- Dirigeant du club, vous avez démissionné de vos fonctions pour prendre en charge ce « Paoli » : Qu’en est-il et quel est –il exactement ?
- A travers ma société événementielle, CS3I Events je suis devenu depuis l’année dernière, et par convention, le producteur exclusif de cet évènement. A ce titre, j’ai donc démissionné de mon poste de secrétaire général du SPIRB, afin d’éviter tout conflit d’intérêt.
Je suis donc aujourd’hui vice-président du club et producteur du « Paoli ».
- La partie sportive reste donc au SPIRB ?
-Tout à fait, il y a des gens au sein du club qui sont rompus à ces tâches et qui le font très bien. De notre côté, nous mettons tout en œuvre pour régler les problèmes d’organisation mais aussi et surtout pour prospecter et trouver les financements.
Nous fonctionnons donc en binôme et nous sommes complémentaires.
- Quel est le budget d’une manifestation de cette importance ?
- Bien évidemment, c’est un budget relativement lourd, de l’ordre de 130 à 140 000€ et ce n’est pas si simple que cela de le boucler.
- De nombreux événements sportifs et culturels ont renoncé à la suite des diminutions des aides publiques. Craignez-vous pour le « Paoli ?
- On aurait effectivement pu craindre si nous n’avions pas pris les devants en nous tournant vers les privés. Je ne dis pas aujourd’hui que c’est gagné mais nous pouvons travailler plus sereinement, sans cette terrible épée de Damoclès au-dessus de notre tête.
- Quels sont les pourcentages des aides publiques et privées pour le « Paoli »
- 30% de fonds publics et 70% de fonds privés, y compris bien entendu les commerçants de la microrégion qui répondent avec beaucoup de gentillesse à nos sollicitations. Cette année par exemple, dans les nouveaux sponsors, nous avons de grandes sociétés comme Orangina, Oscaro, Balagne Distribution et autres qui nous ont rejoints.
- Chaque année le « Paoli » progresse, Quelles seront les nouveautés cette année ?
-Vous avez raison de le souligner. Chaque année, l’organisation du « Paoli » se remet en question pour s’améliorer et proposer autre chose. Cette année, nos efforts se sont concentrés sur la communication avec la mise en place d’un live steaming à travers la société Beretti qui filmera les demi-finales en direct par satellite, relayées avec le concours de l’office de tourisme de lLIle-Rousse
Autre nouveauté, celle de l’espace médias avec un plateau new »look, décoré par Virginie, spécialiste en déco et par Bruno Demoustier, décorateur floral. Antoine du restaurant Paoli nous mettrons aussi à disposition une partie de sa terrasse. Enfin, j’ajouterais que que le plateau sera géré par une spécialiste de la télévision Evelyne Thomas. Ce carré sera à mon avis l’un des plus beaux du circuit national de la pétanque.
- Souhaitez-vous à l’avenir associer d’autres événements au « Paoli » ?
- Nous n’avons pas encore eu le temps de nous pencher sur cette idée, mais en effet, pourquoi pas associer un autre événement à notre manifestation, à la condition toutefois que celui-ci soit compatible avec la pétanque et en adéquation avec notre philosophie.
- Quelles sont les retombées économiques pour la ville ?
- Difficile de quantifier mais ce dont le puis vous assurer, c’est que ces retombées sont conséquentes et bénéfiques à 100% pour les hôtels, les restaurants, les cafés et autres commerces. Le « Paoli », c’est 5000 personnes sur 3 jours dans la cité Paoline. Je vous laisse imaginer.
- Vous avez choisi de ne pas installer une buvette comme par le passé, pourquoi ?
-Tout d’abord soyons clair, cette buvette était difficile pour nous à gérer. Ensuite, il était tout à fait normal que les cafetiers de la place Paoli puissent profiter pleinement de ces retombées du « Paoli ».
-A l’annonce du report du championnat du monde pour les raisons que l’on sait avez-vous essayé de convaincre l’élite de la pétanque à vous rejoindre pour cette édition 2014 ?
- Notre président Angelo Allegrini a effectivement essayé de voir avec le président de la fédération de récupérer des têtes d’affiche après le report des championnats du monde, sans succès.
Mais, ce n’est pas grave, nous les aurons sans doute l’année prochaine. Et puis, ne dit-on pas « Les absents ont toujours tort » ?
Plus sérieusement, les candidats à la victoire ne manqueront pas. Je pense notamment à notre équipe composée de Muraccioli – Dath-Mangiantini ou encore Puccinelli-Hureau-Fournier, Fazzino-Croci-Poiret, Philipson-Canava-Lamour….
- Un mot, enfin, sur la soirée de gala du vendredi à la Siesta
- Je préférerais dire soirée festive plutôt que soirée de gala. Nous tenons beaucoup à cette soirée, organisée de la plus belle des manières qu’il soit par André d’Oriano et ses enfants. C’est l’occasion pour nous de réunir nos 120 ou 130 partenaires, de les remercier, de mieux se connaître et d’échanger pour le bien du « Paoli ».
Selon les informations dont nous disposons, les conditions météorologiques devraient être favorables. J’invite tous les île-roussiens et île-roussiennes, les Balanins et les vacanciers qui nous font encore l’honneur d’être parmi nous, à nous rejoindre pour que nous puissions partager cet événement sportif et festif .
