Je me rappelle il y a quelques années, lorsque Jean René Laplayne, mon directeur au quotidien La Corse-le Provençal, m’avait demandé de joindre Pierre Cangioni chez lui à Paris pour lui demander une interviewe à propos de rumeur sur le Tour de France Cycliste qui pourrait faire une étape en Corse. C’était dans l’air, une idée comme ça, lancée par l’ancien présentateur de Téléfoot (Décembre 1977 à janvier 1982) dans la voiture du patron du Tour, Christian Prud’homme qui était à ses côtés lorsque Pierre dirigeait les sports sur la Cinq.L’autre a enregistré ce cri du cœur mais n’a pas répondu de suite. Quelques temps plus tard, lorsque les deux hommes se rencontrèrent à nouveau, l’idée avait fait son chemin et le rêve de Pierre commençait à prendre tournure.
Il m’avait bien renseigné ce jour là et mon reportage avait fait la Une de mon quotidien préféré… Et beaucoup de vagues ! La suite, on la connaît…
On sait ce qu’il advint. Et surtout on ne va pas refaire l’histoire sur ce qui est devenu un incident à présent enterré avec les bavardages qui ont suivis.
Merci pour tout
Pierre Cangioni est au dessus de tout cela mais Laurent Marcangeli, que l’on sait tenace, toujours prêt à réparer, voulais remettre un peu d’ordre à propos de certains bruits de couloir notamment de la part de ceux qui veulent s’arroger tous les mérites : « Ce Tour de France que nous avons grandement apprécié en 2013, c’est grâce à vous, on vous le doit, notre ville vous en remercie chaleureusement et vous remercie également pour votre riche carrière. C’est un bel exemple de rigueur et d’expérience au plus haut niveau. Je sais que vous refusez les honneurs mais aujourd’hui, tous vos amis sont là réunis. Vous avez fait avancer les choses et pour tout cela, un seul mot : merci ! »
Emu, Pierre Cangioni l’était, ses amis aussi. Il a simplement dit : « Ma corsitude, c’est Bocognano, mais le terreau, c’est Ajaccio, la maison Pinna où j’ai grandi, le lycée Fesch, la venue du Stade de Reims à Ajaccio et la boxe, avec le fabuleux Antoine Filippi, les Chiocca et Vannucci, Pascal Rossini, Charles Ornano et Marc Marcangli. Vous savez, je le répète souvent, un Corse ne part jamais, il s’absente ! »
La fabuleuse histoire de la Boxe, la Coupe du monde en Argentine, Carlos Monzon, El Macho, etc sont autant d’ouvrages mondialement connus, sans parler du film Santu Nicoli et de la présidence de l’Olympique de Marseille de l’après Tapie. C’est vrai, Pierre a bourlingué et réalisé de belles et grandes choses. La médaille d’honneur de sa ville, il ne l’a pas volée. Tant s’en faut ! Mais le « coup » du Tour de France Cycliste reste le plus beau !
A demain matin au « Golfe » pour notre café o petru…
J. F.
Il m’avait bien renseigné ce jour là et mon reportage avait fait la Une de mon quotidien préféré… Et beaucoup de vagues ! La suite, on la connaît…
On sait ce qu’il advint. Et surtout on ne va pas refaire l’histoire sur ce qui est devenu un incident à présent enterré avec les bavardages qui ont suivis.
Merci pour tout
Pierre Cangioni est au dessus de tout cela mais Laurent Marcangeli, que l’on sait tenace, toujours prêt à réparer, voulais remettre un peu d’ordre à propos de certains bruits de couloir notamment de la part de ceux qui veulent s’arroger tous les mérites : « Ce Tour de France que nous avons grandement apprécié en 2013, c’est grâce à vous, on vous le doit, notre ville vous en remercie chaleureusement et vous remercie également pour votre riche carrière. C’est un bel exemple de rigueur et d’expérience au plus haut niveau. Je sais que vous refusez les honneurs mais aujourd’hui, tous vos amis sont là réunis. Vous avez fait avancer les choses et pour tout cela, un seul mot : merci ! »
Emu, Pierre Cangioni l’était, ses amis aussi. Il a simplement dit : « Ma corsitude, c’est Bocognano, mais le terreau, c’est Ajaccio, la maison Pinna où j’ai grandi, le lycée Fesch, la venue du Stade de Reims à Ajaccio et la boxe, avec le fabuleux Antoine Filippi, les Chiocca et Vannucci, Pascal Rossini, Charles Ornano et Marc Marcangli. Vous savez, je le répète souvent, un Corse ne part jamais, il s’absente ! »
La fabuleuse histoire de la Boxe, la Coupe du monde en Argentine, Carlos Monzon, El Macho, etc sont autant d’ouvrages mondialement connus, sans parler du film Santu Nicoli et de la présidence de l’Olympique de Marseille de l’après Tapie. C’est vrai, Pierre a bourlingué et réalisé de belles et grandes choses. La médaille d’honneur de sa ville, il ne l’a pas volée. Tant s’en faut ! Mais le « coup » du Tour de France Cycliste reste le plus beau !
A demain matin au « Golfe » pour notre café o petru…
J. F.