Lors d'une interview recueillie par nos confrères le président de l'OTC a dit, aussi, son espoir de "voir cette grève cesser rapidement car elle est incompréhensible, même si l'on peut comprendre l'inquiétude des personnels."
Paul-Marie Bartoli a dénoncé le fait que "l'on prenne en otage la Corse et les Corses dans un conflit qui les dépassent. Je conçois que les personnels soient assez remontés contre leurs actionnaires, mais ils ne peuvent pas s'en prendre à leur unique client qui est la Corse car la Corse ne mérite pas ce traitement."
Et de conseiller aux personnels "d'employer d'autres moyens de lutte pour faire entendre leurs revendications et non pas prendre en otage leur seul client la Cors,e en situation économique fragile, pour la mettre à genou. Ce n'est pas acceptable. je demande un peu plus de responsabilités aux organisations syndicales et de lever cette grève le plus rapidement possible".
Pour Paul-Marie Bartoli "la Corse subit aujourd'hui une situation à laquelle elle est étrangère. Cette grève démontre que la SNCM et la CMN, quoiqu'on en dise ont partie liée et que c'est bien le service public qui est en cause. Dès lors qu'il n'est plus fiable, on peut se poser beaucoup de questions."
Pour le président de l'OTC, qui n'a pas manqué de souligner que des retenues, prévue dans le cadre de la DSP seront opérées, cette grève est "la grève de trop" et de reposer la question de savoir "pourquoi s'en prendre à la Corse ?"
A noter aussi que le Journal du Dimanche a fait état de l'intérêt porté par l'ancien président du port autonome de Marseille Christian pour une reprise de la SNCM avec, à ses côtés, Siem Industries, un groupe norvégien...
Paul-Marie Bartoli a dénoncé le fait que "l'on prenne en otage la Corse et les Corses dans un conflit qui les dépassent. Je conçois que les personnels soient assez remontés contre leurs actionnaires, mais ils ne peuvent pas s'en prendre à leur unique client qui est la Corse car la Corse ne mérite pas ce traitement."
Et de conseiller aux personnels "d'employer d'autres moyens de lutte pour faire entendre leurs revendications et non pas prendre en otage leur seul client la Cors,e en situation économique fragile, pour la mettre à genou. Ce n'est pas acceptable. je demande un peu plus de responsabilités aux organisations syndicales et de lever cette grève le plus rapidement possible".
Pour Paul-Marie Bartoli "la Corse subit aujourd'hui une situation à laquelle elle est étrangère. Cette grève démontre que la SNCM et la CMN, quoiqu'on en dise ont partie liée et que c'est bien le service public qui est en cause. Dès lors qu'il n'est plus fiable, on peut se poser beaucoup de questions."
Pour le président de l'OTC, qui n'a pas manqué de souligner que des retenues, prévue dans le cadre de la DSP seront opérées, cette grève est "la grève de trop" et de reposer la question de savoir "pourquoi s'en prendre à la Corse ?"
A noter aussi que le Journal du Dimanche a fait état de l'intérêt porté par l'ancien président du port autonome de Marseille Christian pour une reprise de la SNCM avec, à ses côtés, Siem Industries, un groupe norvégien...