Un programme de travail conséquent au coup d'envoi duquel ont présidé, bien sûr, Jean Zuccarelli et Francis Riolacci qui, l'un après l'autre, ont fixé la feuille de route de l'après-midi.
Mais avant d'envisager l'avenir ils ont dressé le bilan de gestion de la municipalité sortante "qu'une grande majorité de Bastiais, par-delà de leurs sensibilités politiques reconnaissent" a souligné Jean Zuccarelli.
Et de citer l'embellissement et l'amélioration du patrimoine de la ville : le Musée, la Citadelle, les grands projets structurants, la rénovation des quartiers sud, de la rue César-Campinchi, de la rue Napoléon "qui est un vrai bijou". Et au niveau de la communauté d'agglomération "tout ce qui touche au sport" avec le grand équipement du stade Armand-Cesari. Cités aussi l'amélioration de la zone d'activités d'Erbajolo et le soutien à toutes les entreprises, au commerce et à l'artisanat à travers la rénovation des quartiers, l'ouverture celle du cimetière de l'Ondina avec le premier crématorium de Corse etc.
Puis Jean Zuccarelli à invité les divers ateliers, à partir du constat établi, à voir comment on peut faire mieux, comment on peut aller plus loin, pour, dans le programme qui est en train d'être élaboré, poursuivre les grands projets structurants.
"Mais il y a encore la place pour beaucoup de choses" a-t-il ajouté. C'est pour cela que ce temps de la campagne, avant d'entrer dans la dernière ligne droite, est vraiment important pour pouvoir peaufiner notre projet qui se constituera autour des grands axes déjà inscrits dans le passé et qui doit intégrer des éléments nouveaux, des attentes nouvelles, et prendre en compte le contexte que nous vivons aujourd'hui."
C'est dans ce cadre qu'il a invité ses amis, mais aussi des Bastiais, chefs d'entreprises, représentants d'associations ou personnes impliquées de diverses manières dans la vie de la cité, à s'exprimer dans le cadre des divers ateliers du jour.
Francis Riolacci :" Un bilan que nous portons avec fierté"
"Nous portons le bilan de la municipalité. Lors de la prochaine mandature un certain nombre de projets seront en voie de réalisation ou seront réalisés - ils feront certainement l'objet de discussions dans les ateliers - mais il est bien évident qu'ils ne répondront pas à tous les besoins de la ville".
Francis Riolacci a insisté, lui, sur le "projet de ville, avec des propositions concrètes basées sur des vrais valeurs" qu'il portera avec Jean Zuccarelli.
"Ce sont ces valeurs qui fondent notre rassemblement qui, depuis près de 40 ans, a reçu des Bastiais la responsabilité de gérer les affaires municipales."
"La première municipalité de Jean Zuccarelli et Pierre Giudicelli a relevé Bastia. La municipalité d'Emile Zuccarelli a transformé Bastia a préparé Bastia aux nouvelles évolutions. Bastia a été transformé. En plus de 20 ans cette municipalité a travaillé d'arrache-pied pour que Bastia soit au niveau des enjeux du 21e siècle. Ce bilan nous le portons avec fierté. Aujourd'hui il faut poursuivre : la mettre au niveau de notre temps en phase avec le développement et cohésion sociale. Le travail qui est fait aujourd'hui est d'associer le maximum de Bastiais à la définition de ce projet de ville qui fonde notre rassemblement."
Mais avant d'envisager l'avenir ils ont dressé le bilan de gestion de la municipalité sortante "qu'une grande majorité de Bastiais, par-delà de leurs sensibilités politiques reconnaissent" a souligné Jean Zuccarelli.
Et de citer l'embellissement et l'amélioration du patrimoine de la ville : le Musée, la Citadelle, les grands projets structurants, la rénovation des quartiers sud, de la rue César-Campinchi, de la rue Napoléon "qui est un vrai bijou". Et au niveau de la communauté d'agglomération "tout ce qui touche au sport" avec le grand équipement du stade Armand-Cesari. Cités aussi l'amélioration de la zone d'activités d'Erbajolo et le soutien à toutes les entreprises, au commerce et à l'artisanat à travers la rénovation des quartiers, l'ouverture celle du cimetière de l'Ondina avec le premier crématorium de Corse etc.
