Pour participer à ce type d’entraînement, une habilitation est obligatoire. Les parachutistes doivent passer des tests physiques et mentaux, comme par exemple une simulation de perte d’oxygène dans une pièce confinée suivie d’une analyse physique et mentale, avec des tests de calculs, des exercices sportifs faciles, ainsi qu’une visite médicale.
Ces « SOTGH » se sont déroulés dans l’Azur Corse, sous oxygène, à 5 500 mètres d’altitude sur la zone de saut de Paolo Magno et celle de la BA 126.
Précisons, que ces sauts à très grande hauteur s’accompagnent d’une perte de température d’environ 8 degrés (sans équipement spécial prévu à cet effet), que le parachute pèse près de 28 kg et qu’à cela s’ajoutent la bouteille d’oxygène de 3kg, ainsi que la gaine qui peut peser de 50 kg, pour les plus petites et jusqu'à 150 kg pour les plus
grandes.
Une fois équipés, les parachutistes effectuent une vérification obligatoire et minutieuse du matériel au sol. Dès lors ils peuvent embarquer à bord du Transall venu de la base aérienne 105 d’Evreux. C’est en vol qu’ils doivent effectuer une deuxième vérification, avant de pouvoir procéder au saut en lui-même.
Le choix insulaire présente de nombreux atouts en répondant parfaitement à certaines exigences de sécurité telles que les conditions météorologiques, un espace aérien dégagé en haute altitude et des zones de saut proches. Le tout permet donc de pouvoir procéder à ces séances de manière fiable en toute sécurité.
Ces « SOTGH » se sont déroulés dans l’Azur Corse, sous oxygène, à 5 500 mètres d’altitude sur la zone de saut de Paolo Magno et celle de la BA 126.
Précisons, que ces sauts à très grande hauteur s’accompagnent d’une perte de température d’environ 8 degrés (sans équipement spécial prévu à cet effet), que le parachute pèse près de 28 kg et qu’à cela s’ajoutent la bouteille d’oxygène de 3kg, ainsi que la gaine qui peut peser de 50 kg, pour les plus petites et jusqu'à 150 kg pour les plus
grandes.
Une fois équipés, les parachutistes effectuent une vérification obligatoire et minutieuse du matériel au sol. Dès lors ils peuvent embarquer à bord du Transall venu de la base aérienne 105 d’Evreux. C’est en vol qu’ils doivent effectuer une deuxième vérification, avant de pouvoir procéder au saut en lui-même.
Le choix insulaire présente de nombreux atouts en répondant parfaitement à certaines exigences de sécurité telles que les conditions météorologiques, un espace aérien dégagé en haute altitude et des zones de saut proches. Le tout permet donc de pouvoir procéder à ces séances de manière fiable en toute sécurité.