Le président du Conseil exécutif Gilles Siméoni, le président de l’Assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni et le président du Conseil Economique, Social et Culturel Henri Franceschi, ont reçu jeudi l’ambassadeur de Suède Veronika Wand-Danielsson.
Cette visite n’est pas de courtoisie mais s’inscrit dans le cadre des Rencontres Internationales de l’Université de Corse sur le thème « Enjeux environnementaux : regards croisés Suède/Corse ».
« Nous organisons en effet une journée de travail sur les problématiques environnementales qui sont des objets communs à la fois d’action mais aussi d’inquiétude pour la Corse et la Suède, a expliqué Paul-Marie Romani, le président de l’Université de Corse présent également. Il va donc y avoir une séance plénière le matin durant laquelle nous débattrons sur les questions génériques et l’après midi seront organisés quatre ateliers en parallèle qui porteront sur des sujets spécifiques comme les déchets ou encore l’économie circulaire.
Après un accueil officiel à la Collectivité Territoriale de Corse, la délégation a visité la plateforme MYRTE (Mission hYdrogène Renouvelable pour l’intégraTion au réseau Electrique) basée au centre de recherches scientifiques Georges Peri à Ajaccio (Voir interview par ailleurs).
La rencontre corso-suédoise se poursuivra donc ce vendredi 13 mai à Corte. Celle-ci sera placée sous le signe du partage et de l’échange comme l’a souligné l’ambassadeur de Suède : « Cela fait un an et demi que je suis ambassadeur à Paris et nous avons travaillé à la préparation de la COP21. La France a fait un travail remarquable et la Suède s’est fortement impliquée. Nous sommes un pays très engagé sur les questions environnementales depuis très longtemps. Toute la population se sent concernée dans une démarche citoyenne. Après Paris, il était important pour moi de visiter le reste de la France et particulièrement la Corse. Nous sommes heureux de participer à ce colloque pour, d’une part échanger sur nos expériences respectives, et d’autre part en apprendre davantage sur la Corse et sa politique en matière d’environnement ».
Du côté des représentants de la CTC, on admet que des progrès significatifs ont été accomplis au cours des dernières décennies sous l’égide des institutions compétentes. L’objectif poursuivi aujourd’hui est de pouvoir comparer le modèle écologique insulaire à celui de la Suède pour apporter une contribution utile à la dynamique territoriale en cours. C’est donc dans un souci d’ouverture, que le public pourra assister à la journée de ce vendredi 13 mai.
Cet évènement sera donc l’occasion d’échanger en toute convivialité sur des sujets importants quant à l’avenir de la Corse dans les domaines scientifiques, économiques, technologiques ou simplement humains.
Cette visite n’est pas de courtoisie mais s’inscrit dans le cadre des Rencontres Internationales de l’Université de Corse sur le thème « Enjeux environnementaux : regards croisés Suède/Corse ».
« Nous organisons en effet une journée de travail sur les problématiques environnementales qui sont des objets communs à la fois d’action mais aussi d’inquiétude pour la Corse et la Suède, a expliqué Paul-Marie Romani, le président de l’Université de Corse présent également. Il va donc y avoir une séance plénière le matin durant laquelle nous débattrons sur les questions génériques et l’après midi seront organisés quatre ateliers en parallèle qui porteront sur des sujets spécifiques comme les déchets ou encore l’économie circulaire.
Après un accueil officiel à la Collectivité Territoriale de Corse, la délégation a visité la plateforme MYRTE (Mission hYdrogène Renouvelable pour l’intégraTion au réseau Electrique) basée au centre de recherches scientifiques Georges Peri à Ajaccio (Voir interview par ailleurs).
La rencontre corso-suédoise se poursuivra donc ce vendredi 13 mai à Corte. Celle-ci sera placée sous le signe du partage et de l’échange comme l’a souligné l’ambassadeur de Suède : « Cela fait un an et demi que je suis ambassadeur à Paris et nous avons travaillé à la préparation de la COP21. La France a fait un travail remarquable et la Suède s’est fortement impliquée. Nous sommes un pays très engagé sur les questions environnementales depuis très longtemps. Toute la population se sent concernée dans une démarche citoyenne. Après Paris, il était important pour moi de visiter le reste de la France et particulièrement la Corse. Nous sommes heureux de participer à ce colloque pour, d’une part échanger sur nos expériences respectives, et d’autre part en apprendre davantage sur la Corse et sa politique en matière d’environnement ».
Du côté des représentants de la CTC, on admet que des progrès significatifs ont été accomplis au cours des dernières décennies sous l’égide des institutions compétentes. L’objectif poursuivi aujourd’hui est de pouvoir comparer le modèle écologique insulaire à celui de la Suède pour apporter une contribution utile à la dynamique territoriale en cours. C’est donc dans un souci d’ouverture, que le public pourra assister à la journée de ce vendredi 13 mai.
Cet évènement sera donc l’occasion d’échanger en toute convivialité sur des sujets importants quant à l’avenir de la Corse dans les domaines scientifiques, économiques, technologiques ou simplement humains.