Puis Jean Zuccarelli à invité les divers ateliers, à partir du constat établi, à voir comment on peut faire mieux, comment on peut aller plus loin, pour, dans le programme qui est en train d'être élaboré, poursuivre les grands projets structurants.
"Mais il y a encore la place pour beaucoup de choses" a-t-il ajouté. C'est pour cela que ce temps de la campagne, avant d'entrer dans la dernière ligne droite, est vraiment important pour pouvoir peaufiner notre projet qui se constituera autour des grands axes déjà inscrits dans le passé et qui doit intégrer des éléments nouveaux, des attentes nouvelles, et prendre en compte le contexte que nous vivons aujourd'hui."
C'est dans ce cadre qu'il a invité ses amis, mais aussi des Bastiais, chefs d'entreprises, représentants d'associations ou personnes impliquées de diverses manières dans la vie de la cité, à s'exprimer dans le cadre des divers ateliers du jour.
Francis Riolacci :" Un bilan que nous portons avec fierté"
"Nous portons le bilan de la municipalité. Lors de la prochaine mandature un certain nombre de projets seront en voie de réalisation ou seront réalisés - ils feront certainement l'objet de discussions dans les ateliers - mais il est bien évident qu'ils ne répondront pas à tous les besoins de la ville".
Francis Riolacci a insisté, lui, sur le "projet de ville, avec des propositions concrètes basées sur des vrais valeurs" qu'il portera avec Jean Zuccarelli.
"Ce sont ces valeurs qui fondent notre rassemblement qui, depuis près de 40 ans, a reçu des Bastiais la responsabilité de gérer les affaires municipales."
"La première municipalité de Jean Zuccarelli et Pierre Giudicelli a relevé Bastia. La municipalité d'Emile Zuccarelli a transformé Bastia a préparé Bastia aux nouvelles évolutions. Bastia a été transformé. En plus de 20 ans cette municipalité a travaillé d'arrache-pied pour que Bastia soit au niveau des enjeux du 21e siècle. Ce bilan nous le portons avec fierté. Aujourd'hui il faut poursuivre : la mettre au niveau de notre temps en phase avec le développement et cohésion sociale. Le travail qui est fait aujourd'hui est d'associer le maximum de Bastiais à la définition de ce projet de ville qui fonde notre rassemblement."
Jean Zuccarelli : "Des ralliements sans négociations, ni marchandages"
- Quel est but de ces ateliers sur le thème "Imagine Bastia " ?
- A ce stade de la campagne et de l'élaboration du projet que nous présenterons en début d'année aux Bastiais, nous avons voulu les écouter, approfondir le dialogue et la libre expression avec eux. Et à partir de là, imaginer de nouvelles propositions qui viennent enrichir plus encore notre projet pour Bastia. Nous le voulons dans le prolongement et la continuité de ce qui a été fait pour, à partir d'un bilan qualifié de positif par une grande majorité de Bastiais, continuer et amplifier la dynamique de progrès qui est à l'œuvre dans Bastia.
- Mais plus concrètement ?
- C'est un temps de réflexion, de dialogue pour faire preuve d'imagination, se tourner vers l'avenir en prenant bien sûr un peu de hauteur mais en restant les pieds sur terre, très pratiques, très concrets. Je ne doute pas, vu la participation et l'intérêt que suscitent ces ateliers que nous en retirerons vraiment de la substance pour améliorer notre cadre de vie. C'est l'objectif premier que nous étions assignés dans cette étape de lancement de campagne.
- L'avenir parlons-en justement. Vous allez aborder la campagne avec une majorité qui n'est pas celle sortante : comment appréhendez-vous cette échéance ?
