Le bureau de la CAB qui s'est tenu ce jour à 17 heures a donné lieu à un triste spectacle.
Il s'agissait d'examiner le budget imposé hier par les maires de Bastia, de Santa Maria di Lota, San Martino di Lota et Ville di Pietrabugno.
Comme convenu, je leur ai adressé une note extrêmement complète afin de leur apporter les éléments de préparation nécessaires aux travaux de ce soir.
Je les ai alertés sur les erreurs grossières de leur document (près de 2 millions d'euros) et invités à préciser la nature et la consistance des économies, afin de les inscrire au budget.
Leur projet de budget "providentiel " s'est révélé insincère. Comme prévu, celui-ci ne pouvait garantir le maintien du service public et les situations des personnels sans une hausse importante de la fiscalité.
J'attendais des arbitrages de leur part et des consignes claires, en droite ligne avec leur souhait affiché hier de prendre les rênes de la CAB.
J'ai constaté alors avec étonnement qu'au moment d'assumer leurs choix, ils ont refusé de le faire et quitté la salle, en me confiant le soin de « faire au mieux ».
Je suis donc contraint de reprendre la main. La fronde aura duré un jour.
Il s'agissait d'examiner le budget imposé hier par les maires de Bastia, de Santa Maria di Lota, San Martino di Lota et Ville di Pietrabugno.
Comme convenu, je leur ai adressé une note extrêmement complète afin de leur apporter les éléments de préparation nécessaires aux travaux de ce soir.
Je les ai alertés sur les erreurs grossières de leur document (près de 2 millions d'euros) et invités à préciser la nature et la consistance des économies, afin de les inscrire au budget.
Leur projet de budget "providentiel " s'est révélé insincère. Comme prévu, celui-ci ne pouvait garantir le maintien du service public et les situations des personnels sans une hausse importante de la fiscalité.
J'attendais des arbitrages de leur part et des consignes claires, en droite ligne avec leur souhait affiché hier de prendre les rênes de la CAB.
J'ai constaté alors avec étonnement qu'au moment d'assumer leurs choix, ils ont refusé de le faire et quitté la salle, en me confiant le soin de « faire au mieux ».
Je suis donc contraint de reprendre la main. La fronde aura duré un jour.