La salle de presse du Festival du vent au VV La Balagne était comble samedi matin pour écouter Serge Orru, président fondateur du Festival du vent. Il est vrai que l'événement était majeur et qu'il a eu une répercussion fondamentale sur nos habitudes.
"Il y a 10 ans, à l'hôtel La Villa" à Calvi où nous étions accueillis par son propriétaire M. Jean-Pierre Pinelli, peu nombreux étaient sans doute ceux à croire au succès de cette campagne "Halte aux sacs plastique" que nous lancions. Et pourtant, 10 ans après, même si nous pouvons faire beaucoup mieux, les résultats sont là et nous encouragent à poursuivent. De 17 milliards de sacs utilisés il y a 10 ans, nous sommes tombés aujourd'hui à 700 millions. Vous comprendrez que l'objectif est tout simplement de supprimer ces sacs pollueurs de notre planète. Je tenais à travers ce 10e anniversaire remercier M. Jean-Pierre Pinelli de nous avoir encouragé dans ce formidable pari qui était loin d'être gagné. Merci à M. Dominique Orsini, propriétaire à cette époque du Supermarché Casino de Calvi, présent dans cette salle aujourd'hui. Il a été le premier à supprimer les sacs plastique de sa grande surface. D'autres ont suivi ".Serge Orru profitait de cette intervention et du succès de cette campagne pour dire que la réussite de ce festival du vent c'était la Corse. Et concluait: " On n'est pas venu sur terre pour que la mer soit plastique".
Algopack, un plastique sans pétrole
Il cédait ensuite la parole à Rémy Lucas, un ingénieur de Saint-Malo, qui produit un matériau révolutionnaire, l’Algopack, un plastique sans pétrole et entièrement biodégradable.
Pendant dix ans, cet ingénieur breton a cherché la formule magique, persuadé que d’une algue pouvait naître une matière non polluante, biodégradable et aussi pratique que le bon vieux plastique à base de pétrole.
L'entrepreneur installé à Saint-Malo a expliqué le procédé pour que les algues deviennent l’une des ressources majeures du XXIe siècle.
Enfin, c'est le parrain de ce festival Yann Arthus-Bertrand, photographe, reporter, réalisateur et écologiste qui devait conclure pour souligner les bienfaits de cette opération des sacs plastique mais aussi pour parler de ce reportage qu'il a réalisé à Brazzaville et qui a été diffusé fin septembre par "Envoyé Spécial" sur France2 et qui sera à nouveau programmé. Ce film retrace l'action de ,sœur Marie-Thérèse qui vient en aide à des enfants malmenés par la vie. Yann Arthus-Bertrand s'est plongé dans le quotidien de cet orphelinat pas comme les autres
Ancienne membre d'une congrégation religieuse, sœur Marie-Thérèse a tout quitté pour venir en aide aux orphelins, les soutenir et leur permettre de se reconstruire. Mais elle a juste le sentiment d’avoir agi pour donner un sens à sa vie et être heureuse. Sa joie et son bonheur de vivre, cette femme hors norme les communique aux 54 pensionnaires de la Maison d'enfants de Nazareth.
Arrivant de partout, ces enfants abandonnés, orphelins ou handicapés sont accueillis, apprivoisés pour certains, et accèdent dans cette communauté à l'éducation et aux soins. Tous disent avoir eu de la chance de rencontrer leur nouvelle maman. Malgré le manque de place, les locaux vétustes et les conditions précaires, chacun a trouvé là une seconde famille.
Tous les participants étaient ensuite conviés à lever le verre de l'amitié autour d'un buffet.
"Il y a 10 ans, à l'hôtel La Villa" à Calvi où nous étions accueillis par son propriétaire M. Jean-Pierre Pinelli, peu nombreux étaient sans doute ceux à croire au succès de cette campagne "Halte aux sacs plastique" que nous lancions. Et pourtant, 10 ans après, même si nous pouvons faire beaucoup mieux, les résultats sont là et nous encouragent à poursuivent. De 17 milliards de sacs utilisés il y a 10 ans, nous sommes tombés aujourd'hui à 700 millions. Vous comprendrez que l'objectif est tout simplement de supprimer ces sacs pollueurs de notre planète. Je tenais à travers ce 10e anniversaire remercier M. Jean-Pierre Pinelli de nous avoir encouragé dans ce formidable pari qui était loin d'être gagné. Merci à M. Dominique Orsini, propriétaire à cette époque du Supermarché Casino de Calvi, présent dans cette salle aujourd'hui. Il a été le premier à supprimer les sacs plastique de sa grande surface. D'autres ont suivi ".Serge Orru profitait de cette intervention et du succès de cette campagne pour dire que la réussite de ce festival du vent c'était la Corse. Et concluait: " On n'est pas venu sur terre pour que la mer soit plastique".
Algopack, un plastique sans pétrole
Il cédait ensuite la parole à Rémy Lucas, un ingénieur de Saint-Malo, qui produit un matériau révolutionnaire, l’Algopack, un plastique sans pétrole et entièrement biodégradable.
Pendant dix ans, cet ingénieur breton a cherché la formule magique, persuadé que d’une algue pouvait naître une matière non polluante, biodégradable et aussi pratique que le bon vieux plastique à base de pétrole.
L'entrepreneur installé à Saint-Malo a expliqué le procédé pour que les algues deviennent l’une des ressources majeures du XXIe siècle.
Enfin, c'est le parrain de ce festival Yann Arthus-Bertrand, photographe, reporter, réalisateur et écologiste qui devait conclure pour souligner les bienfaits de cette opération des sacs plastique mais aussi pour parler de ce reportage qu'il a réalisé à Brazzaville et qui a été diffusé fin septembre par "Envoyé Spécial" sur France2 et qui sera à nouveau programmé. Ce film retrace l'action de ,sœur Marie-Thérèse qui vient en aide à des enfants malmenés par la vie. Yann Arthus-Bertrand s'est plongé dans le quotidien de cet orphelinat pas comme les autres
Ancienne membre d'une congrégation religieuse, sœur Marie-Thérèse a tout quitté pour venir en aide aux orphelins, les soutenir et leur permettre de se reconstruire. Mais elle a juste le sentiment d’avoir agi pour donner un sens à sa vie et être heureuse. Sa joie et son bonheur de vivre, cette femme hors norme les communique aux 54 pensionnaires de la Maison d'enfants de Nazareth.
Arrivant de partout, ces enfants abandonnés, orphelins ou handicapés sont accueillis, apprivoisés pour certains, et accèdent dans cette communauté à l'éducation et aux soins. Tous disent avoir eu de la chance de rencontrer leur nouvelle maman. Malgré le manque de place, les locaux vétustes et les conditions précaires, chacun a trouvé là une seconde famille.
Tous les participants étaient ensuite conviés à lever le verre de l'amitié autour d'un buffet.