- Avec confiance. Les échos qui nous viennent du terrain nous semblent positifs. Nous sommes en contact tous les jours avec les Bastiais. Et forts de ce bilan positif, nous pouvons leur expliquer les enjeux de cette élection, s'ils souhaitent que nous continuions dans cette direction tout en apportant de nouvelles réponses à leurs attentes. Nous sommes confiants mais nous sommes aussi conscients de représenter la majorité municipale sortante car nous sommes les seuls à avoir opéré un rassemblement entre deux formations politiques…
- Mais la troisième n'est plus là et l'un des anciens adjoints fait cavalier seul…
- Quand la mairie a été conquise par l'Union de la Gauche en 1968 c'était sans les voix des Socialistes. Et il y a eu des élections avec et sans eux. J'ai toujours considéré que l'union des trois formations politiques, dans sa version la plus large, était préférable et j'ai œuvré dans ce sens pendant plusieurs mois. Nous ne sommes pas parvenus à un accord. Emmanuelle de Gentili a choisi de conduire une liste, c'est sa décision. Je crois qu'elle ne fait pas l'unanimité au plan local chez nos amis Socialistes. S'agissant de François Tatti c'est une "dissidence" dans notre parti Radical de Gauche. Mais là aussi le parti est resté uni à une majorité très importante derrière le candidat qu'il a désigné et ses adhérents ont par un vote à bulletin secret ont confirmé cette union. Il y aura donc deux formations politiques qui partiront à la bataille et c'est ce qui me fonde à dire que la liste que j'aurai l'honneur de conduire représentera véritablement cette majorité municipale sortante avec ses projets et son ambition pour l'avenir de Bastia. Oui, il y a division, il n'y a pas d'union totale, mais l'union autour de ces deux formations légitime totalement notre démarche?
- Anticipons un peu : Vous êtes au second tour mais vous avez besoin de vos ex-amis vous essayez de les récupérer, d'élargir l'union ?
- Il faut être pragmatique et toujours garder à l'esprit qu'il faut faire gagner la Gauche. Aujourd'hui nous avons une position claire, cohérente : nous ne laissons aucune ambiguïté sur les alliances ou les rapprochements que nous pourrons faire au second tour. Je note que quand la même question a été posée à Emmanuelle de Gentili et François Tatti, ils n'ont pas écarté, voire envisagé clairement des rapprochements avec Gilles Simeoni, ce qui n'a pas manqué d'interpeller tous les Bastiais qui partagent les valeurs de cette majorité municipale. Pour notre part nous avons fait un choix clair et cohérent. J'ai dit qu'il n'y aurait pas de replâtrage car nous savons qu'entre les deux tours c'est extrêmement difficile de rapprochern de fusionner des listes surtout quand on le fait un peu dans la précipitation.
- Mais s'il y a nécessité ?
- Nous verrons à l'issue du premier tour. Nous souhaitons que les Bastiais nous placent en tête avec une avance nette pour que nous puissions constituer ce rassemblement et ainsi déjouer d'éventuelles opérations douteuses qui pourraient se nouer entre différents candidats. Bien évidemment si des ralliements s'opéraient sur la base de notre programme et de nos valeurs, nous ne les écarterons pas d'office au second tour, mais cela ne devra pas donner lieu à des négociations et à des marchandages : nous ferons en sorte de faire gagner la Gauche et au-delà de la Gauche cette majorité municipale qui a toujours su servir les intérêts des Bastiais et de Bastia.
- A ce stade de la campagne et de l'élaboration du projet que nous présenterons en début d'année aux Bastiais, nous avons voulu les écouter, approfondir le dialogue et la libre expression avec eux. Et à partir de là, imaginer de nouvelles propositions qui viennent enrichir plus encore notre projet pour Bastia. Nous le voulons dans le prolongement et la continuité de ce qui a été fait pour, à partir d'un bilan qualifié de positif par une grande majorité de Bastiais, continuer et amplifier la dynamique de progrès qui est à l'œuvre dans Bastia.
- Mais plus concrètement ?
