Présente depuis 2013 sur le marché florissant du vol lowcost, la compagnie Hop! a présenté des perspectives inquiétantes quant aux nombres de vols prévus pour l'aéroport de Bastia durant la prochaine saison estivale.
Les raisons ne semblent ni techniques ni même issues d'une stratégie commerciale hasardeuse de la part de la jeune filiale, dépendante à 100% d'Air France. Visiblement, les séquelles d'anciens conflits sociaux avec la société mère ont refait surface au moment d'établir le programme de desserte de l’été 2015 pour la Corse, au détriment des voyageurs et de la population.
En effet, l'aéroport de Bastia ne bénéficiera seulement que de 10% des sièges sur l'ensemble des vols prévus sur toute l'ile. Un faible ratio qui inquiète Antoine Mondoloni, président de la chambre de commerce et d'industrie régionale, ainsi que le président de la chambre de commerce et d'industrie territoriale de Bastia Paul Trojani.
Tous les deux présents à cette audition, ont voulu souligner les problèmes socio-économiques qu'impliquerait ce nouveau programme de desserte et ont demandé aux représentants d'Air France de tirer un trait sur les événements antérieurs.
A l'issue de cette réunion, François Tatti se voulait rassurant sur l'avancée des discussions:
"Nous avons le sentiment que le message a été entendu et que des modifications seront apportés, en tous cas nous l'espérons".
Pour le moment, aucun arrangement n’a été trouvé entre les deux parties au terme de la réunion de la commission
Les raisons ne semblent ni techniques ni même issues d'une stratégie commerciale hasardeuse de la part de la jeune filiale, dépendante à 100% d'Air France. Visiblement, les séquelles d'anciens conflits sociaux avec la société mère ont refait surface au moment d'établir le programme de desserte de l’été 2015 pour la Corse, au détriment des voyageurs et de la population.
En effet, l'aéroport de Bastia ne bénéficiera seulement que de 10% des sièges sur l'ensemble des vols prévus sur toute l'ile. Un faible ratio qui inquiète Antoine Mondoloni, président de la chambre de commerce et d'industrie régionale, ainsi que le président de la chambre de commerce et d'industrie territoriale de Bastia Paul Trojani.
Tous les deux présents à cette audition, ont voulu souligner les problèmes socio-économiques qu'impliquerait ce nouveau programme de desserte et ont demandé aux représentants d'Air France de tirer un trait sur les événements antérieurs.
A l'issue de cette réunion, François Tatti se voulait rassurant sur l'avancée des discussions:
"Nous avons le sentiment que le message a été entendu et que des modifications seront apportés, en tous cas nous l'espérons".
Pour le moment, aucun arrangement n’a été trouvé entre les deux parties au terme de la réunion de la commission