"Notre parti politique plaide depuis des années pour la valorisation de l'artisanat et des commerces de proximité à échelle humaine,. c'est pour cela que nous nous sommes opposés récemment à la construction d'un centre commercial disproportionné à. Lucciana et que nous serons toujours opposés à tous projets de ce style."
Stefanu Barbageletta a a donné rapidement le ton de cette conférence de presse tenu devant l'hypermarché Géant, occupé "non pour lutter conter l'enseigne proprement dite, mais contre le système qu'elle représente" a précisé l'intervenant de Corsica Libera aux côtés duquel se tenaient Eric Simoni et des militants du mouvement.
Pour Corsica Libera qui plaide pour le commerce de proximité "les circuits court sont bénéfiques aux producteurs et agriculteurs locaux d'une part, mais aussi au respect de ['environnement et au développement du lien social. Du reste, ces circuits préviennent aussi les crises sanitaires et économiques
C'est donc tout naturellement dans une société historiquement agro-pastorale, et qui doit encore aujourd'hui jouer de son potentiel agricole que Corsica Libera soutiendra toutes Les initiatives visant à développer un commerce de proximité aux antipodes des mécanismes actuels qui favorisent exclusivement la grande distribution."
Dans sa critique de ce modèle économique, Corsica Libera n'entend pas "oublier les salariés de la grande distribution qui sont maintenus dans les emplois les plus précaires".
"Depuis la fin des années 80. les supermarchés ont su faire du temps partiel la règle de leurs contrats de travail Michel-Edouard Leclerc précise dans. son livre "la fronde des caddies" que « La plupart des femmes préfèrent exercer un travail à temps partiel, pour garder un contact avec le monde du travail, sans pénaliser la vie familiale. Et continuer à accumuler des points de retraite !
Le temps partiel est largement plébiscite par salariés , notamment par les femmes au travail. Nous entrons dans l'ère du temps choisi. » Oublions l'aspect sexiste de la remarque pour se poser la question ; choisi par qui ?
"Car aujourd'hui, bien des années après la sortie de ce livre., des hommes et des femmes n'ont pour seul contrat de travail qu'un temps. partiel imposé, avec des horaires et des pauses interdisant la prise d'un autre emploi, et enfermant ceux qui les détiennent dans des salaires bien inférieurs au SMIC."
Les tarifs pratiqués par les hypermarchés ont été aussi montrés du doigt par Corsica Libera; des "tarifs qui augmentent avant chaque saison, mais qui ne se voient jamais diminuer à la rentrée" ; Dénoncée aussi "la diminution du pouvoir d'achat des familles, hausse du prix moyen rie cesse de croître (15% du budget des ménages - il était supérieur de 8,7% en. Corse par rapport aux provinces françaises en 2015), avec de surcroit un revenu mensuel moyen disponible de 1 520€ par ménage, qui est lui-même inférieur de. 6% par rapport aux provinces françaises : + 9 - 6, et vous obtenez l'équation de la précarité."
Corsica Libera a prévenu : "Le parti ne tolérera pas plus longtemps que l'on impose au peuple Corse un niveau de vie aussi bas, alors même nous payons une large part d'Imposition, quand on sait que l'impôt sur le revenu moyen par
foyer en Corse était presque 3 fois .supérieur à celui des provinces françaises en 2015 (3 552E contre 1 321€)"
Dès lors Corsica Libera demande la mise en place immédiate d'une Commission mixte de régulation des prix sous l'égide de l'assemblée de Corse regroupant les auteurs des hypermarchés, les syndicats, les partis politiques concernés les associations de consommateurs et de parents afin de réduire dès à présent les prix pratiqués en Corse"
"Pourtant, des votes pour inverser la tendance ont eu lieu a encore" rappelé Stefanu Barbagelata
"Lors de notre conférence de presse de juillet 2017, nous disions. notre volonté que le vote que le vote d'une baisse de 8% sur le fret par la majorité territoriale soit consolidée et amplifiée au seul bénéfice du peuple corse : force est de constater que la baisse se perdit dans la chaîne Et n'atteint jamais le panier à la caisse."
Et de poser la question : "aujourd'hui à qui profitent ces sommes ?"
Et puis Corsica Libera a dit son "inquiétude concernant un consortium qui tend à détenir une immense frange de l'économie de notre pays : Hypermarchés,.. transports routiers et navals, presse.. Alors que, dans le monde entier l'heure est au démantèlement de l'hyperdlistribution'', en Corse deux projets démentiels ont été permis sur Aiacciu et d'autres sont envisagés en région bastiaise"
"Un lasceremu micca fà, nous nous y opposerons" a martelé Stefanu Barbagelata
"Nous demandons dès à présent le démantèlement des structures hypertrophiées et porteuses de dérives en tous genres.."
'Corsica Libera membre de la majorité territoriale a été élu à la majorité absolue sous bannies Pè a Corsica
et le programme « Un paese da fà " a t-on rappelé pour finir.
"À ce titre nous. serons vigilants, et attentifs à ce que les décisions politiques garantes de l'intérêt national et du bien, commun ne soit pas soumises aux pressions de grands groupes qu'on ne peut laisser laisser à leur seule logique.
