A la suite des derniers actes de délinquance juvéniles qui se sont produits sur le territoire de Balagne et comme cela avait été annoncé lors de la conférence de presse qui s’est tenue fin octobre, l’intercommunalité de Lisula (CCBVIR) et le Centre Intercommunal d’Action Sociale ont convié, ce mercredi, élus et acteurs locaux en lien avec la jeunesse, à une première réunion.
Celle ci avait pour but de constituer une commission de travail qui donnera lieu à l’élaboration d’une politique publique. Élus locaux et territoriaux, chefs et personnels d’établissements scolaires, police municipale, associations sociales ou parents d’élèves, tous soucieux de la progression de la délinquance juvénile, avaient répondu présents.
Celle ci avait pour but de constituer une commission de travail qui donnera lieu à l’élaboration d’une politique publique. Élus locaux et territoriaux, chefs et personnels d’établissements scolaires, police municipale, associations sociales ou parents d’élèves, tous soucieux de la progression de la délinquance juvénile, avaient répondu présents.
Mutualiser les efforts
Lionel Mortini, président de la CCBVIR soulignait le fait que la délinquance devait être traitée de manière territoriale, dans un mouvement partenarial et fédérateur.
Une première réunion "tour de table" au cours de laquelle chacun s'est présenté individuellement, a évoqué le parcours personnel et l'implication pour la jeunesse et la collectivité représentée. On notait également la présence des associations Leia et la Mission Locale et Marie-Catherine Gandon proviseur du Lycée polyvalent de Balagne et de Jean-Marc Andreani, principal du collège Pascal-Paoli.
La drogue, un véritable fléau
" La marge de manœuvre sera importante. Aujourd'hui c'est la première réunion où nous nous retrouvons avec les associations, les établissements scolaires et la collectivités et autres.
Nous voulons mettre en place des actions concrètes autour de la drogue qui est le plus gros problème actuellement. Rapidement elles seront mises en place. Des actions liées à la jeunesse, autour du sport et de la culture, la musique où nous travaillerons avec Pigna qui recevra le Conservatoire National. Nous mettrons également en place plus de mobilité au sein de l'intecommunalité, pour donner aux jeunes des moyens d'aller vers les sites d'activités, ou ils pourront s'occuper. Nous devons les sortir de la drogue. Nous n'avons pas assez travaillé sur ce fléau et sa prévention. Ce qui se passe sur le continent nous rattrape".
Mi décembre, une nouvelle réunion sera organisée pour annoncer les actions concrètes.
Une première réunion "tour de table" au cours de laquelle chacun s'est présenté individuellement, a évoqué le parcours personnel et l'implication pour la jeunesse et la collectivité représentée. On notait également la présence des associations Leia et la Mission Locale et Marie-Catherine Gandon proviseur du Lycée polyvalent de Balagne et de Jean-Marc Andreani, principal du collège Pascal-Paoli.
La drogue, un véritable fléau
" La marge de manœuvre sera importante. Aujourd'hui c'est la première réunion où nous nous retrouvons avec les associations, les établissements scolaires et la collectivités et autres.
Nous voulons mettre en place des actions concrètes autour de la drogue qui est le plus gros problème actuellement. Rapidement elles seront mises en place. Des actions liées à la jeunesse, autour du sport et de la culture, la musique où nous travaillerons avec Pigna qui recevra le Conservatoire National. Nous mettrons également en place plus de mobilité au sein de l'intecommunalité, pour donner aux jeunes des moyens d'aller vers les sites d'activités, ou ils pourront s'occuper. Nous devons les sortir de la drogue. Nous n'avons pas assez travaillé sur ce fléau et sa prévention. Ce qui se passe sur le continent nous rattrape".
Mi décembre, une nouvelle réunion sera organisée pour annoncer les actions concrètes.