« Ce fonds nous a été donné courant 2023 » souligne Linda Piazza, la directrice de la bibliothèque. «Ce fonds de plus d’un millier de pièces concerne la fin du XVIIIe siècle, le XIXe avec quelques pièces qui peuvent monter jusqu’aux années qui suivent immédiatement la Seconde guerre mondiale ». Le gros du fonds concerne la gestion familiale et communale de Castellare-di-Casinca avec, finalement, une confusion tout à fait typique du temps entre affaires publiques, familiales et personnelles. Les documents sont ainsi pour la plupart des originaux qui ont été conservés par la famille, mais qui intéressent avant tout la commune de Castellare, y compris, divers actes de propriétés. «Il serait tout à fait intéressant de croiser ce fonds avec le dépôt communal obligatoire des Archives de la Collectivité de Corse à Bastia. On pourra aller plus loin dans la démarche scientifique » ajoute Linda Piazza.
Tableaux, lettres, manuscrits, registres, carnets scolaires
« Une fois de plus, notre bibliothèque reçoit un fonds important de particulier » se réjouit Philippe Peretti, adjoint au maire, en charge du patrimoine et du mécénat. «Ces dons sont dus aux activités de vulgarisation, à l’ouverture à tous les publics de notre bibliothèque et à la générosité des familles corses qui ont compris l’importance de déposer des archives quand elles revêtent un intérêt pour la Corse. Ce fonds Giovalucchi permet non seulement de comprendre la notabilité rurale au XVIII et XIXe siècle en Casinca et notamment à Castellare-di-Casinca, mais aussi de comprendre la trajectoire de Corse, dans l’île et la carrière d’Augustin Giovalucchi. Il a eu une carrière très intéressante par son implication dans le social, l’engagement citoyen et dans l’appartenance philosophique».
Philippe Peretti qui met en avant le travail de Linda Piazza et d’Erick Miceli, doctorant en histoire. L’inventaire de ce fonds a en effet été rendu très compliqué par la profusion des pièces redondantes ainsi que par leur éclatement dans les diverses boites léguées. « Un tel fonds ouvre une belle perspective d’études concernant les jeux d’une famille de notables ruraux dans la Corse du XIXe siècle » précise Erick Miceli.
« On est très contents de partager cette mémoire » déclare François Giovalucchi représentant la famille donatrice. « On ne souhaitait pas que ces archives restent dans la poussière et on compte sur la bibliothèque pour nous éclairer sur l’histoire ».
Parmi les milliers de pièces des tableaux, des lettres, des manuscrits, des registres, carnets scolaires… un premier listing a été présenté lundi 29 avril à la bibliothèque Tommaso Prelà.
Tableaux, lettres, manuscrits, registres, carnets scolaires
« Une fois de plus, notre bibliothèque reçoit un fonds important de particulier » se réjouit Philippe Peretti, adjoint au maire, en charge du patrimoine et du mécénat. «Ces dons sont dus aux activités de vulgarisation, à l’ouverture à tous les publics de notre bibliothèque et à la générosité des familles corses qui ont compris l’importance de déposer des archives quand elles revêtent un intérêt pour la Corse. Ce fonds Giovalucchi permet non seulement de comprendre la notabilité rurale au XVIII et XIXe siècle en Casinca et notamment à Castellare-di-Casinca, mais aussi de comprendre la trajectoire de Corse, dans l’île et la carrière d’Augustin Giovalucchi. Il a eu une carrière très intéressante par son implication dans le social, l’engagement citoyen et dans l’appartenance philosophique».
Philippe Peretti qui met en avant le travail de Linda Piazza et d’Erick Miceli, doctorant en histoire. L’inventaire de ce fonds a en effet été rendu très compliqué par la profusion des pièces redondantes ainsi que par leur éclatement dans les diverses boites léguées. « Un tel fonds ouvre une belle perspective d’études concernant les jeux d’une famille de notables ruraux dans la Corse du XIXe siècle » précise Erick Miceli.
« On est très contents de partager cette mémoire » déclare François Giovalucchi représentant la famille donatrice. « On ne souhaitait pas que ces archives restent dans la poussière et on compte sur la bibliothèque pour nous éclairer sur l’histoire ».
Parmi les milliers de pièces des tableaux, des lettres, des manuscrits, des registres, carnets scolaires… un premier listing a été présenté lundi 29 avril à la bibliothèque Tommaso Prelà.