Cette affaire est le prolongement de l'enquête ouverte pour travail dissimulé, blanchiment et fraude dans une maison de retraite de Furiani. A l'époque - c'était au mois d'Octobre - la gérante avait été mise hors d'état de nuire par les services de la DDSP.
Mais les investigations ne se sont pas arrêtées là.
Dans la cadre d'une commission rogatoire, l'infirmière et l'aide-soignant soupçonnés de connivence avec la logeuse, ont été placés, tout récemment, en garde à vue dans les locaux du commissariat de Bastia.
A son terme, les enquêteurs ont pu établir que l'infirmière n'intervenait pas auprès des patients de l'établissement. C'est la gérante qui pratiquait ces actes à sa place... néanmoins encaissés par l'infirmière.
Le préjudice subi par la CPAM serait de l'ordre de 104 000 €.
Des saisies des biens et des comptes des deux personnes mises en examen, qui auraient reconnus les faits, ont été opérées.
L'infirmière l'aide-soignant ont été mis en examen pour "escroquerie et complicité d'escroquerie".
Mais les investigations ne se sont pas arrêtées là.
Dans la cadre d'une commission rogatoire, l'infirmière et l'aide-soignant soupçonnés de connivence avec la logeuse, ont été placés, tout récemment, en garde à vue dans les locaux du commissariat de Bastia.
A son terme, les enquêteurs ont pu établir que l'infirmière n'intervenait pas auprès des patients de l'établissement. C'est la gérante qui pratiquait ces actes à sa place... néanmoins encaissés par l'infirmière.
Le préjudice subi par la CPAM serait de l'ordre de 104 000 €.
Des saisies des biens et des comptes des deux personnes mises en examen, qui auraient reconnus les faits, ont été opérées.
L'infirmière l'aide-soignant ont été mis en examen pour "escroquerie et complicité d'escroquerie".