Cette action avait eu lieu le 6 juin 2001 alors que cette caserne était en construction.
En mai 2007, plusieurs militants nationalistes avaient été condamnés à des peines allant jusqu’à 12 ans de réclusion.
Plus tard, ils seront condamnés aussi au tribunal civil à payer les dégâts. La justice réclame aujourd’hui quelque 177 766 € à plusieurs d’entre eux.
Pour le collectif, « ces amendes, au-delà des saisies et des plans de règlements proposés par les services fiscaux, sont des tortures psychologiques qui, de plus, hypothèquent les possibilités de transmission de patrimoine ».
Lors de cette conférence de presse Felix Benedetti, membre de « Patriotti » a dénoncé un acharnement contre ces anciens prisonniers. « Nous n’acceptons pas cet acharnement. L’Etat est son propre assureur, la caserne est payée, le but de ces saisies et amendes est d’infliger une peine perpétuelle et une pression permanente sur les patriotes qui ont osé un jour se lever contre un ordre colonial établi ».
Pour Jean-Philippe Antolini, autre membre de Patriotti, « le choix de relancer ces amendes après toutes ces années est un choix politique. Nous y répondons par l’unité politique des Patriotti ».
Le collectif réclame aujourd’hui « l’effacement des amendes et le retrait des patriotes corses du FIJAIT, créé pour les islamistes radicaux ».
Après avoir rencontré Gilles Simeoni, le président de l’Exécutif de Corse, les membres du collectif entendent rencontrer tous les groupes de l’Assemblée de Corse.
Un rendez-vous a également été demandé à la préfète de Corse.
En mai 2007, plusieurs militants nationalistes avaient été condamnés à des peines allant jusqu’à 12 ans de réclusion.
Plus tard, ils seront condamnés aussi au tribunal civil à payer les dégâts. La justice réclame aujourd’hui quelque 177 766 € à plusieurs d’entre eux.
Pour le collectif, « ces amendes, au-delà des saisies et des plans de règlements proposés par les services fiscaux, sont des tortures psychologiques qui, de plus, hypothèquent les possibilités de transmission de patrimoine ».
Lors de cette conférence de presse Felix Benedetti, membre de « Patriotti » a dénoncé un acharnement contre ces anciens prisonniers. « Nous n’acceptons pas cet acharnement. L’Etat est son propre assureur, la caserne est payée, le but de ces saisies et amendes est d’infliger une peine perpétuelle et une pression permanente sur les patriotes qui ont osé un jour se lever contre un ordre colonial établi ».
Pour Jean-Philippe Antolini, autre membre de Patriotti, « le choix de relancer ces amendes après toutes ces années est un choix politique. Nous y répondons par l’unité politique des Patriotti ».
Le collectif réclame aujourd’hui « l’effacement des amendes et le retrait des patriotes corses du FIJAIT, créé pour les islamistes radicaux ».
Après avoir rencontré Gilles Simeoni, le président de l’Exécutif de Corse, les membres du collectif entendent rencontrer tous les groupes de l’Assemblée de Corse.
Un rendez-vous a également été demandé à la préfète de Corse.