" Nous sommes là pour vous écouter. On est là pour parler librement de votre situation de monoparentalite qui n'est pas forcément facile à vivre, et nous allons essayer ensemble de proposer des solutions à mettre en place".
Ce sont les mots de Dominique Nadeau, délégué départemental aux droits des femmes, qui était présente afin de prendre note des difficultés auxquelles sont confrontées les parents monoparentales.
" L'objectif de ce débat c'est d'évoquer les pistes possibles, les solutions à mettre en place que l'on fera ensuite remonter au gouvernement."
D'une parole libre, chacun des intervenants a pris la parole pour raconter une vie monoparentale pesante et exprimer ses souhaits pour améliorer un quotidien semé d'embûches.
" Si on a pas de famille, on ne peut pas travailler " explique cette jeune maman qui élève son fils toute seule. En cause, des horaires de garderie ou autre organisme d'accompagnement qui ne sont pas forcément aménagés. Et la monoparentalité semble justement être un frein, que ce soit sur le marché du travail ou encore pour trouver un logement.
" Quand on est toute seule, c'est une HLM ou rien. " nous explique cette autre mère de 3 enfants. Les femmes ne sont pas les seules dans cette situation, puisque ce père de famille aimerait, lui, " qu'on reconnaisse socialement le parent monoparental, et qu'on arrête cette pression administrative exercée fréquemment ".
Afin de briser ces différentes barrières, des propositions ont alors été faites par les intervenants et les organismes d'aide présents ce vendredi à l'école François-Amadei de Bastia, siège social de la CIDFF. Propositions que devra étudier le Gouvernement afin de trouver des solutions pour les 2 millions de familles monoparentales qui vivent aujourd'hui sur le territoire français.
Ce sont les mots de Dominique Nadeau, délégué départemental aux droits des femmes, qui était présente afin de prendre note des difficultés auxquelles sont confrontées les parents monoparentales.
" L'objectif de ce débat c'est d'évoquer les pistes possibles, les solutions à mettre en place que l'on fera ensuite remonter au gouvernement."
D'une parole libre, chacun des intervenants a pris la parole pour raconter une vie monoparentale pesante et exprimer ses souhaits pour améliorer un quotidien semé d'embûches.
" Si on a pas de famille, on ne peut pas travailler " explique cette jeune maman qui élève son fils toute seule. En cause, des horaires de garderie ou autre organisme d'accompagnement qui ne sont pas forcément aménagés. Et la monoparentalité semble justement être un frein, que ce soit sur le marché du travail ou encore pour trouver un logement.
" Quand on est toute seule, c'est une HLM ou rien. " nous explique cette autre mère de 3 enfants. Les femmes ne sont pas les seules dans cette situation, puisque ce père de famille aimerait, lui, " qu'on reconnaisse socialement le parent monoparental, et qu'on arrête cette pression administrative exercée fréquemment ".
Afin de briser ces différentes barrières, des propositions ont alors été faites par les intervenants et les organismes d'aide présents ce vendredi à l'école François-Amadei de Bastia, siège social de la CIDFF. Propositions que devra étudier le Gouvernement afin de trouver des solutions pour les 2 millions de familles monoparentales qui vivent aujourd'hui sur le territoire français.