"Nous réaffirmons notre pleine et entière solidarité avec le maire de Sisco : quinze arrêtés type Sisco ont déjà été pris en Corse" écrit Pierre Simeon de Buochberg, au nom de l'association qu'il préside dans un communiqué ainsi rédigé..
Nous, Membres du Conseil d’Administration des Maires Ruraux de Corse ,
Maires des communes de
ISOLACCIO, VESCOVATO, PIEDICROCE, CALACUCCIA, PENTA DI CASINCA, POGGIO MEZZANA, CARPINETU, PIETROSO, BISINCHI, BIGORNO, RENNO, TALLONE, VIVARIO, PRUNELLI di FIUM’ORBU, SOLARO, VALLE D’OREZZA, TALLONE, SARI-SOLENZARA, VOLPAJOLA, VEZZANI,
Témoignant de l’immense majorité de nos Membres,
Constatant le climat de désunion et de tensions communautaires contraires à la tradition d’humanisme et d’accueil du Peuple Corse ,
Observant que ce climat fait suite à la multiplication récente d’actes barbares et terroristes,
· Rappelons que les tentatives actuelles de briser notre Unité, par des agissements irresponsables de quelques-uns, quelle que soit l'influence extérieure qui les motive, sera combattue avec la plus grande détermination et la force de l'Autorité nécessaire.
· Estimons qu’il est de notre devoir et bien plus encore de celui de l’État, d’empêcher toute provocation symbolique de nature à générer des troubles à l’ordre public, et ce par tout moyen régulier et conforme aux valeurs de la République.
C’est pourquoi, dans une démarche collective, une majorité de membres de notre Conseil d’Administration, Maires du littoral ou de l’intérieur, a d’ores et déjà pris le même Arrêté que le Maire de SISCO.
Notre démarche n’a d’autre objet que d’œuvrer, à l’instar de Ange Pierre VIVONI, en faveur de la paix et de l’harmonie entre toutes les communautés dans le cadre de l'esprit des Droits de l’Homme et de la nécessaire responsabilité qui en découle en particulier dans l’exercice des Libertés individuelles.
C’est au nom exclusif de cette responsabilité et parce qu’il nous incombe d’assurer la prévention de toute dérive, que les termes d’interdiction ont donc été arrêtés par près de onze Maires, Membres de notre association, jusqu’à constater le retour de la paix sociale dans son cadre d’harmonie et de respect mutuel.
Nous, Membres du Conseil d’Administration des Maires Ruraux de Corse ,
Maires des communes de
ISOLACCIO, VESCOVATO, PIEDICROCE, CALACUCCIA, PENTA DI CASINCA, POGGIO MEZZANA, CARPINETU, PIETROSO, BISINCHI, BIGORNO, RENNO, TALLONE, VIVARIO, PRUNELLI di FIUM’ORBU, SOLARO, VALLE D’OREZZA, TALLONE, SARI-SOLENZARA, VOLPAJOLA, VEZZANI,
Témoignant de l’immense majorité de nos Membres,
Constatant le climat de désunion et de tensions communautaires contraires à la tradition d’humanisme et d’accueil du Peuple Corse ,
Observant que ce climat fait suite à la multiplication récente d’actes barbares et terroristes,
- Affirmons notre totale et indéfectible solidarité avec notre Ami et confrère Ange Pierre VIVONI, Maire de SISCO, dans sa prise de position courageuse en faveur de la sauvegarde de la Paix Sociale
· Rappelons que les tentatives actuelles de briser notre Unité, par des agissements irresponsables de quelques-uns, quelle que soit l'influence extérieure qui les motive, sera combattue avec la plus grande détermination et la force de l'Autorité nécessaire.
· Estimons qu’il est de notre devoir et bien plus encore de celui de l’État, d’empêcher toute provocation symbolique de nature à générer des troubles à l’ordre public, et ce par tout moyen régulier et conforme aux valeurs de la République.
C’est pourquoi, dans une démarche collective, une majorité de membres de notre Conseil d’Administration, Maires du littoral ou de l’intérieur, a d’ores et déjà pris le même Arrêté que le Maire de SISCO.
Notre démarche n’a d’autre objet que d’œuvrer, à l’instar de Ange Pierre VIVONI, en faveur de la paix et de l’harmonie entre toutes les communautés dans le cadre de l'esprit des Droits de l’Homme et de la nécessaire responsabilité qui en découle en particulier dans l’exercice des Libertés individuelles.
C’est au nom exclusif de cette responsabilité et parce qu’il nous incombe d’assurer la prévention de toute dérive, que les termes d’interdiction ont donc été arrêtés par près de onze Maires, Membres de notre association, jusqu’à constater le retour de la paix sociale dans son cadre d’harmonie et de respect mutuel.