Appartenant à une honorable famille de commerçants, il était père de huit enfants dont les propriétaires de la grande surface Leclerc et notamment aussi de Jean-Claude Acquaviva, le leader du groupe A Filetta.
Marcel Acquaviva qui a été conseiller municipal de L'Ile-Rousse lors de la première mandature de Pierre Pasquini, dans les années 70, et président de l'Office du tourisme, avant d'être élu vice-président du Conseil économique et social de la Corse, devait s'impliquer pour l'aboutissement des grands dossiers de la Balagne.
Ainsi, il a été le fer de lance de la revendication du lycée, de l'hôpital, mais aussi de l'aéroport de Calvi-Santa-Catalina pour l'ouverture au trafic de nuit afin de permettre aux avions de se poser jusqu'à 21 heures l'hiver.
Président du comité de défense et de promotion de la plate-forme aéroportuaire, dont il disait qu'elle est "le poumon par lequel la Balagne respire", il en a transmis le flambeau à son fils François.
Progressiste, farouche partisan du développement maîtrisé, Marcel Acquaviva croyait en l'avenir du Pays de Balagne.
Un concept auquel il adhéra pleinement, lui qui avait déjà contribué à l'élaboration du Plan d'aménagement rural (PAR) de l'entité Balagne, d'où le projet et la construction du barrage du Reginu.
Très affecté par le décès de son épouse née Franceschini, sentant ses forces défaillir, il s'était retiré chez lui où ses enfants l'entouraient de soins constants et affectueux.
A tous, Marcel Acquaviva laisse une leçon de vie et un exemple de militantisme désintéressé au service de sa région.
Ses obsèques seront célébrées ce dimanche 15 décembre à 14 heures en l'église de L'Ile-Rousse.
En cette douloureuse circonstance, Corse Net Infos présente à toute sa famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige, ses condoléances émues et attristées.
Marcel Acquaviva qui a été conseiller municipal de L'Ile-Rousse lors de la première mandature de Pierre Pasquini, dans les années 70, et président de l'Office du tourisme, avant d'être élu vice-président du Conseil économique et social de la Corse, devait s'impliquer pour l'aboutissement des grands dossiers de la Balagne.
Ainsi, il a été le fer de lance de la revendication du lycée, de l'hôpital, mais aussi de l'aéroport de Calvi-Santa-Catalina pour l'ouverture au trafic de nuit afin de permettre aux avions de se poser jusqu'à 21 heures l'hiver.
Président du comité de défense et de promotion de la plate-forme aéroportuaire, dont il disait qu'elle est "le poumon par lequel la Balagne respire", il en a transmis le flambeau à son fils François.
Progressiste, farouche partisan du développement maîtrisé, Marcel Acquaviva croyait en l'avenir du Pays de Balagne.
Un concept auquel il adhéra pleinement, lui qui avait déjà contribué à l'élaboration du Plan d'aménagement rural (PAR) de l'entité Balagne, d'où le projet et la construction du barrage du Reginu.
Très affecté par le décès de son épouse née Franceschini, sentant ses forces défaillir, il s'était retiré chez lui où ses enfants l'entouraient de soins constants et affectueux.
A tous, Marcel Acquaviva laisse une leçon de vie et un exemple de militantisme désintéressé au service de sa région.
Ses obsèques seront célébrées ce dimanche 15 décembre à 14 heures en l'église de L'Ile-Rousse.
En cette douloureuse circonstance, Corse Net Infos présente à toute sa famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige, ses condoléances émues et attristées.