Nous le le disons clairement et fermement : là n'est pas le pays que nous voulons construire, là n'est pas le pas le pays que nous construisons"
Stefanu Barbageletta a a donné rapidement le ton de cette conférence de presse tenu devant l'hypermarché Géant, occupé "non pour lutter conter l'enseigne proprement dite, mais contre le système qu'elle représente" a précisé l'intervenant de Corsica Libera aux côtés duquel se tenaient Eric Simoni et des militants du mouvement.
Pour Corsica Libera qui plaide pour le commerce de proximité "les circuits court sont bénéfiques aux producteurs et agriculteurs locaux d'une part, mais aussi au respect de ['environnement et au développement du lien social. Du reste, ces circuits préviennent aussi les crises sanitaires et économiques
C'est donc tout naturellement dans une société historiquement agro-pastorale, et qui doit encore aujourd'hui jouer de son potentiel agricole que Corsica Libera soutiendra toutes Les initiatives visant à développer un commerce de proximité aux antipodes des mécanismes actuels qui favorisent exclusivement la grande distribution."
Dans sa critique de ce modèle économique, Corsica Libera n'entend pas "oublier les salariés de la grande distribution qui sont maintenus dans les emplois les plus précaires".
"Depuis la fin des années 80. les supermarchés ont su faire du temps partiel la règle de leurs contrats de travail Michel-Edouard Leclerc précise dans. son livre "la fronde des caddies" que « La plupart des femmes préfèrent exercer un travail à temps partiel, pour garder un contact avec le monde du travail, sans pénaliser la vie familiale. Et continuer à accumuler des points de retraite !
Le temps partiel est largement plébiscite par salariés , notamment par les femmes au travail. Nous entrons dans l'ère du temps choisi. » Oublions l'aspect sexiste de la remarque pour se poser la question ; choisi par qui ?
"Car aujourd'hui, bien des années après la sortie de ce livre., des hommes et des femmes n'ont pour seul contrat de travail qu'un temps. partiel imposé, avec des horaires et des pauses interdisant la prise d'un autre emploi, et enfermant ceux qui les détiennent dans des salaires bien inférieurs au SMIC."
Les tarifs pratiqués par les hypermarchés ont été aussi montrés du doigt par Corsica Libera; des "tarifs qui augmentent avant chaque saison, mais qui ne se voient jamais diminuer à la rentrée" ; Dénoncée aussi "la diminution du pouvoir d'achat des familles, hausse du prix moyen rie cesse de croître (15% du budget des ménages - il était supérieur de 8,7% en. Corse par rapport aux provinces françaises en 2015), avec de surcroit un revenu mensuel moyen disponible de 1 520€ par ménage, qui est lui-même inférieur de. 6% par rapport aux provinces françaises : + 9 - 6, et vous obtenez l'équation de la précarité."
Corsica Libera a prévenu : "Le parti ne tolérera pas plus longtemps que l'on impose au peuple Corse un niveau de vie aussi bas, alors même nous payons une large part d'Imposition, quand on sait que l'impôt sur le revenu moyen par
foyer en Corse était presque 3 fois .supérieur à celui des provinces françaises en 2015 (3 552E contre 1 321€)"
Dès lors Corsica Libera demande la mise en place immédiate d'une Commission mixte de régulation des prix sous l'égide de l'assemblée de Corse regroupant les auteurs des hypermarchés, les syndicats, les partis politiques concernés les associations de consommateurs et de parents afin de réduire dès à présent les prix pratiqués en Corse"
"Pourtant, des votes pour inverser la tendance ont eu lieu a encore" rappelé Stefanu Barbagelata
"Lors de notre conférence de presse de juillet 2017, nous disions. notre volonté que le vote que le vote d'une baisse de 8% sur le fret par la majorité territoriale soit consolidée et amplifiée au seul bénéfice du peuple corse : force est de constater que la baisse se perdit dans la chaîne Et n'atteint jamais le panier à la caisse."
Et de poser la question : "aujourd'hui à qui profitent ces sommes ?"
Et puis Corsica Libera a dit son "inquiétude concernant un consortium qui tend à détenir une immense frange de l'économie de notre pays : Hypermarchés,.. transports routiers et navals, presse.. Alors que, dans le monde entier l'heure est au démantèlement de l'hyperdlistribution'', en Corse deux projets démentiels ont été permis sur Aiacciu et d'autres sont envisagés en région bastiaise"
"Un lasceremu micca fà, nous nous y opposerons" a martelé Stefanu Barbagelata
"Nous demandons dès à présent le démantèlement des structures hypertrophiées et porteuses de dérives en tous genres.."
'Corsica Libera membre de la majorité territoriale a été élu à la majorité absolue sous bannies Pè a Corsica
et le programme « Un paese da fà " a t-on rappelé pour finir.
"À ce titre nous. serons vigilants, et attentifs à ce que les décisions politiques garantes de l'intérêt national et du bien, commun ne soit pas soumises aux pressions de grands groupes qu'on ne peut laisser laisser à leur seule logique.
Nous le le disons clairement et fermement : là n'est pas le pays que nous voulons construire, là n'est pas le pas le pays que nous construisons"
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