- C'est un temps de réflexion, de dialogue pour faire preuve d'imagination, se tourner vers l'avenir en prenant bien sûr un peu de hauteur mais en restant les pieds sur terre, très pratiques, très concrets. Je ne doute pas, vu la participation et l'intérêt que suscitent ces ateliers que nous en retirerons vraiment de la substance pour améliorer notre cadre de vie. C'est l'objectif premier que nous étions assignés dans cette étape de lancement de campagne.
- L'avenir parlons-en justement. Vous allez aborder la campagne avec une majorité qui n'est pas celle sortante : comment appréhendez-vous cette échéance ?
- Avec confiance. Les échos qui nous viennent du terrain nous semblent positifs. Nous sommes en contact tous les jours avec les Bastiais. Et forts de ce bilan positif, nous pouvons leur expliquer les enjeux de cette élection, s'ils souhaitent que nous continuions dans cette direction tout en apportant de nouvelles réponses à leurs attentes. Nous sommes confiants mais nous sommes aussi conscients de représenter la majorité municipale sortante car nous sommes les seuls à avoir opéré un rassemblement entre deux formations politiques…
- Mais la troisième n'est plus là et l'un des anciens adjoints fait cavalier seul…
- Quand la mairie a été conquise par l'Union de la Gauche en 1968 c'était sans les voix des Socialistes. Et il y a eu des élections avec et sans eux. J'ai toujours considéré que l'union des trois formations politiques, dans sa version la plus large, était préférable et j'ai œuvré dans ce sens pendant plusieurs mois. Nous ne sommes pas parvenus à un accord. Emmanuelle de Gentili a choisi de conduire une liste, c'est sa décision. Je crois qu'elle ne fait pas l'unanimité au plan local chez nos amis Socialistes. S'agissant de François Tatti c'est une "dissidence" dans notre parti Radical de Gauche. Mais là aussi le parti est resté uni à une majorité très importante derrière le candidat qu'il a désigné et ses adhérents ont par un vote à bulletin secret ont confirmé cette union. Il y aura donc deux formations politiques qui partiront à la bataille et c'est ce qui me fonde à dire que la liste que j'aurai l'honneur de conduire représentera véritablement cette majorité municipale sortante avec ses projets et son ambition pour l'avenir de Bastia. Oui, il y a division, il n'y a pas d'union totale, mais l'union autour de ces deux formations légitime totalement notre démarche?
- Anticipons un peu : Vous êtes au second tour mais vous avez besoin de vos ex-amis vous essayez de les récupérer, d'élargir l'union ?
- Il faut être pragmatique et toujours garder à l'esprit qu'il faut faire gagner la Gauche. Aujourd'hui nous avons une position claire, cohérente : nous ne laissons aucune ambiguïté sur les alliances ou les rapprochements que nous pourrons faire au second tour. Je note que quand la même question a été posée à Emmanuelle de Gentili et François Tatti, ils n'ont pas écarté, voire envisagé clairement des rapprochements avec Gilles Simeoni, ce qui n'a pas manqué d'interpeller tous les Bastiais qui partagent les valeurs de cette majorité municipale. Pour notre part nous avons fait un choix clair et cohérent. J'ai dit qu'il n'y aurait pas de replâtrage car nous savons qu'entre les deux tours c'est extrêmement difficile de rapprochern de fusionner des listes surtout quand on le fait un peu dans la précipitation.
- Mais s'il y a nécessité ?
- Nous verrons à l'issue du premier tour. Nous souhaitons que les Bastiais nous placent en tête avec une avance nette pour que nous puissions constituer ce rassemblement et ainsi déjouer d'éventuelles opérations douteuses qui pourraient se nouer entre différents candidats. Bien évidemment si des ralliements s'opéraient sur la base de notre programme et de nos valeurs, nous ne les écarterons pas d'office au second tour, mais cela ne devra pas donner lieu à des négociations et à des marchandages : nous ferons en sorte de faire gagner la Gauche et au-delà de la Gauche cette majorité municipale qui a toujours su servir les intérêts des Bastiais et de Bastia.