- A travers ma société événementielle, CS3I Events je suis devenu depuis l’année dernière, et par convention, le producteur exclusif de cet évènement. A ce titre, j’ai donc démissionné de mon poste de secrétaire général du SPIRB, afin d’éviter tout conflit d’intérêt.
Je suis donc aujourd’hui vice-président du club et producteur du « Paoli ».
- La partie sportive reste donc au SPIRB ?
-Tout à fait, il y a des gens au sein du club qui sont rompus à ces tâches et qui le font très bien. De notre côté, nous mettons tout en œuvre pour régler les problèmes d’organisation mais aussi et surtout pour prospecter et trouver les financements.
Nous fonctionnons donc en binôme et nous sommes complémentaires.
- Quel est le budget d’une manifestation de cette importance ?
- Bien évidemment, c’est un budget relativement lourd, de l’ordre de 130 à 140 000€ et ce n’est pas si simple que cela de le boucler.
- De nombreux événements sportifs et culturels ont renoncé à la suite des diminutions des aides publiques. Craignez-vous pour le « Paoli ?
- On aurait effectivement pu craindre si nous n’avions pas pris les devants en nous tournant vers les privés. Je ne dis pas aujourd’hui que c’est gagné mais nous pouvons travailler plus sereinement, sans cette terrible épée de Damoclès au-dessus de notre tête.
- Quels sont les pourcentages des aides publiques et privées pour le « Paoli »
- 30% de fonds publics et 70% de fonds privés, y compris bien entendu les commerçants de la microrégion qui répondent avec beaucoup de gentillesse à nos sollicitations. Cette année par exemple, dans les nouveaux sponsors, nous avons de grandes sociétés comme Orangina, Oscaro, Balagne Distribution et autres qui nous ont rejoints.
- Chaque année le « Paoli » progresse, Quelles seront les nouveautés cette année ?
-Vous avez raison de le souligner. Chaque année, l’organisation du « Paoli » se remet en question pour s’améliorer et proposer autre chose. Cette année, nos efforts se sont concentrés sur la communication avec la mise en place d’un live steaming à travers la société Beretti qui filmera les demi-finales en direct par satellite, relayées avec le concours de l’office de tourisme de lLIle-Rousse
Autre nouveauté, celle de l’espace médias avec un plateau new »look, décoré par Virginie, spécialiste en déco et par Bruno Demoustier, décorateur floral. Antoine du restaurant Paoli nous mettrons aussi à disposition une partie de sa terrasse. Enfin, j’ajouterais que que le plateau sera géré par une spécialiste de la télévision Evelyne Thomas. Ce carré sera à mon avis l’un des plus beaux du circuit national de la pétanque.
- Souhaitez-vous à l’avenir associer d’autres événements au « Paoli » ?
- Nous n’avons pas encore eu le temps de nous pencher sur cette idée, mais en effet, pourquoi pas associer un autre événement à notre manifestation, à la condition toutefois que celui-ci soit compatible avec la pétanque et en adéquation avec notre philosophie.
- Quelles sont les retombées économiques pour la ville ?
- Difficile de quantifier mais ce dont le puis vous assurer, c’est que ces retombées sont conséquentes et bénéfiques à 100% pour les hôtels, les restaurants, les cafés et autres commerces. Le « Paoli », c’est 5000 personnes sur 3 jours dans la cité Paoline. Je vous laisse imaginer.
- Vous avez choisi de ne pas installer une buvette comme par le passé, pourquoi ?
-Tout d’abord soyons clair, cette buvette était difficile pour nous à gérer. Ensuite, il était tout à fait normal que les cafetiers de la place Paoli puissent profiter pleinement de ces retombées du « Paoli ».
-A l’annonce du report du championnat du monde pour les raisons que l’on sait avez-vous essayé de convaincre l’élite de la pétanque à vous rejoindre pour cette édition 2014 ?
- Notre président Angelo Allegrini a effectivement essayé de voir avec le président de la fédération de récupérer des têtes d’affiche après le report des championnats du monde, sans succès.
Mais, ce n’est pas grave, nous les aurons sans doute l’année prochaine. Et puis, ne dit-on pas « Les absents ont toujours tort » ?
Plus sérieusement, les candidats à la victoire ne manqueront pas. Je pense notamment à notre équipe composée de Muraccioli – Dath-Mangiantini ou encore Puccinelli-Hureau-Fournier, Fazzino-Croci-Poiret, Philipson-Canava-Lamour….
- Un mot, enfin, sur la soirée de gala du vendredi à la Siesta
- Je préférerais dire soirée festive plutôt que soirée de gala. Nous tenons beaucoup à cette soirée, organisée de la plus belle des manières qu’il soit par André d’Oriano et ses enfants. C’est l’occasion pour nous de réunir nos 120 ou 130 partenaires, de les remercier, de mieux se connaître et d’échanger pour le bien du « Paoli ».
Selon les informations dont nous disposons, les conditions météorologiques devraient être favorables. J’invite tous les île-roussiens et île-roussiennes, les Balanins et les vacanciers qui nous font encore l’honneur d’être parmi nous, à nous rejoindre pour que nous puissions partager cet événement sportif et festif .