Inseme A Manca hausse le ton!
Jacques Casamarta, Francis Peretti et leurs camarades d’Inseme à Manca estiment que toutes ces hausses vont pénaliser toujours les mêmes. Ils ne sont pas d’accord et le disent, le crient, le manifestent très régulièrement, aujourd’hui plus encore.
Le peuple gronde
C’est dire si la situation devient inquiétante ! Inseme à Manca, qui est un mouvement issu de la fusion de Manca Alternativa et la Corse Insoumise que l’on retrouve souvent dans la rue dès lors que la situation se dégrade. Comme en ce moment avec les « gilets jaunes » que à Manca soutient bien évidement sachant qu’en Corse, une personne sur cinq vit au dessous du seuil de pauvreté. Qu’ils soient jaunes ou rouges, tous ceux qui syndicalement sont touchés, ce qui n’arrivent pas à boucler les fins de mois, ne veulent plus de ces conditions de vie et d’un gouvernement qui fait la sourde oreille en créant une commission pour mieux enterrer un problème.
Cette situation de crise enfle au fil des jours et des semaines d’autant que les prestations des gouvernants ne sont pas de nature à ramener un semblant de calme. La rue est agitée, elle gronde, le peuple n’est pas dupe mais a décidé de ne plus se laisser faire, avec toutes les conséquences que l’on sait.
Ava basta…
Dans ce domaine, Jacques Casamarta est un pionnier et sait pertinemment que toutes ces hausses qui se multiplient ne sont pas dues au hasard :
« Ces hausses s’inscrivent dans la logique du capital, celles des politiques menées depuis des années par les différents gouvernements, y compris par des gens qui se réclamaient sans rire de la gauche, avec les conséquences désastreuses que l’on mesure en termes d’images. Ces politiques sont imposées par les marchés financiers, la Banque Centrale Européenne et la Commission Européenne. La source de tous nos problèmes est bien là ! »
La société est réellement marquée ?
« Effectivement, les gens n’en peuvent plus. Il faut que le gouvernement puisse entendre cette colère, d’autant qu’on ne sait pas du tout comment elle peut s’arrêter. Le gouvernement se refuse à avancer d’un iota. Il faudra pourtant qu’il se rende compte que rien ne va plus, il doit se rendre compte qu’il faut impérativement rétablir l’ISF, il faut récupérer l’argent de la fraude fiscale et cela représente des centaines milliards d’euros au fil des années. Que fait le président de la République ? Il les protège, tout simplement ! Je pense sincèrement qu’il faut savoir écouter la voix du peuple car ça ne va pas s’arrêter là. Malheureusement, on va droit vers la violence parce qu’il y a des gens qui n’en peuvent plus, qui n’arrivent plus à donner à manger à leurs enfants. »
Inseme à Manca estime que des mesures d’urgence doivent être prises au plus vite, la question sociale doit devenir la principale préoccupation de tous, de nos gouvernants et de l’Exécutif de la Collectivité de Corse.
J. F.
Le peuple gronde
C’est dire si la situation devient inquiétante ! Inseme à Manca, qui est un mouvement issu de la fusion de Manca Alternativa et la Corse Insoumise que l’on retrouve souvent dans la rue dès lors que la situation se dégrade. Comme en ce moment avec les « gilets jaunes » que à Manca soutient bien évidement sachant qu’en Corse, une personne sur cinq vit au dessous du seuil de pauvreté. Qu’ils soient jaunes ou rouges, tous ceux qui syndicalement sont touchés, ce qui n’arrivent pas à boucler les fins de mois, ne veulent plus de ces conditions de vie et d’un gouvernement qui fait la sourde oreille en créant une commission pour mieux enterrer un problème.
Cette situation de crise enfle au fil des jours et des semaines d’autant que les prestations des gouvernants ne sont pas de nature à ramener un semblant de calme. La rue est agitée, elle gronde, le peuple n’est pas dupe mais a décidé de ne plus se laisser faire, avec toutes les conséquences que l’on sait.
Ava basta…
Dans ce domaine, Jacques Casamarta est un pionnier et sait pertinemment que toutes ces hausses qui se multiplient ne sont pas dues au hasard :
« Ces hausses s’inscrivent dans la logique du capital, celles des politiques menées depuis des années par les différents gouvernements, y compris par des gens qui se réclamaient sans rire de la gauche, avec les conséquences désastreuses que l’on mesure en termes d’images. Ces politiques sont imposées par les marchés financiers, la Banque Centrale Européenne et la Commission Européenne. La source de tous nos problèmes est bien là ! »
La société est réellement marquée ?
« Effectivement, les gens n’en peuvent plus. Il faut que le gouvernement puisse entendre cette colère, d’autant qu’on ne sait pas du tout comment elle peut s’arrêter. Le gouvernement se refuse à avancer d’un iota. Il faudra pourtant qu’il se rende compte que rien ne va plus, il doit se rendre compte qu’il faut impérativement rétablir l’ISF, il faut récupérer l’argent de la fraude fiscale et cela représente des centaines milliards d’euros au fil des années. Que fait le président de la République ? Il les protège, tout simplement ! Je pense sincèrement qu’il faut savoir écouter la voix du peuple car ça ne va pas s’arrêter là. Malheureusement, on va droit vers la violence parce qu’il y a des gens qui n’en peuvent plus, qui n’arrivent plus à donner à manger à leurs enfants. »
Inseme à Manca estime que des mesures d’urgence doivent être prises au plus vite, la question sociale doit devenir la principale préoccupation de tous, de nos gouvernants et de l’Exécutif de la Collectivité de Corse.
J. F.