Jean Zuccarelli l'a répété à plusieurs reprises. "L'opposition sera vigilante".
Elle veillera notamment "à ce que les projets impulsés durant la précédente mandature se poursuivent et aboutissent."
Et de citer la requalification de l'avenue Emile-Sari, du centre ancien, la réalisation de la voie douce pour laquelle il redoute "l'abandon de la construction du fil rouge place Saint-Nicolas et quai des Martyrs", la construction du port de la Carbonite pour laquelle la municipalité n'a pas "de positionnement clair"…
Centre culturel des quartiers Sud, projet de scène nationale, opérations de rénovation des équipements scolaires, création d'une maison de la petite enfance, actions du centre communal d'action sociale, mise en chantier et rénovation des logements sociaux : "l'opposition vigilante entend veiller non seulement à la réalisation des projets mais aussi au quotidien des Bastiais, en particulier aux services publics qui ne doivent pas se dégrader" a encore souligné Jean Zuccarelli.
Respect des principes de rigueur de gestion notamment dans la maîtrise des dépenses, en matière de transparence et de gestion des personnels et place faite à l'opposition au sein des conseils municipal et communautaire ont constitué les autres axes de l'intervention de Jean Zuccarelli avant qu'il ne se consacre à une critique plus précise du premier magistrat la ville auquel il a été fait le reproche de ne pas avoir ceint l'écharpe tricolore le 8 Mai alors qu'il l'arborait le jour de son élection. Puis qui s'est prêté à "une attitude partisane en prenant part à une manifestation dont il ne pouvait ignorer qu'elle allait dégénérer et en se tenant dans un cortège entouré de banderoles aux slogans violents et haineux".
Les mêmes critiques ont été formulées par Francis Riolacci du groupe des élus communistes au conseil municipal, le second de l'opposition avec celui des radicaux et apparentés.
"Quel crédit accorder à la déclaration du nouveau maire de Bastia qui "déplore ces incidents" tout en ayant manifesté comme premier magistrat de la ville aux côtés de ceux qui les ont commis ?" "Si le 6 Avril Gilles Simeoni avait revêtu l'écharpe tricolore en signe de "logique d'apaisement", le 10 Mai l'illusion s'est fracassée sur la dure réalité des dégâts que cette manifestation a infligés à notre ville : ce jour-là Gilles Simeoni a choisi d'être d'abord un chef nationaliste avant d'être le maire de tous les bastiais" a ajouté Francis Riolacci auprès duquel ni Emmanuelle de Gentili, ni Jean-Louis Milani et pas davantage François Tatti n'ont trouvé grâce…
"Si Emmanuel de Gentili et Jean-Louis Milani, au nom du courage politique, se sont réfugiés dans le silence, François Tatti a exprimé sa réprobation des "slogans haineux" et des "violences" qui ont marqué cette manifestation. Il a lancé un aimable appel "aux organisateurs" à prendre leurs distances avec de tels agissements et à veiller à ce qu'ils ne puissent plus se reproduire dans des éventuelles manifestations à venir". Cet appel s'adressait aussi à Gilles Simeoni ?"
Pour le reste l'élu communiste a souligné que l'opposition veillerait à protéger les acquis sociaux de la gestion précédente.
Elle veillera notamment "à ce que les projets impulsés durant la précédente mandature se poursuivent et aboutissent."
Et de citer la requalification de l'avenue Emile-Sari, du centre ancien, la réalisation de la voie douce pour laquelle il redoute "l'abandon de la construction du fil rouge place Saint-Nicolas et quai des Martyrs", la construction du port de la Carbonite pour laquelle la municipalité n'a pas "de positionnement clair"…
Centre culturel des quartiers Sud, projet de scène nationale, opérations de rénovation des équipements scolaires, création d'une maison de la petite enfance, actions du centre communal d'action sociale, mise en chantier et rénovation des logements sociaux : "l'opposition vigilante entend veiller non seulement à la réalisation des projets mais aussi au quotidien des Bastiais, en particulier aux services publics qui ne doivent pas se dégrader" a encore souligné Jean Zuccarelli.
Respect des principes de rigueur de gestion notamment dans la maîtrise des dépenses, en matière de transparence et de gestion des personnels et place faite à l'opposition au sein des conseils municipal et communautaire ont constitué les autres axes de l'intervention de Jean Zuccarelli avant qu'il ne se consacre à une critique plus précise du premier magistrat la ville auquel il a été fait le reproche de ne pas avoir ceint l'écharpe tricolore le 8 Mai alors qu'il l'arborait le jour de son élection. Puis qui s'est prêté à "une attitude partisane en prenant part à une manifestation dont il ne pouvait ignorer qu'elle allait dégénérer et en se tenant dans un cortège entouré de banderoles aux slogans violents et haineux".
Les mêmes critiques ont été formulées par Francis Riolacci du groupe des élus communistes au conseil municipal, le second de l'opposition avec celui des radicaux et apparentés.
"Quel crédit accorder à la déclaration du nouveau maire de Bastia qui "déplore ces incidents" tout en ayant manifesté comme premier magistrat de la ville aux côtés de ceux qui les ont commis ?" "Si le 6 Avril Gilles Simeoni avait revêtu l'écharpe tricolore en signe de "logique d'apaisement", le 10 Mai l'illusion s'est fracassée sur la dure réalité des dégâts que cette manifestation a infligés à notre ville : ce jour-là Gilles Simeoni a choisi d'être d'abord un chef nationaliste avant d'être le maire de tous les bastiais" a ajouté Francis Riolacci auprès duquel ni Emmanuelle de Gentili, ni Jean-Louis Milani et pas davantage François Tatti n'ont trouvé grâce…
"Si Emmanuel de Gentili et Jean-Louis Milani, au nom du courage politique, se sont réfugiés dans le silence, François Tatti a exprimé sa réprobation des "slogans haineux" et des "violences" qui ont marqué cette manifestation. Il a lancé un aimable appel "aux organisateurs" à prendre leurs distances avec de tels agissements et à veiller à ce qu'ils ne puissent plus se reproduire dans des éventuelles manifestations à venir". Cet appel s'adressait aussi à Gilles Simeoni ?"
Pour le reste l'élu communiste a souligné que l'opposition veillerait à protéger les acquis sociaux de la gestion précédente.