Gilles Simeoni entouré de son comité de soutien.
Une inauguration permet toujours de prendre le pouls de la popularité d’un candidat lors d’une campagne. Certains ont du mal à rassembler et doivent rameuter bien au-delà des limites de la circonscription électorale pour faire nombre ! Quelles que soient les élections, force est de constater que les inaugurations des permanences de Gilles Simeoni font recette. Samedi soir, boulevard Paoli, à Bastia, l’affluence ne s’est pas démentie. Près de 600 personnes sont venues soutenir le leader d’Inseme per Bastia et son équipe.
Entouré de son comité de soutien composé notamment de Me Linda Piperi, Josette Dall’Ava Santucci, Lucia Santucci, Jacques Thiers, Anne Avenoso, Dr Monique Maymard, Dr Jean-Paul Poggi, Maï Pesce, Didier Grassi, Paul Gigon, Françoise Filippi…, Gilles Simeoni n’a pas caché son émotion devant cette dynamique d’espoir. « Nous avançons ensemble, Inseme, dans ce pays traversé par les pulsions du désespoir, nous voulons incarner les forces de la vie, de l’espoir et de la construction. Nous avons la certitude que Bastia peut être une ville heureuse, développée, solidaire, riante, qui fasse rêver, qui réhabilite une certaine idée de l’intérêt général, qui fasse que notre langue, notre culture et notre histoire soient partagées par tous ».
Un appel à la mobilisation
Le leader d’Inseme en a profité pour lancer un appel à la mobilisation la plus large possible autour de valeurs à réhabiliter. « Il faut reconstruire ce pays autour de valeurs auxquelles nous devons, ensemble, redonner un sens. Des valeurs qui ne doivent plus simplement être des mots évoqués au détour d’un discours, mais qui doivent être des boussoles de l’action, les vertus cardinales de notre engagement : la justice sociale, la solidarité, le respect des autres, la démocratie… ».
A deux pas de la mairie où campe "une dynastie et un système qu'il veut abattre", il marque sa différence : « Nous n’avons rien à promettre, ni logement, ni place, ni arrangement, ni compromission. Les choses doivent changer ! Notre seule force, mais elle est imbattable, est la force de nos idées et de nos convictions, d’être capable de ne pas répondre aux provocations, aux outrances, aux mises en cause infondées. Nous y répondons avec sérénité en disant que nous ne voulons plus d’une Corse qui exclut, d’une Corse de conflit. Nous sommes des gens de paix et de démocratie ». Il promet : « Nous allons gagner ! Notre victoire ne sera pas celle d’un camp sur un autre, mais sera celle du peuple de Bastia, de ceux qui veulent retrouver leur dignité et être respectés ».
Une inauguration, quelques heures à peine après l’annonce du rapprochement François Tatti/Emmanuelle De Gentili, qui signe la fracture quasi-définitive de la gauche bastiaise, tout au moins pour le 1er tour, et laisse le jeu plus ouvert que jamais.
N.M.
Entouré de son comité de soutien composé notamment de Me Linda Piperi, Josette Dall’Ava Santucci, Lucia Santucci, Jacques Thiers, Anne Avenoso, Dr Monique Maymard, Dr Jean-Paul Poggi, Maï Pesce, Didier Grassi, Paul Gigon, Françoise Filippi…, Gilles Simeoni n’a pas caché son émotion devant cette dynamique d’espoir. « Nous avançons ensemble, Inseme, dans ce pays traversé par les pulsions du désespoir, nous voulons incarner les forces de la vie, de l’espoir et de la construction. Nous avons la certitude que Bastia peut être une ville heureuse, développée, solidaire, riante, qui fasse rêver, qui réhabilite une certaine idée de l’intérêt général, qui fasse que notre langue, notre culture et notre histoire soient partagées par tous ».
Un appel à la mobilisation
Le leader d’Inseme en a profité pour lancer un appel à la mobilisation la plus large possible autour de valeurs à réhabiliter. « Il faut reconstruire ce pays autour de valeurs auxquelles nous devons, ensemble, redonner un sens. Des valeurs qui ne doivent plus simplement être des mots évoqués au détour d’un discours, mais qui doivent être des boussoles de l’action, les vertus cardinales de notre engagement : la justice sociale, la solidarité, le respect des autres, la démocratie… ».
A deux pas de la mairie où campe "une dynastie et un système qu'il veut abattre", il marque sa différence : « Nous n’avons rien à promettre, ni logement, ni place, ni arrangement, ni compromission. Les choses doivent changer ! Notre seule force, mais elle est imbattable, est la force de nos idées et de nos convictions, d’être capable de ne pas répondre aux provocations, aux outrances, aux mises en cause infondées. Nous y répondons avec sérénité en disant que nous ne voulons plus d’une Corse qui exclut, d’une Corse de conflit. Nous sommes des gens de paix et de démocratie ». Il promet : « Nous allons gagner ! Notre victoire ne sera pas celle d’un camp sur un autre, mais sera celle du peuple de Bastia, de ceux qui veulent retrouver leur dignité et être respectés ».
Une inauguration, quelques heures à peine après l’annonce du rapprochement François Tatti/Emmanuelle De Gentili, qui signe la fracture quasi-définitive de la gauche bastiaise, tout au moins pour le 1er tour, et laisse le jeu plus ouvert que jamais.
N.M.