- La lutte contre la divagation des animaux prend une nouvelle dimension ?
- Un plan d'action a été acté avec l'ensemble des acteurs du monde agricole, de l'association des maires, de la louveterie et des services de l'Etat - avec la gendarmerie et la DTM et la DDSPP - pour tout à la fois ce qui peut être amélioré en matière de prévention, peut-être même en installant sur les routes les plus sensibles des panneaux signalant le danger aux conducteurs sur les risques et en sensibilisant les propriétaires d'animaux pour mieux les identifier et mieux les suivre et enfin pour ceux sont divagants et à moitié sauvage, mettre un dispositif permettant de les traiter par l'abattage. La louveterie veillera à l'encadrement. On veillera également à ce qu'il y ait un dispositif règlementaire approprié sous forme, par exemple, de fiches réflexe, memento avec motivation, arrêté municipal, constatant la divagation et le danger et avec un mode opératoire technique permettant de faire en sorte que les animaux soient traités correctement. Qu'il n'y ait pas de souffrances animales.
- L'abattage solution radicale et nécessaire ?
-C'est une solution ultime à partir du moment où l'on aura épuisé les voies de la prévention avec la sensibilisation des propriétaires et celle des conducteurs qui doivent faire attention et l'alerte. Dans certains cas on essayera, aussi, d'effrayer les bêtes pour faire en sorte qu'elles ne soient plus sur les routes.
- Des battues administratives seront-elles menées ?
- Nous savons que dans certains secteurs la divagation des animaux est plus importante qu'ailleurs. C'est la raison pour laquelle nous allons mener ce genre d'opérations : la première aura lieu du côté de Solaro.
- Cette lutte contre la divagation des animaux comportera aussi une phase répressive ?
- Le procureur de la République a assisté à cette réunion parce que la divagation animale est réprimée par la COD et peut donner à contravention mais ce n'était pas l'objet de la réunion. Nous essayons aujourd'hui de faire face à la situation et de mobiliser tous les types de solution possible. C'est pour cela qu'il y a un plan d'action que l'on va mettre en place et que l'on présentera à la chambre d'agriculture au début du mois prochain. Et il y a aujourd'hui un correspondant, une personne-ressource, qui est le sous-préfet de Corte, >Sébastien Cecchi. Il va réunir l'ensemble des éléments que possèdent de tous les acteurs de manière à ce que l'on ait une cohérence avec un suivi qui va s'inscrire dans le temps.
- La divagation des animaux, c'est quand même un vieux problème ?
- Oui, mais Tocqueville disait :" les problèmes nouveaux ne sont souvent que des problèmes oubliés" mais à partir du moment où on réussi à mettre tous les acteurs autour de la table, à partir du moment où on plusieurs types de solution et que l'on est prêt sur leur mise en œuvre, je pense que nous allons réussir, progressivement, à éradiquer ce problème. Quand l'on aura réussi plusieurs opérations d'abattage, il y aura un phénomène de régulation vertueux qui va se mettre en place
- Un plan d'action a été acté avec l'ensemble des acteurs du monde agricole, de l'association des maires, de la louveterie et des services de l'Etat - avec la gendarmerie et la DTM et la DDSPP - pour tout à la fois ce qui peut être amélioré en matière de prévention, peut-être même en installant sur les routes les plus sensibles des panneaux signalant le danger aux conducteurs sur les risques et en sensibilisant les propriétaires d'animaux pour mieux les identifier et mieux les suivre et enfin pour ceux sont divagants et à moitié sauvage, mettre un dispositif permettant de les traiter par l'abattage. La louveterie veillera à l'encadrement. On veillera également à ce qu'il y ait un dispositif règlementaire approprié sous forme, par exemple, de fiches réflexe, memento avec motivation, arrêté municipal, constatant la divagation et le danger et avec un mode opératoire technique permettant de faire en sorte que les animaux soient traités correctement. Qu'il n'y ait pas de souffrances animales.
- L'abattage solution radicale et nécessaire ?
-C'est une solution ultime à partir du moment où l'on aura épuisé les voies de la prévention avec la sensibilisation des propriétaires et celle des conducteurs qui doivent faire attention et l'alerte. Dans certains cas on essayera, aussi, d'effrayer les bêtes pour faire en sorte qu'elles ne soient plus sur les routes.
- Des battues administratives seront-elles menées ?
- Nous savons que dans certains secteurs la divagation des animaux est plus importante qu'ailleurs. C'est la raison pour laquelle nous allons mener ce genre d'opérations : la première aura lieu du côté de Solaro.
- Cette lutte contre la divagation des animaux comportera aussi une phase répressive ?
- Le procureur de la République a assisté à cette réunion parce que la divagation animale est réprimée par la COD et peut donner à contravention mais ce n'était pas l'objet de la réunion. Nous essayons aujourd'hui de faire face à la situation et de mobiliser tous les types de solution possible. C'est pour cela qu'il y a un plan d'action que l'on va mettre en place et que l'on présentera à la chambre d'agriculture au début du mois prochain. Et il y a aujourd'hui un correspondant, une personne-ressource, qui est le sous-préfet de Corte, >Sébastien Cecchi. Il va réunir l'ensemble des éléments que possèdent de tous les acteurs de manière à ce que l'on ait une cohérence avec un suivi qui va s'inscrire dans le temps.
- La divagation des animaux, c'est quand même un vieux problème ?
- Oui, mais Tocqueville disait :" les problèmes nouveaux ne sont souvent que des problèmes oubliés" mais à partir du moment où on réussi à mettre tous les acteurs autour de la table, à partir du moment où on plusieurs types de solution et que l'on est prêt sur leur mise en œuvre, je pense que nous allons réussir, progressivement, à éradiquer ce problème. Quand l'on aura réussi plusieurs opérations d'abattage, il y aura un phénomène de régulation vertueux qui va se mettre en place