A la veille de cette marche silencieuse en sa mémoire, qui déroulée en présence de plus de 3000 personnes (voir par ailleurs), c'est dans la plus grande discrétion que le corps de Julie Douib, 35 ans, assassinée le dimanche 3 mars à son domicile du 2e étage de la Résidence de la Mer à l'Ile-Rousse, a été inhumé.
La levée du corps a eu lieu peu après 14 heures au reposoir du Centre Hospitalier de Bastia, en présence de la famille.
Le convoi a ensuite rejoint vers 16 heures la Balagne et plus précisément le village de Monticello où la Municipalité a mis à disposition une sépulture à la disposition de la famille.
Quelques amies étaient là à l'entrée du cimetière pour soutenir la famille dans cette nouvelle épreuve douloureuse.
Selon nos informations, la dépouille de Julie Douib sera ultérieurement transférée sur le continent, dans sa commune de Vaires-sur-Marne où elle a passé toute son enfance et son adolescence.
En cette terrible épreuve, la rédaction de CNI présente à la famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses condoléances émues et attristées.
L'enquête se poursuit
Saisis de l'enquête, les gendarmes de la Brigade de recherche Calvi-Balagne et les officiers de Police judiciaire de l'Ile-Rousse poursuivent leurs investigations, vérifient les moindres détails des circonstances de cet horrible assassinat qui a coûté la vie à Julie Douib et qui laisse deux enfants, Anthony et Luccas orphelins de leur mère. Dans leur enquête, les gendarmes vont notamment s'attacher à déterminer si l'auteur présumé de cet attentat, Bruno Garcia, 43 ans qui s'est présenté peu après les faits à la Gendarmerie en avouant avoir tué son ex-concubine, a prémédité son geste et, si c'est la cas, à quel degré.
Rappelons que l'auteur présumé de cet assassinat a été mis en examen du chef d'assassinat et écroué à la Maison d'arrêt de Borgo.
A la question de savoir si Bruno Garcia était titulaire d'un port d'arme, la réponse est oui « A titre sportif », ce qui n'est pas sans poser problème sur ces autorisations
Julie Douib a t-elle fait l'acquisition d'un Taser parce qu'elle se sentait menacée. La réponse à ce stade de l'enquête est non, ce qui n'efface pas le fait qu'elle craignait pour sa vie, comme cela a été rapporté par plusieurs de ses amies.
Des voix s'élèvent
Depuis ce drame du 3 mars dernier, les réactions après cet assassinat son multiples, des voix s'élèvent pour désigner des coupables, de nombreuses informations et affirmations circulent (dont certaines sont complètement erronées).
La famille exige que toute la lumière soit faite sur cet assassinat qui leur a arraché leur fille chérie.
Après s'être exprimée dans un média national, elle a décidé de ne plus communiquer et de laisser faire la justice, ce que l'on peut très bien comprendre.
Si comme certains l'affirment il y a eu des manquements ou des fautes graves, il est important que toute la lumière soit faite et que la justice fasse son travail.
Avant le drame, des plaintes et des mains courantes ont été déposées par Julie Douib, par son ex-conjoint, et par le père de la victime, des procès verbaux ont été rédigés, des amendes ont été infligées, la justice a été saisie, les services sociaux ont diligenté une enquête...
La levée du corps a eu lieu peu après 14 heures au reposoir du Centre Hospitalier de Bastia, en présence de la famille.
Le convoi a ensuite rejoint vers 16 heures la Balagne et plus précisément le village de Monticello où la Municipalité a mis à disposition une sépulture à la disposition de la famille.
Quelques amies étaient là à l'entrée du cimetière pour soutenir la famille dans cette nouvelle épreuve douloureuse.
Selon nos informations, la dépouille de Julie Douib sera ultérieurement transférée sur le continent, dans sa commune de Vaires-sur-Marne où elle a passé toute son enfance et son adolescence.
En cette terrible épreuve, la rédaction de CNI présente à la famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses condoléances émues et attristées.
L'enquête se poursuit
Saisis de l'enquête, les gendarmes de la Brigade de recherche Calvi-Balagne et les officiers de Police judiciaire de l'Ile-Rousse poursuivent leurs investigations, vérifient les moindres détails des circonstances de cet horrible assassinat qui a coûté la vie à Julie Douib et qui laisse deux enfants, Anthony et Luccas orphelins de leur mère. Dans leur enquête, les gendarmes vont notamment s'attacher à déterminer si l'auteur présumé de cet attentat, Bruno Garcia, 43 ans qui s'est présenté peu après les faits à la Gendarmerie en avouant avoir tué son ex-concubine, a prémédité son geste et, si c'est la cas, à quel degré.
Rappelons que l'auteur présumé de cet assassinat a été mis en examen du chef d'assassinat et écroué à la Maison d'arrêt de Borgo.
A la question de savoir si Bruno Garcia était titulaire d'un port d'arme, la réponse est oui « A titre sportif », ce qui n'est pas sans poser problème sur ces autorisations
Julie Douib a t-elle fait l'acquisition d'un Taser parce qu'elle se sentait menacée. La réponse à ce stade de l'enquête est non, ce qui n'efface pas le fait qu'elle craignait pour sa vie, comme cela a été rapporté par plusieurs de ses amies.
Des voix s'élèvent
Depuis ce drame du 3 mars dernier, les réactions après cet assassinat son multiples, des voix s'élèvent pour désigner des coupables, de nombreuses informations et affirmations circulent (dont certaines sont complètement erronées).
La famille exige que toute la lumière soit faite sur cet assassinat qui leur a arraché leur fille chérie.
Après s'être exprimée dans un média national, elle a décidé de ne plus communiquer et de laisser faire la justice, ce que l'on peut très bien comprendre.
Si comme certains l'affirment il y a eu des manquements ou des fautes graves, il est important que toute la lumière soit faite et que la justice fasse son travail.
Avant le drame, des plaintes et des mains courantes ont été déposées par Julie Douib, par son ex-conjoint, et par le père de la victime, des procès verbaux ont été rédigés, des amendes ont été infligées, la justice a été saisie, les services sociaux ont diligenté une enquête...