peuvent ici être très gros, dépasser cinq mètres de long, et surtout être très ventrus, massifs. En général, les plus jeunes et donc les plus petits ouvrent le bal en début de saison au mois d’août, rejoints un peu plus tard en automne par les plus imposants, souvent de grosses femelles. La suite le 20 Mars au Radisson Blu à partir de 18 heures
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